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Dernière mise à jour le 8 mai 2016
MICHEL LANGINIEUX Vous trouverez sur cette page tous les textes, liens et fichiers PDF de Michel LANGINIEUX, publiés sur le blog que j’ai fermé à cause de la nouvelle politique d’Over-blog qui impose une interface qui ne me convient pas. Avant de supprimer mon blog, j’ai sauvegardé quelques articles sur les 1395 publiés de 2008 à 2013, parmi
lesquels le précieux travail de Michel Langinieux, en particulier sa lutte contre l'amiante. C’est ce
travail, étalé sur quasiment toute une vie, que j’ai tenu à sauvegarder car il
est avant tout l’expression de la générosité et l’abnégation d’un homme. Michel Langinieux est un exemple pour la masse de ceux qui acceptent toutes les injustices sans bouger ni se sentir concernés si elles ne touchent ni à eux, ni à leur famille. Cet égoïsme « ordinaire » est insupportable à une petite minorité qui se révolte contre les injustices mortifères qui gangrènent notre société, Michel Langinieux est de ceux-là. Michel Langinieux n'est pas qu'un lanceur d'alerte, il est aussi un artiste de théâtre, un philosophe et un écrivain dont on peut découvrir le talent dans son oeuvre : "La place unique du spectateur" lire... . Le dernier article récupéré sur mon blog avant suppression s'intitule : "Le dossier de l'amiante dérange le gouvernement Hollande" et a été publié en janvier 2013 . Il concerne indirectement Michel Langinieux puisque cet article annonce la mise au placard de Mme la Juge Bertella-Geffroy qui avait osé s'attaquer à une ministre et le scandaleux "blanchiment" de Martine Aubry, impliquée jusqu'au cou dans cette affaire. Cette tragédie sociétale a profondément affecté Michel Langinieux, tellement impliqué dans cette lutte pour que Justice soit rendue aux victimes de l'amiante et que les coupables soient punis à hauteur du crime perpétré depuis 150 ans, que l'affront infligé à Mme la Juge Bertella-Geffroy l'offense lui aussi. Dans quelle société vivons-nous, qui protège les coupables et punit les innocents ?
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Mercredi 3 novembre 2010
« Langinieux michel : lettres ouvertes
d'un européen en colère »
Langinieux Michel 8, rue Édouard Detaille, 75017 Paris. France. Tel : 00 33 1 42 67 22 62 E mail : langinieux_michel@yahoo.fr Site :
<langinieux.ouvaton.org> Paris, le 29
septembre 2010, Saint Michel RECOMMANDÉ INTERNATIONAL Crime sociétal en France Contribution personnelle pour l’Europe À VIVIANE REDING Madame la Commissaire Européenne à la Justice Madame la Commissaire en charge des Droits Fondamentaux, Le conflit
actuel entre l’Europe et la France, cernant les traitements des Manouches et
des Roms répercutés par la presse du monde entier, n’est pas étranger à ce
présent courrier. Il le propulse. Ce courrier
souligne une faille plus profonde, fondamentale : le crime sociétal en
France. Nombre
questions fusent, d’emblée : Qu’est-ce
que l’Europe ? Qu’est-ce que la France ? Quels sont
les intérêts des uns, des autres ? (Intérêts personnels et collectifs.)
Qu’est-ce
qu’un monde en marche ? Un monde qui stagne ? Un monde qui
éclaire ? Un monde qui ment ? Un monde qui
tue ? La
psychologie incrustée du « moi d’abord, et le reste on s’en
fout »,
élude malheureusement, toute vue d’ensemble, et la prise de conscience
essentielle civique. Parvenir à
un monde où nous devons tous, être gagnants, éloigne du petit bout de la
lorgnette : la gangue, les gangs. La gangue du conditionnement ancestral.
Les gangs du népotisme, clans, loges, tribus, d’un système antédiluvien,
encastré. Certains schémas
« psychologiques » - hypocrisie, vanité - qui verrouillent la France,
ceux dont vous venez de faire les frais, Madame la Commissaire, traduisent le
degré d’inconscience et d’incivilités pratiquées couramment ici.
Indélicatesses. Vicissitudes. Prétention d’éthique quand le crapuleux prime,
avec un génocide en processus. Vous savez
maintenant, exactement à qui et quoi vous avez affaire. Vous voilà prévenue sur les
personnages confrontés par votre autorité. Ils se moquent des valeurs
fondamentales européennes. Ils se congratulent, par ailleurs, ouvertement. Ils
s’imposent par « volonté inflexible », président et ministres,
experts en virulence verbale et violence naturelle. Or, « un homme
averti en vaut deux »,
apprend le proverbe. L’Europe,
dès lors, se doit de prendre garde, et soin, de l’abus de pouvoir, comme des
évacuations de Roms couvertes par un fichier illégal. Molière, qui
connaissait son monde, décrivait ainsi l’hypocrisie : « Un vice à la
mode qui passe pour vertu ». Rien n’a changé depuis 300 ans, sauf une surface
particulièrement dure à récurer pour obtenir la vérité. La suffisance des politiques français répond
exactement, à l’insuffisance civique et morale de ce pays dit « de
pointe ». La peur de ne pas exister (!) demeure le problème primordial
de celui qui fera tout pour prouver le contraire, au mépris de
la vie des autres. L’aveugle ne verra rien de l’avidité contribuant à une
médiocrité persistante : l’argent avant les gens, avant les enfants. Le sourd
n’entendra pas. Lâcheté et
servitude, révèlent l’état mental général. Misère et
dégradation morale règnent. Le
« contexte financier », tirant à hue et à dia, chevauche la planète.
Sans vouloir évaluer un système bancaire évoluant sur le PLUS ET ENCORE, la
France s’y annonce un « leader mondial » en ventes d’armes, en
nucléaire, en pétrole (Elf) ; en industrie d’enfants, lucrative, qui ne
coûte rien et rapporte gros. Aspect généralement escamoté, pratiqué avec
sauvagerie. Tortures
irrémédiables sur de parfaits petits organes ; parties fines. Un
secret ! Ce pays
aurait besoin de savoir appréhender les faits en face. De police. De justice.
Non de discours creux, ni de brutalités en rafles et déportations sauvages de
minorités ethniques, sous couvert d’impudence. Un climat de
fourberies acceptées, vissées par le lucre, cadenasse le dernier volet que
j’apporte à votre attention : les empoisonnements collectifs
imposés. Plus précisément ici, l’amiante : ses mensonges,
ses morts. D’où le
drame sanitaire. D’où
l’affaire pénale éludée sur un siècle de meurtres autorisés qui perdurent. Le verbe
AGIR - sauf pris à contre sens - n’existe plus dans la fonction publique. Dès
lors, l’apport indispensable de l’Europe pour désinfecter les malversations et
l’incurie juridique ; l’extrémisme ; la terreur ; les crimes
organisés. Pour
désinfecter une caricature de démocratie. Je ne
rentrerai pas dans les détails. Deux
rapports officiels, par contre, s’y emploient à profusion : . Les Rapports du Sénat n° 37 (2005-2006). Tomes 1 et 2 : « Le drame de
l’amiante en France ». . Les Rapports parlementaires : Mission d’information de
l’Assemblée Nationale n° 2884 Tomes 1 et 2 (février 2006) :
« 51 propositions pour tirer les leçons de l’amiante ». « Ne plus
perdre sa vie à la gagner ». Ces deux
rapports, Madame la Commissaire, vous mettent les cartes en main. Les cartes à
abattre. Ces deux
pavés dans la mare publique se conservent ici religieusement, dans les tiroirs
depuis cinq ans. Pas un sénateur, pas un député, pas un élu, haut
fonctionnaire, et expert, impliqués dans sa rédaction, n’a porté plainte. Ce
« travail d’information » se réduit à une recherche bureaucratique et
quelques observations sérieuses. Vécu et compassion n’entrent point en jeu.
