Mardi 1e avril 2014

QUI GOUVERNE LA FRANCE ?

Sous ce titre accrocheur on retrouve quelques explications sur le "modus operandi" d'une corruption soigneusement organisée à tous les niveaux et dans tous les pays par un petit groupe d’hommes aussi puissants que malveillants, ivres de pouvoir et de domination, dont les plus curieux d’entre nous savent depuis longtemps qu’ils sont à l’origine du mal qui est en train de tous nous détruire.

QUI GOUVERNE LA FRANCE ?

Qui nous gouverne ? Des énarques, certes, mais on sait moins que tous ou presque, à l'UMP comme au PS, sont membres de deux clubs sulfureux, le Siècle et la French American Foundation, deux clubsparmi les plus discrets mais les plus influents de France.

LE SIECLE ET LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION

Le Siècle est une filiale du club de Bilderberg, la French AmericanFoundation est de son côté une filiale du Council on ForeignRelations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de"Nouvel Ordre Mondial".La French American Foundation a réussi à placer cinq de ses membresdans le gouvernement Hollande, et Hollande lui-même à la présidencede la République. Joli coup !Le club Bilderberg a maintenant deux yeux au sein du gouvernement,dont Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur (NDM : aujourd’hui premier ministre).

LE SIECLE

Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30 % des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l'Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L'adhésion coûte 150 €/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800membres, appelés "invités" ce qui leur permet de mentir effrontémenten niant leur appartenance au club comme membres à part entièrepuisqu'ils y sont seulement "invités". Seulement pour devenir "invité",il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au seindu conseil d'administration, sur proposition d'un membre (invité) plusl'un des quinze administrateurs.

Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le derniermercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde,dans les luxueux salons de l'Automobile Club.

Un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril 2011 entre les deux tours de la présidentielle, c'est là qu'il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l'état-major de l'UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu'il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestion de Bilderberg que Sarkozy, trop "électron libre" et trop proched'Angela Merkel.

Or, Bilderberg ne veut pas d'une co-gestion franco-allemande de l'Europe, mais d'une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l'objectif de la French American Foundation.

Jospin, à la fois Bilderberg et Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire de Bilderberg serait bien respectée par tous.

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de sesmembres au gouvernement, peu importe qu'ils soient PS ou UMP. C'est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait"l'ouverture" avec d'autres membres du club comme Attali.

Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bordspolitiques en voyant la liste des "invités" ci-dessous :

- Président actuel depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l'anciennesyndicaliste CFDT ;

- Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit,entre autres, dans Valeurs Actuelles (et le frère d'Alain) et HenryLoirette, président du musée du Louvre ;

_ Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision

- Secrétaire général : Etienne Lacour, directeur de la rédaction de laSociété Générale de Presse.

Quelques "invités", membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club...

Thiery Breton (ancien ministre des Finances)

Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget)

Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur del'Organisation Mondiale du Commerce)

Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, présidentde SANEF)

Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque deFrance)

Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg)

Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la

Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne)

Jacques Attali (conseiller d'Etat, président de PlaNet Finance)

Claude Bébéar (ancien président d'AXA, président de l'Institut Montaigne)

Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard)

Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la SociétéGénérale)

Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais)

Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas)

Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais)

Édouard de Rothschild (banquier et homme d'affaires, Bilderberg)

Jean-Paul Agon (directeur général de L'Oréal)

Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault)

Bernard Bigot (patron du CEA)

Bernard Boulito (Heinz et Asics)

Stéphane Courbit

Serge Dassault

Étienne Davignon

Louis Gallois

Guillaume Pepy

Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino)

Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom)

Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de laHALDE)

La liste n'est pas limitative, et ne comporte que les plus connus

On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes etéditeurs de presse...

Arlette Chabot

Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde)

Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias)

Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2)

Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion)

Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL)

Michel Field (journaliste sur Europe 1)

Franz-Olivier Giesbert

Claude Imbert (journaliste au Point)

Odile Jacob (éditrice)

Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil)

Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du NouvelObservateur)

Serge July (ancien PDG de Libération)

Julien Kouchner (directeur général de l'Agence CAPA)

Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle)

Maurice Lévy (PDG de Publicis)

Serge Moati (journaliste sur France 5)

Denis Olivennes (directeur d'Europe 1)

Sylvie Pierre-Brossolette

Bernard Pivot

Patrick Poivre d'Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1)

Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas)

David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2)

Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture)

Anne Sinclair

Marc Tessier (ancien président de France Télévisions)

Sans oublier les personnalités politiques...

