Mardi 1e avril 2014 QUI GOUVERNE LA FRANCE ? Sous ce titre accrocheur on retrouve quelques explications sur le "modus operandi" d'une corruption soigneusement organisée à tous les niveaux et dans tous les pays par un petit groupe d’hommes aussi puissants que malveillants, ivres de pouvoir et de domination, dont les plus curieux d’entre nous savent depuis longtemps qu’ils sont à l’origine du mal qui est en train de tous nous détruire. QUI GOUVERNE LA FRANCE ? Qui nous
gouverne ? Des énarques, certes, mais on sait moins que tous ou presque, à
l'UMP comme au PS, sont membres de deux clubs sulfureux, le Siècle et la
French American Foundation, deux clubsparmi les plus
discrets mais les plus influents de France. LE SIECLE ET LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION Le Siècle est
une filiale du club de Bilderberg, la French American LE SIECLE Le club Le
Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges
Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30 % des membres sont actuellement
connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a
été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l'Humanité.
La liste de ses membres a été publiée contre
sa volonté en 2011. L'adhésion
coûte 150 €/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800membres,
appelés "invités" ce qui leur permet de mentir effrontémenten niant leur
appartenance au club comme membres à part entièrepuisqu'ils y
sont seulement "invités". Seulement pour devenir "invité",il faut faire
acte de candidature et être recruté par cooptation au seindu conseil
d'administration, sur proposition d'un membre (invité) plusl'un des
quinze administrateurs. Le Siècle se réunit une fois par mois, dix
fois par an, le dernier Un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril 2011 entre les deux tours de la présidentielle,
c'est là qu'il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à
Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le
civil et le peu de vitalité manifesté par l'état-major de l'UMP pour le soutenir
à partir de ce jour-là. Plusieurs des
membres du Siècle sont, comme Valls et
Jospin, également membres du club de Bilderberg.
Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu'il était nécessaire de
pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestion de Bilderberg que Sarkozy, trop "électron libre" et trop proched'Angela Merkel. Or, Bilderberg ne veut pas d'une co-gestion franco-allemande de l'Europe,
mais d'une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il
rejoint l'objectif de la French American Foundation. Jospin, à la
fois Bilderberg et Siècle, et qui avait déclaré ne plus
vouloir faire de politique fut si présent pendant la campagne présidentielle
car il était là pour surveiller que les instructions du directoire de Bilderberg
serait bien respectée par tous. Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le
maximum de sesmembres au gouvernement, peu importe qu'ils soient PS ou UMP. C'est la
raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait"l'ouverture"
avec d'autres membres du club comme Attali. Vous
comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bordspolitiques en
voyant la liste des "invités" ci-dessous : - Président
actuel depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l'anciennesyndicaliste
CFDT ; - Vice-présidents
: Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit,entre autres,
dans Valeurs Actuelles (et le frère d'Alain) et Henry _ Trésorier : Marc
Tessier, ancien président de France Télévision - Secrétaire
général : Etienne Lacour, directeur de la rédaction de laSociété Générale
de Presse. Quelques "invités", membres du Siècle, sont issus de la finance
et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques)
en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club... Thiery Breton (ancien
ministre des Finances) Alain
Lamassoure (ancien ministre du Budget) Pascal Lamy (ancien
inspecteur général des finances, directeur del'Organisation
Mondiale du Commerce) Alain Minc (ancien
inspecteur général des finances, essayiste, présidentde SANEF) Christian
Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque deFrance) Dominique
Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) Jean-Claude
Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de
France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) Jacques Attali
(conseiller d'Etat, président de PlaNet Finance) Claude Bébéar (ancien
président d'AXA, président de l'Institut Montaigne) Antoine
Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard) Daniel Bouton (ancien
directeur du Budget, ancien président de la SociétéGénérale) Jean-Yves
Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) Michel
Pébereau (ancien président de la BNP Paribas) Jean
Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) Édouard de
Rothschild (banquier et homme d'affaires, Bilderberg) Jean-Paul Agon
(directeur général de L'Oréal) Delphine
Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) Bernard Bigot (patron
du CEA) Bernard
Boulito (Heinz et Asics) Stéphane