Aucun suivi direct : des mots suivent d’autres mots. Aucune action
entreprise, mais les faits sont couchés. Avec des souhaits pieux : 51
propositions, sur un génocide tranquille. Il aura
fallu l’action de Maître Maryse JOISSAINS-MASINI, actuellement Député-maire des
Bouches-du-Rhône, pour confronter l’État français par trois fois, sur ses
carences fautives. Pour
également porter plainte contre 12 ministres devant la Cour de Justice de la
République, qui - évidemment - couvre les 12 ! J’ai porté
plainte, du coup, contre 14 ministres : la Commission des requêtes de
cette Cour couvre les 14 ! [La France, « toute entière à sa proie
enchaînée », étale ses injustices et ses entêtements]. L’action de
Madame Emmanuelle PRADA-BARDENAVE, Maître des Requêtes au Conseil d’État, sut
également placarder l’État le 3 mars 2004, devant l’évidence de ses
carences. L’État
français, néanmoins, peu dérangé par ses propres méfaits, persiste dans
l’illégalité de ce drame sanitaire, par habitude, détermination, ou nature. Par
atavisme. Or, l’État,
« c’est soi ». Chacun d’entre nous. Dès lors,
mon action, les rênes en main. Cette
information, maintenant portée à l’Europe, se voit officiellement pesée,
soupesée, par des chiffres, dates, réflexions, descriptions, impliquant nombre
élites et officiels, avec leurs noms, prénoms et fonctions, couchés sur ces
deux Rapports ; mais rarement, hélas, les victimes condamnées à se taire
par centaines de milliers. Les victimes oubliées. Au vu de ce
qui se passe actuellement ici, ce dont vous êtes le premier témoin Madame la
Commissaire : ces rafles menant aux déportations, je tiens à dénoncer les
façons de traiter des êtres humains dans un pays - dit Européen - qui apprécie
donner des leçons. Un pays inattentif qui liquide férocement les siens. Je vous
désigne, dès lors, ces travaux signés par le Sénat et l’Assemblée Nationale,
comme boucliers notoires pour votre action. Une autre
écoute, vôtre, leur rendra vie et valeur. Vous pouvez
agir librement maintenant, tous faits prouvés à votre disposition. « L’Europe, on
l’aime ou on la quitte » claironnera Nicolas SARKOZY. À sa guise. La question
des Roms ; la question de l’amiante ; la question des problèmes
humanitaires ; devraient être traitées en priorité au niveau Européen,
et non réduits à un seul pays. Surtout si ce pays se trouve directement
impliqué dans son incapacité d’agir. Les
empoisonneurs n’ont pas à décider du sens ni de la profondeur de leur
compassion. Que l’Europe considère : L’amiante et
ses méfaits se résument en France à 117 années, depuis la loi du 12 juin
1893. Des centaines de milliers de morts, passées et à venir pour 40 ans encore, en témoignent.
L’INSERM prévoit de 10 000 à 20 000 décès cette année. Comme pour
chaque année suivante, de 2010 à 2020. Cette prévision résultera, au
mieux, à 100 000 morts en dix ans. Au pis, à
200 000. Aucun
employeur n’a été arrêté, aucun empoisonneur mis en prison, pendant un siècle.
Tous furent protégés par la puissance de l’argent, et un incivisme républicain
fatal. Le pays en
pâtit. L’Europe osera-t-elle détourner son regard, ou
va-t-elle réagir ? Sur cette
vue d’ensemble, se greffe un cas particulier : l’Université Censier la
Sorbonne Nouvelle, spécifique aux façons dont les poisons, les
affaires et la justice s’administrent ici. Ce cas universitaire, prédestiné dès son départ [car Censier fut bâti
sans permis de construire !, et floqué d’amiante sur 6 km et demi
de poutres de fer] ; ce cas précise l’ignominie d’un contexte dit
« éducatif », basé sur « l’excellence » et l’inaction. Contexte,
sourd à toute réalité, maladies, morts d’hommes sur des mensonges placardés. Si bien que
l’Université qui devrait « inspirer la cité » n’est plus qu’une
Université carpette. La poubelle du pouvoir. D’où le besoin d’une autorité Européenne, afin
d’éradiquer ce ver dans le fruit d’une jeunesse étudiante mondiale (les étudiants arrivent de
partout). Ici,
l’indifférence permissive s’oblige sur un libre accueil aux études axé, vers
l’international. Ces deux
exemples, la France et Censier, exposent une mentalité dictatoriale imposée aux
établissements scolaires. Une mentalité qui consiste à salir, mentir,
casser, tricher. Même en public. Même dans des lieux réservés au public. Même
devant l’Europe. Même en connaissance de cause. Et même, pratiquée en privé. La
morgue s’affiche sans vergogne. Sur automatique. Sur deux mille années
d’habitudes. Sur des diplômes ! Veuillez
trouver quelques éléments, joints, Madame la Commissaire Européenne, qui
définissent la situation de cette Université de sciences humaines, mensongère,
inexcusable. Sur un
travail de 14 années. Voir mon site : langinieux.ouvaton.org 1/ : Attestation de Maîtrise du 4 juillet 1996 (suivie le même mois, par des
« demandes préalables » adressées au Président Jean-Louis LEUTRAT,
pour « abus de pouvoir »). Avec une
copie de ma carte d’identité [Étudiant à Censier la Sorbonne Nouvelle, de 1993
à 1997]. 2/ : « Observations en réponse » adressées au tribunal
administratif de Paris. Travail du toxicologue Yves HUBERT au 22 décembre
1997. Cette recherche sur des faits analysés techniquement, placarde la
« quadruple infraction caractérisée de Censier Paris
III ». «Le problème
de l’amiante n’est pas même pris en charge du point de vue réglementaire ». « Des ascenseurs, des centaines
de fois par jour, pendant des années, éjectaient l’air contaminé d’amiante de
leur cage ». « État de dégradation ». « Préjudice
considérable, non seulement prévisible, mais perceptible. » « Les autorités de Censier, incapables de traiter
correctement le problème de l’amiante ». « Ignorance étonnante des
textes règlementaires ». « L’administration connaissait les dangers,
mais se taisait ». « Crime d’empoisonnement collectif ». « Censier bafoue le principe de précaution
préconisé par le nouveau code pénal en vue d’éviter la mise en danger
d’autrui. » 3/ : « Les lanceurs d’alerte les frères
BLANDIN ». Ni
Censier, ni Jussieu n’avait lieu d’être amiantés. Dès 1951, la France
possédait ses matériaux de substitution découverts par les frères BLANDIN, sans
amiante, moins chers. Elle préféra la mort et le prix à payer. 4/ : Ordonnance de non-lieu du juge d’instruction Michèle
VAUBAILLON (sans les
notifications requises). Non-lieu
irrégulier du 13 mai 2002, incomplet (suivant les articles
183, 507, 508, du C.p.p.,
non appliqués) : « L’ordonnance sans prévision
relatives aux formes utilisées pour la notification, est incomplète et ne fait
pas courir le délai d’appel ». 183 : Crim. 4 janvier 1991 :
Bull. crim : n° 6. 8 juillet. 1992 ; ibid n° 271. « Jusqu’à l’expiration des délais d’appel, le
jugement n’est pas exécutoire et le tribunal ne peut statuer sur le
fond ». 507 (6) :
« Les formes, modalités, et délais de l’appel
sont d’ordre public ». (Droit
constitutionnel). Crim. 25 février 1991 : Bull. Cril. N° 91. Ce
juge a omis les notifications. Tout simplement. [Or, une
ordonnance incomplète ne peut être « définitive ». En conséquence les
trois parties prenantes, les fonctionnaires impliqués : Jean-Louis
LEUTRAT, Bernard DHOOGE, Françoise CHIEZAL, ne furent pas fondés (art 91 du
C.p.p.) pour poursuivre réparation, même si cette ordonnance était
régulière : l’arrêt de la chambre de l’instruction l’aurait rendue
définitive le 22 novembre 2002, 15 mois avant la requête des
« citations directes » : dès lors, hors-délai.] Ces
citations directes 78-04, 79-04, 80-04 du 1er mars 2004, aussi caduques
que le non-lieu, furent déposées par Maître WILLIÉ (avocate qui gagne sa vie
sur celle des étudiants depuis avril 1998, soit plus de 12 ans), 21
mois après l’ordonnance du 13 mai 2002 du juge VAUBAILLON. 5/ : Réquisitoire du Procureur Général de la Cour d’appel qui « confirme
la dite ordonnance [nulle] de Madame VAUBAILLON ». Cependant, des personnes
continuent à tomber malades et à mourir à Censier, pour 40 ans maintenant. 6/ : Reconnaissance du travail de M. Michel LANGINIEUX par
le Président de la Mission d’information à l’Assemblée Nationale, Jean LE GARREC, sur
l’amiante à la Sorbonne Nouvelle, le 7 mars 2006 : « Un dossier
très complet ».
