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lundi 7 octobre 2013 « Loyer fictif à l’Etat » ou "Home sweet home" version Hollande « Loyer
fictif à l’Etat », c’est la dernière plaisanterie de mauvais goût que
Hollande et sa clique réserveraient aux propriétaires en créant un nouvel impôt
sur les résidences principales ! Si cette
info est vraie le gouvernement a dû « oublier » que les propriétaires
payaient déjà un impôt dit « foncier »
qui n’est pas piqué des hannetons, si en plus il faut payer une taxe sur le
« loyer fictif à l’Etat », idée de racketteur professionnel dont on
ne sait s’il faut plaindre ou lobotomiser le cerveau du malade qui l’a conçue,
c’est du grand n’importe quoi ! Que
Hollande et sa clique aient au moins le courage d’avouer qu’ils sont en train
de mettre sur le feu un nouvel impôt aussi injuste que les arguments pour le
justifier sont stupides !! Quand je
pense que j’ai voté pour cette bande de Tartuffes et de traîtres, tous plus
incapables et bouffis de vanités les uns que les autres, ça me rend
physiquement et réellement MALADE !! Vague
espoir pour les propriétaires qui risquent de se retrouver à payer un
« loyer fictif à l’Etat », cette info a été publiée par le Figaro le
13 septembre. Or, le
Figaro est un journal de droite, on peut donc se raccrocher à l’espoir que
cette annonce n’a pour seul but que de déstabiliser un gouvernement déjà très
bas dans les sondages, mais à la vérité on n’y croit pas vraiment au vu de toutes
les trahisons dont nous ont gratifié, en à peine un an de Pouvoir, ce même
gouvernement. lire… Le Figaro conclut en espérant que ce
« projet délirant passera à la trappe » … même les français de
gauche approuveront ce vœux pieux ! *** Impôts : s'attaquer à la
manne fiscale de la résidence principale n'est plus un tabou !
Le Conseil d'Analyse économique propose d'imposer le loyer et la
plus-value fictive correspondant à la détention de sa résidence principale. C'est
une véritable bombe à retardement, un cauchemar pour les propriétaires qui se
sont endettés pendant de nombreuses années pour acheter leur résidence principale. Le rapport du Conseil d'Analyse
Economique présenté au Premier Ministre le 10 septembre propose d'accentuer la
taxation des résidences principales. Dans un
jargon très administratif donc peu clair pour le commun des mortels le CAE considérant
qu'il convient de réduire les inégalités de traitement fiscal préconise "
de rééquilibrer la fiscalité vers l'immobilier en taxant les loyers implicites
nets des intérêts d'emprunt ou, à défaut, en relevant les taxes foncières via
la mise à jour les valeurs locatives. S'agissant des plus-values, nous
proposons simplement d'annualiser la plus-value réelle (en déduisant
l'inflation) avant de l'imposer au barème général de l'impôt sur le revenu
". Concrètement,
à quelle sauce seriez-vous dévoré ?
Tout
d'abord, le fisc ajouterait à votre revenu taxable le loyer réel que vous
percevriez de votre résidence principale si vous vous décidiez à la louer.
Comme pour un revenu foncier, vous seriez autorisé à déduire les intérêts
d'emprunt. Mais le résultat c'est que vous seriez amené à payer l'impôt sur un
revenu fictif. Bref, la jouissance de votre habitation supporterait l'impôt.
Une
augmentation d'impôt de 86% !
Prenons
un exemple simple. En louant votre habitation, vous pourriez obtenir un loyer
de 1 500 euros par mois soit 18 000 euros par an. Déduction faite de vos
intérêts d'emprunt (5 500 euros annuels) on arrive à un revenu fictif de 12 500
euros. Le fisc l'ajouterait à vos salaires et appliquerait l'impôt progressif.
Supposons que vous êtes marié avec deux enfants et 43 200 euros de salaires
nets taxables. Sur ces salaires, vous payez 2 031 euros d'impôt sur le revenu.
Si on y ajoute 12 500 euros votre facture fiscale passerait à 3 780 euros soit
1 749 de plus et une augmentation de 86 % ! Et nos
gouvernants évoquent la bouche en coeur une pause fiscale. On se demande
franchement s'ils ne prennent pas le contribuable pour une vache à lait
stupide. Taxer
tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales
Mais la
surtaxation ne s'arrêterait pas en si bon chemin. Le CAE propose également de
taxer tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales des
contribuables. Autrement dit les propriétaires paieraient tous les ans un impôt
sur les plus-values au taux de 34,5 %. En supposant que votre habitation qui
valait 400 000 euros en 2012 a pris 2 % de valeur en 2013 inflation déduite,
soit 8 000 euros de plus, vous seriez obligé de vous acquitter d'un impôt de 2
760 euros. Bien entendu le CAE n'évoque pas une baisse des prix qui donnerait
droit au propriétaire appauvri à un crédit d'impôt. Il est en effet uniquement
question d'augmenter les recettes d'un Etat en déficit permanent. Si de
telles mesures étaient adoptées, la facture de notre famille augmenterait de 4
509 euros. Si l'on
y ajoute des impôts locaux parmi les plus élevés au monde, devenir propriétaire
de sa résidence principale vous donnera le droit d'être racketté
fiscalement. Espérons
que ces propositions délirantes passeront à la trappe !
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