Courbit Serge Dassault Étienne
Davignon Louis Gallois Guillaume Pepy Antoine
Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) Philippe
Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) Louis
Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la La liste n'est pas
limitative, et ne comporte que les plus connus On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes etéditeurs de presse... Arlette Chabot Jean-Marie
Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) Anne-Marie
Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) Michèle Cotta (journaliste,
ancienne directrice de France 2) Teresa Cremisi
(présidente des éditions Flammarion) Alain Duhamel (politologue,
chroniqueur à RTL) Michel Field (journaliste
sur Europe 1) Franz-Olivier
Giesbert Claude Imbert (journaliste
au Point) Odile Jacob (éditrice) Denis Jeambar (ancien
directeur des éditions du Seuil) Laurent
Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Serge July (ancien
PDG de Libération) Julien Kouchner
(directeur général de l'Agence CAPA) Étienne Lacour
(secrétaire général du Siècle) Maurice Lévy (PDG
de Publicis) Serge Moati (journaliste
sur France 5) Denis
Olivennes (directeur d'Europe 1) Sylvie
Pierre-Brossolette Bernard Pivot Patrick Poivre
d'Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) Alain de
Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) David Pujadas (journaliste
et présentateur télévisé, France 2) Alain-Gérard
Slama (journaliste au Figaro et à France Culture) Anne Sinclair Marc Tessier (ancien
président de France Télévisions) Sans oublier les personnalités
politiques... Martine Aubry PS Michel Barnier
UMP Jacques Barrot
Centriste-UMP François
Bayrou Modem Éric Besson PS
- UMP Jeannette
Bougrab UMP Hervé de
Charette Centriste Jean-Pierre
Chevènement PS Jean-François
Copé UMP Laurent Fabius
PS Luc Ferry UMP Aurélie
Filipetti PS François
Fillon UMP Élisabeth Guigou PS Adeline Hazan PS Martin Hirsch PS François
Hollande PS Nicolas
Sarkozy UMP Jean-Paul
Huchon PS Anne-Marie
Idrac PS Lionel Jospin PS
et Bilderberg Alain Juppé UMP Bernard
Kouchner PS Jack Lang PS Noëlle Lenoir ? Corinne Lepage
centriste Charles Millon
droite Pierre
Moscovici PS Jean-Pierre
Raffarin UMP Manuel Valls PS Jacques Toubon
UMP Michel
Vauzelle PSEt Henri Weber PS Hubert Védrine
PS Rama Yade UMP Marisol
Touraine PS Fadela Amara PS Rachida Dati UMP Et enfin, la liste ne serait pas
complète sans les syndicalistes... Jean-Christophe
Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur
général des hypothèques) Nicole Notat (présidente
de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) Laurence
Parisot (présidente du MEDEF) Ernest-Antoine
Seillière (ancien président du MEDEF) Si vous doutez
encore qu'il y ait une formidable collusion entre presse,finance,
banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez
: Depuis
novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sontmis à
disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la placede la Concorde
et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin,préfet de
police de Paris, également membre du club afin d'assurer laprotection de
tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques etSciences Po,
qui soupent ensemble et préparent les mauvais coupsqu'ils nous
destinent tout en faisant semblant de se battre au petitécran et dans
la presse. L'important dans une bande de copains n'est-il pas de se repasser les bons
coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les
cochons de payants. LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION (FAF) La French
American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council
on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française,
conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour
cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français. Le Council
on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou "laboratoire
d'idées") non partisan, américain, ayant pour but officiel d'analyser la
politique étrangère américaine et la situation politique mondiale. Le CFR
souhaite que ses membres reflètent la diversité de la sociétéaméricaine et
entend développer l'expérience de la générationmontante de
leaders en proposant des programmes qui incluent desrencontres et
des discussions avec les officiels du gouvernement, desleaders
mondiaux et des membres éminents de la communauté desaffaires
étrangères. Le coeur de
son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé
d'environ cinquante "adjoints" (pendants des "invités" du Siècle),
tant démocrates que républicains.Cette noble
assemblée se méfie des partis politiques, qu'elle range enbloc aux côtés
des "factions" de tout acabit et considère comme ungrave danger
pour la République américaine. Pensant que
l'architecture de gouvernance mondiale reflétait trop lemonde tel
qu'il existait en 1945 et n'était plus adapté au monde actuel,le CFR a lancé
en 2008 un programme de cinq ans intitulé Le programme
du CFR se focalise sur quatre grands défis : · Contrer les
menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme, · Promouvoir
la sécurité énergétique, · Gérer
l'économie mondiale, · Prévenir et
répondre à des conflits violents. Quand on parle
de la French American Foundation, filiale du CFR,évoquer le
principe d’un "club cultivant l’amitié entre les peuples À la lecture
des noms composant le groupe des généreux donateurs etdirigeants, on
peut se dire que des raisons bien matérielles etidéologiques
doivent agiter les esprits de la FAF.En effet sans
tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David
Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou
encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et
européen et président du groupe de Wendel. À ce niveau, la philanthropie n’existe pas. L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant àl’élite politique, économique, militaire et journalistique afin devéritablement quadriller le terrain. C’est le
professeur de science politique et membre du CFR, Ezra "Depuis
son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire
à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des
postes à haute responsabilité." Côté
américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes
comme L'énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au
dogme dumondialisme. Cependant, il est utile pour le système de maintenir
une oppositionartificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous
vivons dans le régimedu parti unique. En jouant l’alternance
droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y aune autre
politique possible. En fait, les
dirigeants énarques de l'UMP et du PS mènent le pays versla même
direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à directionunique. Pourquoi pas,
si cela se traduisait par une gouvernance vraimentefficace et
l'amélioration des conditions de vie de la population dans laliberté,
notamment celle de penser ? L'ennui, c'est
que ce n'est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des Le cas de Nicolas
Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, ildéfend avec
passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme.En fait, c’est
un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, leprouve.Si
Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French AmericanFoundation,
cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement desgages prouvant
sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élitesmondialistes
de la FAF. Ce
politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.Dans le cas de
Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement enfaveur de la
cause nationale, défendue
par le FN, pour ensuite arrondirles angles et
empêcher que les "patriotes" puissent diffuser devéritables
informations sur les origines du mondialisme."Quand
on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux
Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner
le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir
la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant
à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes
au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi
la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du
milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est
verrouillé." (Pierre Hilliard,
Revue-républicaine.fr) Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François
Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des
« Young Leaders ». Tous ont été
minutieusement sélectionnés et "formés" par ce trèsélitiste
réseau, une forme de secte
politique inconnue du grand public, En d’autres
termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre
le programme phare mis en place par la FAF, la French American
Fondation. La FAF est
elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. Ànoter qu’entre
1997 et 2001, c'est John Negroponte qui présida la Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en "Pourquoi
est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François
Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour
les cheese-burgers dont on n’a rien à faire ?". Qu’ils demandent
donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces
hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs
pour des cornichons !Qu’ils la
demandent en particulier aux Young Leaders des médias,aujourd’hui
actionnaires ou directeurs des principales rédactions, cescopains de
promo de certains de nos nouveaux ministres pour certainsd’entre eux :
de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à À New York, la
venue de François Hollande et de sa nouvelle équipeétait attendue
sereinement. Vu de la FAF, "Welcome à la Hollande Que les angoissés se rassurent : « le changement, ce n’est pas pour maintenant
», n’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon qui croit tout savoir !
* Traduction pour ce qui ne comprenne pas l’anglais : Le French- American Foundation est fier d'avoir cinq jeunes
leader dans le cabinet du
président François Hollande, lui-même
un jeune leader en 1996
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