7/ : « La Sorbonne Nouvelle (Paris-III).
Une université en péril ». Réponse au
dossier de presse du président BOSREDON de janvier 2006 : « Depuis 1983,
l’air est sain à Censier ». Pure désinformation. Ce président
court-circuite : . Les travaux d'encoffrement (eux-mêmes, dangereux par eux-mêmes) de 1979
à 1983. . Les travaux lourds en 1993-94, sans précautions, contaminant la Fac
et le quartier. . Les chiffres LHCF du 2 juin 1995, sur les puits d’ascenseurs,
couloir et salle de cours au 5e étage, à 30 f/l d’air (dénoncés par
le toxicologue Yves HUBERT de F.O.). . Le désamiantage sauvage au 5e étage en juillet/août 1995,
gardant les personnels sur place. . Le dépoussiérage d'août 1998 (désastre dénoncé par l’expert
DELPORTE, à 480 fibres par litre d’air). . Le déflocage des gaines par le Ministère de l’Éducation Nationale, en juillet-août
1999. . L'ouverture des gaines techniques ordonnée par
l’intendant ACMO Bernard DHOOGE une à deux fois par mois, sans précaution pendant 25
ans. Acte
interdit, éminemment criminel. . L'absence de C.H.S. légal, jusqu’en 1999 (indiqué sur les
procès-verbaux du C.C.H.S., Comité Central Hygiène et Sécurité du Ministère de
l’Éducation Nationale et de la Recherche). . Le refus absolu de l'administration de communiquer les
mauvaises mesures d'amiante. . Les complicités implicites d'empoisonnements de nature à
tuer, cachant à
des populations entières la vérité précisée par les experts (Observations
THOMSON-CFS de décembre 1997 ; et note d’alarme sur le Rapport
DELPORTE du 23 novembre 1998). . Les sempiternelles niaiseries administratives statuant que les "affabulations
de LANGINIEUX"
constituent "un risque réel pour les occupants et les personnels", en évitant les conclusions
de 180 spécialistes (ingénieurs, techniciens, entrepreneurs, docteurs,
professeurs, etc.) dont une trentaine d’experts, ainsi que l’absence de
D.T.A. (« Plainte
au Vice-procureur OBADIA » du 20 juin 2008). À
l’évidence, Censier Paris-III ne fait pas de distinction entre les « affabulations » et les faits ! Où mène
l’Éducation à la française ? Pour avoir
voulu défendre ses camarades d’une des plus sales maladies qui soient, Michel
LANGINIEUX se trouve interdit de Fac et d’études depuis janvier 1999. Ce qui
est illégal. 8/ : « Conclusions en appel » du 20 mai 2009. Elles
permettent de dévoiler des faits graves : . Le nom des malades et des morts (premier décès porté à notre
connaissance : Madame Jacqueline SUZZONI, sur un cancer de la plèvre en avril
1995, cancer rarissime spécifique à l’amiante). Décès : Pierre GEST (plaques pleurales, malade reconnu par le Dr. KORBA
et trois experts), Malades : Jean-Yves BRUAL (plaques pleurales, malade reconnu par le président
LEUTRAT), Christian DEPUYPER (plaques pleurales, malade reconnu
par le président LACROIX), France GUYOT (plaques pleurales, malade reconnue par le Président
BOSREDON), Malheureusement,
il n’y a jamais eu d’enquête, d’expertise ou d’autopsie :
Pour les décès de : Jacqueline SUZZONI (cancer de la plèvre, spécifique), Vincent ARRIGHI (cancer
broncho-pneumonie), Sabine DUPRÉ-LATOUR (cancer du poumon), Marie-Dominique FALGAYRETTES (cancer broncho-pneumonie), Paul PERRIAN (cancer
broncho-pneumonie), Serge TERRASSIN (ablation du poumon, cancer), Sliman CHERNIC
(broncho-pneumonie), Louise COZIC (cancer
broncho-pneumonie), etc... Pour les malades : Michèle DRAPER (plaques pleurales), Jean BITOR (cancer broncho-pneumonie, ablation du poumon), Jean-Paul ZIMMER (plaques pleurales), Michèle BOURGOIN (cancer du poumon, généralisé), etc... . Les travaux lourds de 1993/1994, afin d’implanter
un bâtiment de trois étages dans le bâtiment amianté, sans précaution, libérant
des pics de fibres par milliards, sous l’œil vigilant de la SOCOTEC, de la
Commission de Sécurité, de la Préfecture de Police, des officiels de Censier (la Sorbonne Nouvelle est
responsable des fibres qu’elle a sous sa garde). . Les conclusions du C.C.H.S, le Comité central Hygiène
et Sécurité national : Dénonciation
formelle, explicite, en juillet et décembre 1999 par le Ministère de
l'Éducation Nationale du président et chefs de service de Censier la Sorbonne
Nouvelle, MM.
LEUTRAT, DHOOGE et Mme CHIEZAL. . Les travaux de la police judiciaire : -
Non respect de l’obligation générale des risques (articles 2 et 27). -
Non respect de l’information et la formation des travailleurs (articles 3 et 4). -
Non respect des moyens de protection collective et individuelle (articles 5, 28, 29, 30). -
Non respect du contrôle d’une valeur limite (articles 5 et 30). -
Non respect des mesures d’hygiène (article 6). -
Non respect de l’obligation d’établir une fiche d’exposition (article 31). -
Non respect de la mise en œuvre d’une recherche médicale appropriée (article 32). Regroupés
par l’officier de la P.J. d’avril à juillet 2000 (sans suivi). [Avec de
multiples preuves apportées, dont aucun des 77 magistrats en 13 ans n’a tenu
compte.] 9/ : Troisième demande à la CADA (Commission d’Accès aux Documents
Administratifs) du 13 septembre 2010, pour obtenir le « Dossier
technique amiante » (DTA) auquel les étudiants ont droit, refusé par
l’administration depuis 5 ans. J’apporte à l’actuelle présidente, Madame
LEMARDELEY, la question de Madame JOISSAINS-MASINI posée à l’Assemblée
Nationale. Cette Député-maire relève le débat sur l’illégalité pratiquée en
France et à l’Éducation nationale. Et sur l’autisme de Censier Paris-III où la
non-application de la réglementation (prouvée par la police judicaire), la
non-application du droit (prouvée par 77 magistrats impliqués) et l’homicide
avec intention de poursuivre (prouvé depuis la mort de Jacqueline SUZZONI d’un
cancer de la plèvre, en mai 1995), soulignent la gravité de cette
requête. 10/ : Lettre de remerciements à Maryse JOISSAINS-MASINI à laquelle je lui demande de
soutenir ma plainte au TPI, et de reposer une question à l’Assemblée Nationale sur « la mort en Fac en
France », tout en rectifiant la réponse inexacte de l’Éducation nationale. [Avec
l’article du Canard enchaîné : sur la libération juridique de Nice et de
la Savoie]. 11/ : Lettre à Monsieur François FILLON du 5 octobre 2004, alors Ministre de l’Éducation
Nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche. Il aura évité de
prévenir les
populations étudiantes, autant que MM. Claude ALLÈGRE, Jack LANG, et Mme
Valérie PÉCRESSE : l’incivisme donc, sur des coutumes adoptées par
l’Éducation du faire-semblant. . Aussi : la question primordiale du Sénateur Marie-Claude BEAUDEAU,
sur « l’absence de visite médicale pour les personnels à
l’Éducation Nationale », sans réponse. . Et les courriers « bateaux » habituels, de Serge PELETIER
(Écologie), Stéphane DUPRÉ LA TOUR (la Présidence de la République), Hervé
CELESTIN (l’Intérieur), Dominique de VILLEPIN, etc. 12/ : « Requête en récusation »
adressée au premier Président de la Cour d’appel. Elle
implique le procureur général, François FALLETTI, près la Cour d’appel. Le
procureur général Jean-Louis NADAL, près la Cour de cassation. Le président de
la chambre 7/2. Sans que personne ne bouge sur mes demandes de
rectification d’un vice de forme. Pis :
je rappelle à M. Jean-Louis NADAL que j’ai déposé un pourvoi en cassation le 20
août 2007, il y a trois ans, sur le saturnisme chez moi. Sans réponse. Où
est passé ce pourvoi ? Le « je
m’enfoutisme » appliqué
par la plus haute juridiction de France, n’est autre que pièce de musée,
prétentieuse, inutile, devant la Santé publique et la vie humaine. [« S.O.S » l’Europe !!! Les hommes et
les femmes de bonne volonté ont besoin de vous ici]. 13/ : La guerre des chiffres autour d’une mobilisation
dernière :
« ET UN, ET DEUX … OU TROIS MILLIONS ? » Sur les manifestations
en France du 23 septembre 2010. Preuve d’une mentalité à
éradiquer : les désinformations nationales notoires de ce pays de pointe. . Avec la photo de « Direct Matin », vous trouverez celle de
couverture « The Economist » qui a fait le tour de la planète, et une
dernière dans « Le Monde » de l’actuel président infatué à l’extrême,