Martine Aubry PS

Michel Barnier UMP

Jacques Barrot Centriste-UMP

François Bayrou Modem

Éric Besson PS - UMP

Jeannette Bougrab UMP

Hervé de Charette Centriste

Jean-Pierre Chevènement PS

Jean-François Copé UMP

Laurent Fabius PS

Luc Ferry UMP

Aurélie Filipetti PS

François Fillon UMP

Élisabeth Guigou PS

Adeline Hazan PS

Martin Hirsch PS

François Hollande PS

Nicolas Sarkozy UMP

Jean-Paul Huchon PS

Anne-Marie Idrac PS

Lionel Jospin PS et Bilderberg

Alain Juppé UMP

Bernard Kouchner PS

Jack Lang PS

Noëlle Lenoir ?

Corinne Lepage centriste

Charles Millon droite

Pierre Moscovici PS

Jean-Pierre Raffarin UMP

Manuel Valls PS

Jacques Toubon UMP

Michel Vauzelle PSEt

Henri Weber PS

Hubert Védrine PS

Rama Yade UMP

Marisol Touraine PS

Fadela Amara PS

Rachida Dati UMP

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes...

Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances,

puis receveur général des hypothèques)

Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo)

Laurence Parisot (présidente du MEDEF)

Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF)

Si vous doutez encore qu'il y ait une formidable collusion entre presse,finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :"Au coeur du pouvoir" : enquête sur le club le plus puissant de FranceEmmanuel RatierLes Nouveaux Chiens de garde, film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sontmis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la placede la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin,préfet de police de Paris, également membre du club afin d'assurer laprotection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques etSciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coupsqu'ils nous destinent tout en faisant semblant de se battre au petitécran et dans la presse.

L'important dans une bande de copains n'est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.

Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou "laboratoire d'idées") non partisan, américain, ayant pour but officiel d'analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la sociétéaméricaine et entend développer l'expérience de la générationmontante de leaders en proposant des programmes qui incluent desrencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, desleaders mondiaux et des membres éminents de la communauté desaffaires étrangères.

Le coeur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d'environ cinquante "adjoints" (pendants des "invités" du Siècle), tant démocrates que républicains.Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu'elle range enbloc aux côtés des "factions" de tout acabit et considère comme ungrave danger pour la République américaine.

Pensant que l'architecture de gouvernance mondiale reflétait trop lemonde tel qu'il existait en 1945 et n'était plus adapté au monde actuel,le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé"International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century". Connu en France sous le nom "Nouvel OrdreMondial".

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :

· Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,

· Promouvoir la sécurité énergétique,

· Gérer l'économie mondiale,

· Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR,évoquer le principe d’un "club cultivant l’amitié entre les peuplesaméricain et français" comme le prétendent ses statuts est uneaimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs etdirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles etidéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.

À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant àl’élite politique, économique, militaire et journalistique afin devéritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, EzraSuleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter lesrecrues françaises de la FAF désignées par le terme de "YoungLeaders".

"Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité."

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ;Hillary Clinton ministre des affaires étrangères d'Obama et l'expatronde l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark.

Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes commeChristine Ockrent, Jean-Marie Colombani (Le Monde), EmmanuelChain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud, Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Eric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan.

L'énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme dumondialisme.

Cependant, il est utile pour le système de maintenir une oppositionartificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régimedu parti unique.

En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y aune autre politique possible.

En fait, les dirigeants énarques de l'UMP et du PS mènent le pays versla même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à directionunique.

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraimentefficace et l'amélioration des conditions de vie de la population dans laliberté, notamment celle de penser ?

L'ennui, c'est que ce n'est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur desmondes ou 1984 d'Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, ildéfend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme.En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, leprouve.Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French AmericanFoundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement desgages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élitesmondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement enfaveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondirles angles et empêcher que les "patriotes" puissent diffuser devéritables informations sur les origines du mondialisme."Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite.C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie del’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer.Quant on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé." (Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr)

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement.

François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996,

Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud

Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et "formés" par ce trèsélitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public,sponsorisée entre autres, et ce n'est pas par hasard, par la banquefranco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialisteMathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation.

La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. Ànoter qu’entre 1997 et 2001, c'est John Negroponte qui présida laFAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, lepremier directeur coordonnant tous les services secretsaméricains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’enenorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : "The French-American Foundation is proud to have five Young Leader in the cabinet of President François Hollande, himself a Young Leader in 1996"* tandis que son site français n'en dit pas un mot. C'est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

"Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheese-burgers dont on n’a rien à faire ?". Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias,aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, cescopains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certainsd’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) àDenis Olivennes (Europe 1, Paris Match et JDD), en passant parMatthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde)… Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipeétait attendue sereinement. Vu de la FAF, "Welcome à la Hollandeteam" ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est mêmefiers d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.

Que les angoissés se rassurent : « le changement, ce n’est pas pour maintenant », n’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon qui croit tout savoir !

 

* Traduction pour ce qui ne comprenne pas l’anglais : Le French- American Foundation est fier d'avoir cinq jeunes leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même un jeune leader en 1996 

 

 

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