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Lundi 10 mars 2014

Texte recueilli sur l'espace FaceBook du Pape François
Cette publication ne concerne que ceux qui ont Foi en Dieu

Cette photo a été prise en 1996 à la demande de l'actuel Pape
En 1996, lorsque le pape
François était évêque auxiliaire du Cardinal Quarracino à Buenos Aires, un
miracle eucharistique notoire eut lieu. C'est le pape actuel qui demanda
lui-même à ce qu'il soit photographié et qui examina ce fait. Les résultats
sont stupéfiants.
Le 18 août 1996, à 19h, le père Alejandro Pezet
célébrait la messe dans l'église qui se trouve dans le centre commercial de la ville. Alors qu'il finissait de donner la Sainte
Communion, une femme vint lui dire qu'elle avait trouvé une hostie dont on
s'était débarrassé au fond de l'église. En allant à l'endroit indiqué, le P.
Alejandro vit l'hostie souillée. Comme il ne pouvait pas la consommer, il la
plaça dans un petit récipient d'eau qu'il rangea dans le tabernacle de la
chapelle du Saint Sacrement.
Le lundi 26 août, ouvrant le tabernacle, il vit à
sa grande stupéfaction que l'Hostie était devenue une substance sanglante. Il
en informa Mgr Jorge Bergoglio qui donna des instructions afin que l'Hostie
soit photographiée de façon professionnelle. Les photos, prises le 6 septembre,
montrent clairement que l'Hostie, qui était devenue un fragment de chair
sanglante, avait beaucoup grossi en taille. Pendant plusieurs années l'Hostie
demeura dans le tabernacle, toute l'affaire étant gardée secrète. Comme
l'Hostie ne souffrait d'aucune décomposition visible, Mgr Bergoglio décida de
la faire analyser scientifiquement.
Le 5 octobre 1999, en la présence des représentants
de Mgr Bergoglio devenu archevêque, le Dr Castanon préleva un échantillon du
fragment sanglant et l'envoya à New York pour analyse. Comme il ne voulait pas
influencer les résultats de l'examen, il décida de cacher à l'équipe de
scientifiques l'origine de l'échantillon. L'un de ces scientifiques était le
réputé cardiologue et pathologiste médico-légal, le Dr Frederic Zugiba. Il
détermina que la substance analysée était de la véritable chair et du vrai sang
contenant de l'ADN humain. Il déclara que :
- « la matière analysée est un fragment du muscle du
cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce
muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le
ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers
tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d'inflammation et contient
un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur était vivant
au moment où l'échantillon a été prélevé. J'affirme que le cœur était vivant
étant donné que les globules blancs meurent en dehors d'un organisme vivant.
Ils ont besoin d'un organisme vivant pour les maintenir. Donc, leur présence
indique que le cœur était vivant quand l'échantillon a été prélevé. Par
ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique
d'autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son
propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »
Deux Australiens, le journaliste Mike Willesee et
le juriste Ron Tesoriero, furent les témoins de ces tests. Connaissant
l'origine de l'échantillon, ils étaient sidérés par la déclaration du Dr
Zugiba. Mike Willesee demanda au scientifique combien de temps les globules
blancs auraient pu rester vivants s'ils provenaient de tissus humains conservés
dans de l'eau. Le Dr Zugiba lui répondit qu'ils auraient cessé d'exister au
bout de quelques minutes. Le journaliste révéla alors au docteur que la
substance d'où provenait l'échantillon avait d'abord été conservée dans de
l'eau ordinaire pendant un mois et qu'ensuite, pendant trois ans, elle avait
été conservée dans un récipient d'eau déminéralisée, et c'est seulement après
ce temps qu'un échantillon avait été prélevé pour analyse. Le Dr Zugiba était
très embarrassé pour prendre ce fait en considération. Il déclara qu'il n'y
avait aucun moyen d'expliquer ce fait scientifiquement. Aussi le Dr Zugiba
demanda-t-il :
- « Vous devez m'expliquer une chose : si cet
échantillon provient d'une personne morte, alors comment se peut-il que pendant
que je l'examinais, les cellules de l'échantillon étaient en mouvement et
pulsaient ? Si ce cœur provient de quelqu'un qui est mort en 1996, comment
peut-il être toujours en vie ? »
Alors seulement Mike Willesee révéla au Dr Zugiba
que l'échantillon analysé provenait d'une Hostie consacrée (du pain blanc sans
levain) qui s'était mystérieusement transformée en de la chair humaine
sanglante. Ahuri par cette information, le Dr Zugiba répondit :
- « Comment et pourquoi une Hostie consacrée peut
changer son caractère et devenir de la chair et du sang humains vivants, cela
restera un inexplicable mystère pour la science - un mystère totalement au-delà
de sa compétence. »
Ensuite le Dr Ricardo Castanon Gomez prit des
dispositions pour que les rapports du laboratoire établis à la suite du miracle
de Buenos Aires soient comparés à ceux élaborés après le miracle de Lanciano,
encore une fois sans révéler l'origine des échantillons de test. Les experts
qui procédèrent à cette comparaison conclurent que les deux rapports des
laboratoires avaient analysé des échantillons de tests provenant de la même
personne. Ils signalèrent encore que les deux échantillons révélaient un sang
de type « AB » positif. Ce sang porte les caractéristiques d'un homme qui est
né et qui a vécu au Moyen Orient.

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