et qui doit se prendre pour Louis XIV, le fils du Grand Turc, à moins qu’il ne
joue du Feydeau. Ces photos parlent plus que n’importe quel texte. 14/ : Le seul article en anglais, écrit en 2004 : « THE CENSIER
AFFAIR : THAT’S FRANCE FOR YOU » expose les faits, aberrations et
dépréciations d’une Faculté française. Cette
détermination à cumuler des macchabées « l’air de rien », en
regardant ailleurs, s’avère spécifique à l’Éducation Nationale et à l’État
français. Il nous faut arrêter cette gabegie monstrueuse où tout « va toujours
très bien chez Madame la marquise ». Personnellement,
j’aurai servi d’appât pour faire « sortir le poulpe ». J’aurai réussi
au-delà de toute espérance, en dépit des vilénies qui me furent faites depuis
14 ans. Cependant,
pour arrêter les décès qui s’additionnent, hélas, point n’aura suffit de
prouver. L’Europe se
doit de trancher la tête d’une détermination administrative totalitaire. Des victimes
continueront à mourir pendant 40 ans, résultat dû à l’acharnement d’une Fac aveugle, et de
son Éducation Nationale. Dû à un État
corrompu, non avenu. Or, cet État
« se doit de protéger » depuis plus d’un
siècle !, assure la loi du 12 juin 1893. Il accomplit exactement le
contraire, en machine broyeuse. Cet État -
Européen - doit être désinfecté de ses tares, et torché. J’aurai,
aussi, servi de miroir, pour vous apporter la température exacte d’un contexte
hors-la-loi tenu par des mafias sans scrupules, et par les élites. Afin de
rendre mes conclusions vers une attention exercée, extérieure : la
nouvelle Europe. Car à qui confier ces faits terribles dans un pays où
PERSONNE ne répond ? Je n’ai pas
voulu venir à vous les mains vides, mais avec un amas de preuves, une avalanche
de preuves. Ce
« pays d’opérette » sourd, si sûr de son importance, fut mis au
courant du drame de Censier la Sorbonne Nouvelle, il y a plus de 13 ans. Le
procureur de la République n’a pas levé le petit doigt depuis le 25 février
1997, si absent est-il. Ce pays,
tueurs d’hommes, devrait-il faire partie de l’Europe ? Il impose
ses lois avant la loi, le sens, le respect, l’infini, le droit. Ce qui le
dépasse. Si imbu
est-il de sa « République irréprochable » inique. Pourquoi le garder s’il refuse de changer ?
Plus
fort encore : il a littéralement oublié de « notifier » le
gouvernement italien de « traités », et d'enregistrer en 1947 près du
secrétariat de l’ONU, ces traités passés concernant Nice et la Savoie, mal
respectés. Résultat :
je ne suis pas « d’ICI », Madame la Commissaire, non. Je suis Niçois. [« Honni
soit qui mal y pense » !]. Un Niçois
qui coupe avec le mensonge surimposé. Qui pèse ses mots et tranche. Je ne serai
déchu d’aucune « nationalité », non. Par choix, je suis Européen. Mes requêtes vont juste vers vous, Madame la
Commissaire en charge des Droits fondamentaux.
. Considéreriez-vous [suivant la « condamnation de la France par l’ONU » sur les « traitements
des Roms, Manouches, Gypsies, Tziganes, Gitans, Gens du voyage et des Minorités
ethniques, tous parfaitement Européens »], une condamnation simple et
directe de « crime contre l’humanité » ? Un crime qui
précisera des centaines de milliers de décès (impossible à chiffrer exactement)
dus à l’incurie des pouvoirs publics français, exécutifs, juridiques, médicaux,
et une absence de conscience et de pénal pendant plus de 100 ans, concernant
l’amiante ? Pas un
procureur de la République (dont l’autorité juridique se trouve, maintenant,
niée par la Cour de Strasbourg), n’a pris l’initiative de demander l’ouverture
d’une enquête pénale !!! -
Merci à Monsieur Jean-Claude MARIN.
À Monsieur Philippe COURROYE. -
À Monsieur Jean-Louis NADAL. À
Monsieur François FALLETTI. -
Une seule exception, sur un siècle, confirma la règle : Monsieur Éric
DE MONTGOLFIER. . Considéreriez-vous - avec l’accord et la coopération de l’ONU - porter
plainte contre la France vers le Tribunal Pénal International, pour « homicide
avec intention de poursuivre » sur les 40 années à venir, et ce depuis
juillet 2002 (naissance du TPI) ? . Considéreriez-vous mettre l’exécutif français actuel, ce bastion de
l’hypocrisie franchouillarde, face à ses responsabilités, l’exposant devant le
monde entier sur ses inactions criminelles, son manque de compassion, de
réflexion réelle, cernant l’état pathologique en lequel se trouve enserré le
pays des lumières et du sang contaminé, lui-même en ses chaumières, désinformé
à mort ? Pays
incompréhensible, avec un « Ministre du Travail et de la Solidarité »
qui accueille des étudiants par centaines de milliers venant de l’entière
planète dans des lieux d’études à risques, sans les informer. Ni eux, ni leurs
parents. Pays du
mépris de la vie et des humains, de ce qui est vrai et sain. De toute
solidarité. Pays
« démocratique » qui ne mérite plus d’en être un. Pays du
mensonge et de la mort, qui épingle des médailles les yeux fermés. . Considéreriez-vous révéler - haut et court aux oreilles internationales -
les empoisonnements collectifs imposés en France, qui mèneront à terme l’actuel
chef d’État qui nie par ses comportements inconscients l’importance de la Santé
publique, le respect dû à l’organisme qu’offre la vie humaine : son sacré. La base.
Base indispensable, sans qui ni vous ni moi, ni lui, ne serions ici en train de
dévisager et d’apprécier cette qualité fondamentale : le sine qua non de notre existence. Vous remerciant pour votre civilité, Madame la
Commissaire Européenne de la Justice, et pour votre façon nette de dire ce qui
se passe sous nos yeux, je vous prie d’agréer ma parfaite considération. Michel Langinieux
***
À MONSIEUR NICOLAS SARKOZY Monsieur le Président de la République, L'article du
Monde le mardi 10 juin nous annonce "Comment
Nicolas SARKOZY a gagné contre les juges" : le Chef de l'État a construit une politique
pénale basée sur "une justice pour les victimes". Je porte dès
lors à votre attention, un plateau choisi qui suit celui d'Outreau :
76
magistrats - soixante-seize - concernés par l'affaire des empoisonnements
collectifs de la Sorbonne Nouvelle depuis ma plainte devant le procureur de la
république le 25 février 1997. Oui, 76 en totale non-application de droit
administratif et pénal. L'incapacité de ces spécialistes d'accomplir leur
travail juridique se voit couchée sur leurs écrits, avec noms, prénoms,
fonctions. Or l'amiante tue. L'amiante
tue en France depuis plus de cent ans. Malgré des
centaines de milliers de morts passées et à venir, aucun
employeur n'a été mis en prison : aucun empoisonneur n'a été arrêté. C'est la simple raison pour
laquelle ces responsables persistent tant qu'ils le peuvent, à rouler autrui
dans leur farine amiantée. Quelques
exemples caractéristiques : -
L'ordonnance de non-lieu du Juge Michèle VAUBAILLON : "Il n'existe
pas de danger pour le personnel et les étudiants de la faculté". Ordonnance incomplète
imprimée sans les notifications requises (Art. 183, 507, 508, C. p.p.). Il
s'agit pourtant d'un droit constitutionnel européen. - Joëlle LACKMANN, vice-présidente du Tribunal administratif de Paris,
réussit l'exploit de clore son instruction sur Censier sans avoir une seule
fois l'idée - mais pas une seule fois après 7 années d'instruction - de
mentionner le mot-clef du dossier, le mot "amiante" ! Rejet notifié cependant
avec les notifications de délais et recours (l'affaire se trouve actuellement à
la Cour d'Administrative d'Appel de Paris, avec pour avocate Corinne LEPAGE). Tant et si
bien que j'ai déposé une plainte adressée à Monsieur le
Procureur du Tribunal pénal international à La HAYE - en tant qu'étudiant à Censier de
1993 à 1997 - à l'encontre de l'État français concernant cette énorme
catastrophe trop bien entretenue, avec pour exemple notoire l'Université la
Sorbonne Nouvelle et son avocate Anne WILLIÉ qui, depuis dix ans, gagne sa vie
sur la vie des étudiants et des riverains. Si la
formulation recevable n'est pas parfaite - j'attends la réponse de Monsieur le
Procureur Luis MORENO-OCAMPO - le coup d'envoi est officiellement donné.
Personne, auparavant, n'avait osé apporter ces faits gravissimes devant une
autorité internationale. Une voie
tracée, royale, s'ouvre, prête pour votre capacité d'action devant le monde
entier : votre politique pénale. Les
simulacres de justice s'avèrent, en effet, si terriblement ennuyeux.
S'il vous
plaît, Monsieur le Président, délivrez-nous de la pourristrature. Un immense
merci de ma part. Michel Langinieux Date
de la lettre
Sarko 2008. Trois ans
plus tard : rien n'est fait ! Et on passe de 76 ... à 88 magistrats ...
|
Samedi 8 janvier 2011
« Michel LANGINIEUX ou la colère d'un poète ... »Michel Langinieux
donne sa vision de l'actualité, dénonce dans un rythme échevelé les
aberrations quotidiennes dont l'Homme se rend coupable, chaque mot
dénonce notre impuissance à stopper cette machine infernale qui nous
entraîne vers les abîmes... à lire sans sauter
une virgule ! Fred des
Neiges, J'essaie de
t'écrire depuis 8 jours. Bernique. Je suis ailleurs, sous cette fatigue
constante, suante. Ou tout simplement ailleurs. Ailleurs, c'est bien. Pendant ce
temps, des feux d'artifices, et il pleut des oiseaux par milliers !!! Avec leurs
taches de sang. La vie prise en plein vol. L'Australie,
l'eau gagne du terrain au Queensland : aéroports sublimes, trempés. Point
de non-retour qui ne cesse de monter. Miroir. Tout
lac est beau. C'est fou, avec des toits dessus qui pointent. Inondations
"bibliques". Des serpents grimpent. Sur et dans les maisons
dévastées. À Rockpampton : des grands, des venimeux, nerveux. La saison
des amours. La Guadeloupe s'y met ! en pluies diluviennes, pas en amours. Ils auront
les voeux de Sarko. Tout se tient. Haïti se
recouvre. Protection : Vaudou partout. Façon d'oublier ce qui se passe, la
famine, le choléra, la peur. Plus que la mescaline, le Vaudou recouvre. Y danser
toute la nuit sans être fatigué. Magie incompréhensible, tangible. Un nuage,
prêt. À vous enlacer. Un sourire dans l'air. Création indispensable pour les
désespérés, les affamés, les êtres perdus. ... Plus
grande la colère divine, plus grand le Vaudou généré. Un processus
: l'un nourrit l'autre. Mort présente, comme au Mexique. Il y a 50
ans, déjà, c'était énorme, Haïti. Nourriture collective pour
échappatoire. Force des incantations ... "Les comédiens"
disait Graham Greene. Tam tam le long de la nuit, de collines en collines.
Et Jolicoeur. L'as de trèfle, à l'aréoport. Une âme collective de milliers
de personnes en transe d'espoir ou d'oubli. Raison raisonnante,
pensée discursive, s'arrêtées ... On bascule. Dans autre chose. Les gens perdent
leur sens, leur connaissance. Les artistes dansent jusqu'à l'aube. La
jeunesse ne peut s'accrocher ... et passe de l'autre côté. Oubli indispensable. Le Mexique,
si proche. Un autre monde. Folie des Cartels. Personne pour s'arrêter.
Pour arrêter l'escalade. La bourgade Ciudad Mier, vidée. Petits arrachés
à une violence banale. 3 000 policiers et militaires n'y feront rien. Tout
bâtiment public devient havre pour réfugiés, familles, bébés, pour les
tueurs devant y passer. Formes d'hystéries, de fuites en avant. Plus de haine
de grogues et d'argent. De morts. Plus. Pendant que
des élèves, de plus en plus difficiles ici, relati vement au calme, sous des
réformes ridicules de chez nous - l'abandon des passions, du soin, du
respect de l'être - soulèvent le mal être chronique des enseignants et des
enfants. L'Education politique, une infection : dénaturer
l'enfant à la base, le tuer de gré, de force. Inventer des tortures
et notes, la comparaison, l'imitation. Imposer le gavage. Et moins
cela marche, plus ils en veulent. De cette frime. Cette folie
bureaucratique. Le "Sois sage et tais-toi", échec d'une
société étouffante mensongère. Israël, lui,
perd ses billes. Et paie le prix. Pour aller où ? Pour faire quoi ? Perdre à
coup sûr, faire perdre les autres, ses frères, ses cousins. D'autres
hommes. Plus. Plus de coups de poignards dans le dos, dans le ventre. Percer. Percer. Pas dans l'intelligence. Dans la
besace des compromis. Avec la
Bête. La Bête des
fous. Qui finit à coup sûr. La trahison. Oiseaux et
poissons tombent. Les signes par milliers. Vomissez, mes frères. À 93 ans,
Stéphane s'écrie : "indignez-vous" à 3 euros la
copie. M. Hessel y va. Pas molo. Le pays marche sur la tête, dit-il.
Et son livret marche et se vend. Au point où le pantin de service
l'imitera sous peu, et le cheptel suivra !!! Il y aura une médaille pendue,
sûr. Au coup du grand homme. Pendant que
Mme Irène Frachon, libre de la condescendance des responsables
ministériels ou autres fonctionnaires de la haute, dit la vérité sur le
Médiator. Mais pas
Bachelot. Bachelot radote : elle apprécie radoter. Elle s'occupe du
"crucial", point de son état mental. Dommage. Quant
au président de "Servier la honte", il annonce "seulement
trois morts" pour le Médiator sur ses voeux délirants. C'est trois
de trop, Monsieur, dus à votre médicament dégueulasse. Une
légion d'horreur pour désinformation ! Cent dix plaintes arrivent. Elle
seront suivies par 105 autres, en cascade, avec preuves du lien entre prises de
Médiator et maladies cardiaques. On s'amuse fort, dans la santé
publique ! Non, voilà
la revue "Prescrire" qui revient à la charge et dénonce
d'autres médicaments. Cher Prescrire, empêcheur de tuer en rond. Point la Sécu
: elle savait tout sur le Médiator depuis 10 ans. C'est cela, le trou dans la
conscience : la non-assistance à personne en danger. Résultat : des
centaines de médicaments à retirer des pharmacies, produits dangereux et
inefficaces. Tout sort.
Mais en attendant, qu'est-ce que l'on déguste chez nos faux derches ! Le Médiator,
c'est 2000 personnes. L'amiante, des centaines de milliers. Chut. C'est un
secret. Les
mafias fleurissent, vraies, fausses, tordues jusqu'à l'os. Le jeune
Giancarlo Siani fut assassiné à 26 ans, par la Camorra, une mafia établie.
Pourquoi ? Il était journaliste, un vrai. Au quotidien Il Mattino. Au
journal Le Monde, on n'assassine personne. Ils s'assassinent entre eux,
les dorlotés. Tout se tient, chez les mafieux à la même mentalité. Assange,
Julian l'ange Australien à sec, libre d'une Amérique hystérique à ses
trousses, révèle les tricheries politiques des grands de ce
monde, tout petits sous leurs masques. Ceux qui s'imaginent vouloir
éduquer les enfants !!! Les politiques, qui se mèlent d'éduquer
... Ces nuls, hypocrites, tricheurs, fourbes. Le nombre de
personnes que les politiques ont tuées !!! La jeunesse
algérienne explose ; suivant la Tunisienne. L'explosion de colère
secoue cette Tunisie ; suicide en pleine rue d'un étudiant chômeur. Trois
semaines de troubles sociaux virulents. Bizerte. Tunis. Sidi Bouzid. Djerba. Jelma.
Loulares. Thala et ses lycéens. Fragmentations. Séparations. Frontières
mentales et
spirituelles. Physiques. Economiques. La haine. Tout se tient. La Hongrie
se rit des valeurs de l'Europe. Elle s'en fout. Elle veut faire entendre
ses bottes. Budapest veut s'imposer. Halte pourtant ! "Ne pas
porter atteinte à l'intérêt public, à l'ordre public, et à la
morale". Mais voilà
: la Chine est là, à la rescousse absolue. Son agence de presse Xinhua
étend ses tentacules. Miam Hua ! Xin ! 27 bureaux en Europe. La Chine
colonise sans grands discours, sans esbrouffe, en puissance financière
mondiale. Elle développe un bombardier furtif capable de concurencer le Rafale
et le F22 américain. Elle oeuvre calmement. Un jeu d'échec. Du troc, case après
case. Dans son but commercial. Elle entre et prend. Elle entre et donne. Même
topo. Elle progresse dans la maîtrise du nucléaire, top niveau. Elle se veut
sauveur, empêchant la faillite de la zone euro. Et si la faillite arrive, elle
se portera garant. C'est tout cuit, prêt pour elle. MIAM. Le conflit
afghan compte 10 000 morts en un an. "Etape malheureusement
nécessaire" affirment les tueurs. Même chez les leurs. MIAM.
Plus ! Au Caire,
les coptes en ont assez. Le massacre d'Alexandrie pue sa forme d'ignorance.
Gratuite. Pauvres en esprit, la boucherie de dingos organisés contre de
braves gens. Le Tibet
annexé, une boucherie d'autres dingos. Plus. Des jaunes, des
colorés. Le monde est
vaste. Le Tibet aussi. Les citoyens chinois n'ont pas confiance. Eux-mêmes se
défilent devant les trucs, tours de passe passe, zones d'ombres, incidents
de masse. C'est grand, la Chine. L'Islam se
voit considéré comme une menace en France, en Allemagne. Il s'en fout. Il
prend son temps. Il avance. Il envahit. Kadhafi l'a dit. Nous entrons dans
l'irréversible. MIAM. Le journal,
de son côté, Le Monde, cherche une direction, avant le 10 janvier. Est-ce
pour continuer à désinformer ? Quel est le but de son euro cinquante
centimes ? Pourquoi joue-t-il à tant de jeux ? Pourquoi mentir,
laisser des gens en danger ? Que veut-il prouver, Le Monde ? Trouvera-il
une force d'intégrité plus forte que les jeux du monde? Et pendant
que le chef de l'Etat roucoule à qui mieux mieux, de voeux, de ses voeux, sous
les ors, chandeliers, lumières, façades, le pays s'écroule dans la misère et la
faillite. Sous des discours sompteux, sans réalité. Des mots. Des motts.
Des mots.. "Faites-vous vacciner, c'est sûr !!!" Il faut oser. Il y a feu
en la demeure [42 000 voitures brûlées en un an. 1000 à la Saint Sylvestre. Une
banalisation. Une coutume !] et personne ne l'éteint. Les gens ont
peur et se terrent. Pour la
première fois, les grands dirigeants syndicalistes ont refusé de se rendre à
l'Elysée, pour assister aux voeux présidentiels, champagne et petits
fours. Tourner le dos à Nicolas, acte incompréhensible ... Comment
l'homme normal peut-il réagir ? Celui qui travaille, nourrit sa famille, qui
existe, devant tout cela ? Comment peut-il réfléchir devant les vagues
montantes et la monstruosité des assertions ? Comment peut-il se transformer
pour amener un être humain neuf dans un pays neuf et foin
de ces serpières aux ordres, serfs déguisés, déni de vie et de réalité ? Comment une
femme libre peut-elle éclore dans ces carcans et fosses puantes ? Comment
vivre tranformés dans un monde qui ne l'est pas ? Pouvoir
seulement dire que le ciel est bleu, quand il est bleu, et noir quand il est
noir ? Michel
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Samedi 22 janvier 2011
« Michel LANGINIEUX lanceur d'alerte »Michel Langinieux décortique encore une fois les hypocrisies de notre système, ceux qui liront jusqu'au bout comprendront mieux les dangers qui nous menacent en ce sens que si tout le monde "s'indigne" au cri d'un vieux bonhomme de 93 ans, qui ne sait pas que le temps de l'indignation est passé et qu'il faut passer à l'action, il serait temps pour les plus jeunes d'en prendre conscience avant qu'il ne soit trop tard ! Michel Langinieux, "lanceur d'alerte" tente, je dirais "désespérément", de nous faire enfin passer à l'action ! Lanceur d’alerte Sujet qui prend conscience. L’objet dont il prend conscience : lien immédiat. Action. L’entité qui voit, et ce qu’elle voit. Dangers extérieurs et risques internes. Pour exemple : Jacques SERVIER ne retire pas le Mediator. Son laboratoire y sera forcé par la loi. Par les morts. Par le scandale. Par meurtre médical avec intention de poursuivre. Par refus de transparence, d’agir, d’arrêter. Avant tout, l’argent prime. Machine à sous tenue par lucre. Nocivité. Appétit rapace. Réalité inquiétante. L’arbre cache la forêt. Société loup pour l’homme. Mentir pour tuer. Guérir pour tuer. Tuer pour tuer, par avidité. Ne rien avouer. Jamais. Le voir, d’un coup. Le dire. Rien ne retiendra le lanceur d’alerte : il réalise. Dès lors, agit. Urgence, pour Irène FRACHON cette fois-ci : « La démonstration d’une imposture scientifique implacable». Jacques SERVIER, l’apothicaire empoisonneur, permet à Irène, la libre citoyenne FRACHON, d’exister. Si lui, le médical aux 145 millions de boîtes d’amphétamines, obtient la Légion d’honneur, elle, de son côté, sert la santé publique. La prise de conscience ne prendra jamais la vie. Elle la rend : elle lui rend grâce. Selon ses habitudes, le Président claironne « la transparence la plus totale » dans l’incapacité de l’obtenir, sauf un ronron national. Car personne ne sait ce qu’est la transparence ici : L’espace ? Le vide ? L’absence de maculé, de matière, de molécules, de particules, de quarks ? Le Rien du Tout ? Le Président, lui-même, incarne l’opacité et ses contradictions. Qu’il conte ce qu’il désire. Il ne demandera rien à Irène FRACHON qui elle, par contre, en lanceur d’alerte, lui apporte tout : sens, civisme, moralité ; et impose la réalité. Lui, le Président, passe après. Plus tôt, le 7 juillet 2009, Nicolas Premier parlait ainsi à son ami Jacques « l’engagé, l’incorrigible SERVIER » : « Vous êtes un patriote. Grâce à vous, notre pays peut saluer une industrie de classe mondiale. C’est un privilège réservé. Vous êtes un homme courageux. Un visionnaire. Une publicité vivante pour les médicaments SERVIER. » Tout est dit, pile. Pales mensonges et morts. Bien rémunérée, la nomenclatura d’une dictature chez Marianne la pute. Qui donc prescrit ici ? Qui connait les effets du sang contaminé, de l’hormone de croissance, des vaccins de l’hépatite B, des amalgames dentaires mercuriels, du nuage de Tchernobyl ; et laisse courir ? Qui veut ne pas entendre, voir, dire, alerter ? Plus fort : surmultiplier les désinformations. Qui a le pouvoir de ne pas exister ni de s’imposer civiquement, sauf par barbouzes interposés d’une mainmise éhontée, criminelle ? Qui dira « MERDE » à la merde hypocondriaque, enfin ? Le voir, d’un coup. Qui laisse crever un demi-million de personnes d’amiante en France - avant, pendant, après - imposant son « c’est rien », sans bouger un siècle durant, pour encore 40 ans, jamais assez ? L’essentiel, la vie humaine, passe à l’as. Pis : la moulinette : droits, obligations de se former, d’informer. Incurie incrustée. Xavier BERTRAND, ministre de la santé, trahit Censier la Sorbonne de 2005 à 2007. Il refuse de répondre à la question de Jean-Louis DEBRÉ sur le sujet. Maintenant, « il veut être entendu le plus vite possible. Et aller jusqu’au bout des choses ». L’express, pour mille personnes parachevées, mais rien pour des centaines de milliers amiantés Français, ni pour la Sorbonne Nouvelle en danger ! Poudre aux yeux que ce franc-maçon peu aidé : « Maçon certes, mais franc ? » (FILLON dixit). On attend depuis 5 ans. La présidente, hors-la-loi, LEMARDELEY de Censier, refuse l’obtention du DTA (Dossier Technique Amiante). Qu’a-t-elle donc à cacher ? Des malades, des mensonges des morts ? Elle évite d’appliquer la réglementation. La voilà tenue, obéissante aux forces de l’argent. Triste servante d’un État putride qui préfèrera trucider qu’avoir tord. Il n’y a pas de génies de la comprenette à Censier. La vie humaine, la base, le sine qua non de l’existence personnelle, se voit traitée comme entité négligeable par l’Éducation Nationale. Le lanceur d’alerte tranche avec cette aveugle beuglante fonctionnaire de mentalité papier-mâché. Sourde. Muette. Là où le mot tient lieu de fait ! Le lanceur d’alerte reste personne morale, normale. Pas du carton-pâte administré. Le voir. De fait. Qui avouera la faute « de n’avoir pas été au courant » ? Roselyne BACHELOT, ministre si rarement au courant ? Michèle ALLIOT MARIE ? Elles échafaudent leur petit tas de bois. Mort. Le bois des langues fourchues, les langues de bois. « MAM », suivant 20 ans de complaisance envers la dictature Tunisienne, ose sortir : « La France est tenue à une certaine réserve ». D’où sort-elle cela ? Du bois dont on fait les flûtes ? La Tunisie en crache un venin mal ressenti. Autant cracher sur une jambe de bois. « Dites à « MAM » qu’on n’a pas besoin de flics français » lance un syndicaliste de l’Union générale tunisienne du travail. Un seul cadre subsiste, évident, personnel : l’intérieur et l’extérieur, rien d’autre. Le voir. Le spectacle en soi, chez et avec. Dedans. Dehors. Les scénarios du nostalgique, en éventail, s’occuperont à la queue-leu-leu : Mitterrand, De Gaulle, Napoléon. Les flonflons. On dénonce pour mieux distraire, les « plans pervers d’épuration religieuse », mais point l’épuration en masse des Roms … Le monde musulman « malade d’intolérance », mais point les bourgeois qui, à coups de liasses, laissent des SDF crever par milliers. La « barbarie au Sahel » sur deux jeunes tués. Mais point les dégâts collatéraux du vaccin de l’hépatite B, qui affecta, sur un million de personnes, les cellules souches de leurs résultats déplorables. Dès lors : 1/ « Indignations et interrogations » : le scénario intérieur. Fortes réactions. L’outrage. 2/ « Ni responsable ni coupable » : le scénario extérieur. L’immobilisme faux derche. En vrac : l’on tue à bon compte, jamais autant ni aussi facilement. En Afghanistan, 53 soldats français. Combien d’Afghans, personne ne sait. SADR appelle ses partisans à « résister par tous les moyens » en Irak, chez eux. L’armée chinoise : 75 milliards de dollars. Les USA : dix fois plus. 60 544 personnes incarcérées en France. Adjudication de la dette portugaise. Chengdu : chasseur furtif et pigeon vole. Vie à crédit en Cisjordanie, mort à crédit en Palestine. Aux Indes : 17 368 paysans suicidés. Au Brésil : les survivants manquent de tout. Le coût d’Alzheimer. Tapis rouge à Paris pour la banque chinoise ICBC, la plus grande au monde : invités, Christine LAGARDE, Total, Air liquide, BNP Paribas, Sodexo « La France est attractive pour les entreprises chinoises, pas seulement parce que nous sommes romantiques » (sic). Madame le ministre se rendra mieux compte dans quelques années. Pékin, entre surchauffe et inflation. Scission de parquetiers et juges du siège. Amertume de l’institution judiciaire. De ceux, surtout, qui ont eu affaire à elle. Beaucoup de brumes ce matin. Le gouvernement planche sur un nouvel impôt. GBAGBO contre ONU. PASQUA s’en prend à CHIRAC. 4 février 2011 : l’année du lapin. À quand 1000 dinars en liquide pour chaque citoyen ? Nos chroniqueurs régalés par Superman d’État, cible facile ou clown. L’inimitable Stéphane GUILLON : « Tant qu’il est là (l’inspirateur Super-né), on est très, très inspiré. S’il part, cela va être un problème ». La France condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour « des traitements inhumains ou dégradants » en prison. BAKCHICH, le site sulfureux, menacé : on en veut à sa vie. Les polémiques entretiennent l’esprit. Tenir sans sous, est-ce possible ? Une liste d’évadés fiscaux pour WIKILEAKS (2000 comptes dans les îles Caïman). Toujours ça. Pris ! BERLUSCONI, empêtré de putes mineures. Pris ! Des vœux, des vœux. Le président traie la vache, tire sur ses pis. Les pires inondations, meurtrières. Niña, voilà. Crues. Glissements de terrain. Pluies saisonnières. Mousson mortelle. La délinquance. L’indépendance. ASSANGE plane : il les tient. Ils le savent. La révolte s’entend. Tunisie chérie : les ratés de la politique française. La Niña s’étend. Va, va. Libérez les otages ! La zone euro. Zone zéro. Trafics d’enfants : industries d’enfants. L’État et ses écoutes, saccageurs de sain, de sacré, si peu au courant des poisons et assassinats, happé par des sous ! Recherche du pétrole en Arctique. Le gaz de Schiste, sous l’eau minérale et explosive du robinet, prend feu. Creusez ! Creusez ! Des sous. Chancelière en posture, bonne ou mauvaise. Les pouvoirs d’achats. G 8, G 20 … G 228 ? Foison. La Chine s’impose, sans parlotes. Rien à prouver, quand elle veut. Goldman Sachs : son souhait pieu, vœu de transparence. L’université prône l’excellence (voir Stanford et Yale, plutôt que radoter !). Les ruines d’Haïti. Passez, passez, braves gens. « Baby doc » de retour, inculpé. Jamais assez. Le Maghreb à feu et à sang. Bien le voir. Les sous et la science « à la SERVIER » serviteur servile. Il reçoit de l’État - horreur - la plus haute distinction de la Légion d’honneur. Grand-Croix. Pourquoi parler transparence quand tout devient si clair : petits soins aux clients, roulés dans la farine. Pour Ségolène ROYAL : « L’affaire criminelle du siècle. On voit bien à quoi conduit la cupidité, la voracité de l’argent, la collusion des pouvoirs ». Elle oublie qu’elle a laissé crever Censier la Sorbonne d’amiante en 1997, preuves en main. Elle oublie qu’une plainte fut déposée contre elle à la Cour de Justice de la République sur « l’affaire criminelle du siècle ». Même amiante. Et contre 13 autres ministres, dont AUBRY, VOYNET, BUFFET, ALLÈGRE, LANG … Arrogance royale, trois plumes dans le cul. La commission des requêtes les couvre. Pays d’opérette. Opéra de quat’ sous. État avancé, pure pourristrature. Les noms des juges ? Sur Internet. Ils font partie des 89 magistrats … d’une nomenclatura franchouillarde en non-application de droit, en soutane. WIKILEAKS dévoile la crise bancaire. Les façons dont elle est gérée : face visible, face cachée. Pratique du lobbying. Ceux qui veillent à leurs intérêts. Ceux qui dénoncent la perversion, tenus à distance. Entre deux décisions, le pouvoir prend le pire, par choix. Floqué. Pamphlets sur la fonction publique : elle ne les supporte pas. Elle ne se supporte pas. Ni l’objectif intelligent de la pertinence. Pas d’humour dans la fonction ! Seule, la trahison. En contact, concerné, l’esprit dégagé. Voir, libre de tout savoir, de la pensée discursive, de l’explicatif redondant des universités tarées. Voir l’autre ouverture. Vue sur un feu qui s’allume et perdure, même sous les hurlements « DANGER ». Tchernobyl s’incruste. Son nuage ne passera jamais ici, c’est protégé. Ici. Il n’y a « pas d’amiante à Censier » (bêlaient les ACMO Bernard DHOOGE et Françoise CHIEZAL pendant des années). Académie modèle, mortelle, édifiante. Seulement des niais ici. Si jolis. Diplômés. La liberté du regard caractérise qui tire sur les manettes. Ni fonctionnaire asservi. Ni expérience antérieure. Ni jamais pris. Ni autorité, secte, tribal, groupe politique ou maçonnique. Ni. Ni. Haïti et les Haïtiens non perçus. Rien de rien. Secret rarement exprimé. Effacer. Absoudre. S’absoudre. Passe-passe. Mort à crédit. Où passe l’argent enlevé ? N’attendez rien. Personne. Sauf pour manipuler. Manigancer. Croquer. Grandes manœuvres. Implications non révélées. Sociétés écrans. Comptes ouverts, couverts à l’étranger. Le troc fait partie du prêt, de l’acquis. De l’entourloupette. Du savoir jongler. Acheter des gens. Des enfants. Des présidents. Attention : des sous dessous. Sens dessus dessous. Risques de contagion … Tunisienne. Depuis 10 ans, Eva JOLY alerte. Elle indique, sans perdre de temps. Elle ne traficote pas. Elle perçoit et le dit. Ses « héros ordinaires » sont des lanceurs d’alerte. Entrevoir sans division, sans mainmise. Affranchis du gâchis de nos archives. Liberté d’agir hors des doubles compromis, ronds-de-jambes, plans sur la comète, décelés dans la presse générale. Sans besoin d’imprimer, de s’imprimer pour pouvoir exister, de traduire suivant ses tendances personnelles. Hors temps. Pouce ! Ébranler la base de l’hypocrisie transbahutée. À bras le corps. « Le marché a pris la forme et la force aveugle du destin auquel on ne peut qu’obéir ». Tragédie grecque. Iphigénie. Le destin. Qui va se sacrifier ? L’étudiant nègre ? L’étudiant intègre ? Qui dira la vérité ici ? Qui peut l’entendre ? L’argent est Dieu. Déclin. Dislocation. Décomposition. La Chine progresse, en plus ancienne nation, la plus peuplée. En marche. Les marchés décident. Capitalisme financier. Problèmes non abordés. Rouleau compresseur. L’Occident quenouille. Internet court-circuite. Hermès communique. Incluant spéculations, mais aussi, la réalité. WIKILEAKS ouvre les soutes, allume ses spots. Les États, incapables de contrôler le spéculos, jugulent les forces démocratiques, les lanceurs d’alertes !!! On en pisse de rire. Mieux : ils donnent des leçons. Forces régressives. Plus fortes que tout sens. Vision plus rapide, immédiate. L’Armée du salut, et ses « SOS ». Ceux de l’Abbé Pierre, 50 ans durant. Personne ne les voit ni ne les entend. Les sans-abris niés. « Parle toujours ». L’État s’en fout. Lui, ses flonflons. « Des ministres au travail ». Pourquoi perpétuer le plus, l’encore, la frime ? Mentir, casser, salir, prétendre. Périr. La Belgique, sans gouvernement depuis 200 jours, marche aussi bien. Liberté de chercher, d’explorer, de patiner, ne rien accepter comme des veaux serviles. Les cheptels de Censier ! Liberté de questionner, de bondir dans l’espace. Tremplin. Pourquoi ces erreurs figées dans le chaos terrifiant des trafics de la presse ? NEW YORK Times. WASHINGTON Post. Le MONDE. The GARDIAN. La responsabilité due à l’alerte permet un monde différent. Pas en asservis, en entreprenants. Révolutionnaire dans le contenu d’une conscience. Transformer. L’ouvre-boîte des conserves. Dedans dehors. Vers l’intérieur, vers l’extérieur. Dans l’instant, sur le défi porté. Face aux questions du monde. Dans les réactions multiples. Prêt. Le voir. Qui crée le fondamental : « Dedans, dehors, face à tout cela, qu’est-ce que je veux ? » sans s’en ficher, sans se ficher ? Aux ordres ? Faire plaisir aux autres ? Pion ? Ou changer de vitesse ? Tirer sa main du feu. Qui voudrait souffrir prit, et frit ? À en être con. Sorbonnacré. Et la main anesthésiée ? Ces fonctionnaires se laissaient crever, 46 ans durant, dans leur Fac lardée, sans murmurer. Si, ici, on cousait des petites filles ? Suivant la coutume. « Boit ton vin, c’est du bon vin ». Nos ancêtres. Gaulois d’Afrique. Du Nord, du Sud, de l’Est. Là où l’on profite d’autrui sans vergogne. Des dogmes proposent. Les dictats disposent. Le flot emporte, affaires, vie politique, religieuse, scientifique, de famille. Des fragments. Ce qui permet la beauté aussi, la générosité, la nature. Le sens de l’immense. L’infini du 8. La ronde infinie. Les actions fragmentaires apportent leurs opposés : communistes, socialistes, capitalistes, « istes » à l’infini ; les activistes. Et les actions contradictoires tiennent, consciemment, inconsciemment, des activités contraires à l’enjeu initial … Divisions, d’autant plus ! Fragmenter. Emmurer. Démembrer. Fractionner. Mieux régner. Le voir. Acte valable. Sain. Monde désagrégé morcelé, où la violence s’impose. Violence normale banale, sans nom. Brute. Sous nos yeux. L’homme veut avoir raison, s’établir ou écraser les autres par sa raison raisonnante, gouvernement en tête. Et la tête qu’ils font ! La tête qu’ils ont ! Souffrance, anxiété, peur, imitation, comparaison. Plus, plus, pour écraser l’autre. Dinosaures en succès, dévoreurs de mammifères, des premiers oiseaux. La presse n’apprécie pas. Pas la vérité. Elle insiste pour déposer son grain de sel. Son droit de mentir. Sa forme de tyrannie. À sculpter la réalité. À son gré. À imposer ses idiosyncrasies. L’arrogance aveugle d’une pensée qui croit expliciter. Qui sait tout, l’aveugle, toujours tout. Surtout à Censier floquée, exemple parfait. Sortir du système, transformé, face au monde en tronçons qui refuse le vrai. Qui envisage que cela puisse marcher ? Qui osera arrêter, fera tout pour arrêter l’empoisonnement collectif ? Le génocide ? La mort en Fac ? Qui respectera le droit, comme ce prix Nobel jeté en prison, pour son respect qui dérange ? Qui dérange l’ordre du pouvoir super-imposé, chinois ? Le lanceur de vérité - la liberté pour tous - n’a pas à obéir à qui que ce soit, ni à quoi que ce soit, fausse excellence, robotisation, cheptel hurlant, magistrat manche ou balais. Le lanceur d’alerte réalise, plutôt que cogiter. Confrontant le fait du danger : « NON » à la mort placardée par forces monnayées. Transgression des valeurs trop courantes. Dictatures mafieuses toutes en complaisances. Nucléaire iranien. Le statut fonctionnaire français statufié, s’étouffe, l’esbroufe. Car l’activité contradictoire, gouvernementale, mentale, cérébrale, se contredit sans cesse. Magma de mots, de morts, de mensonges. Assez d’école primaire, appliquée dans les universités. La sève arrêtée. L’État des lieux au pays où rien ne bouge. Pendant que WOERTH cache et se cache. L’ombre lui convient, lui et sa femme. Qui est ce ministre ? Qui le sait ? Les Francs de Polynésie Française rémunèrent les pouvoirs publics sans jamais exister : les XPF. Pourquoi ? Qu’y a-t-il encore à cacher ? Des transits ? Du tube digestif ? Des retraites, déjà oubliées, l’agonie d’un mythe français. Le mouvement de la vie accepte mal ces possessivités, calculs, manipulations, anxiétés et paniques. Lardés en Sorbonne Nouvelle aux prisonniers modèles d’un comportement asservi. Serfs d’une société aux siècles d’immoralité, d’immobilisme, de règles imposées. Pauvres étudiants, dans tous les sens du terme. Jalousie, domination, haine, envie, désir de posséder : structures du plaisir bestial. Professoral. Bien noté. Formules, systèmes, schémas : les voir s’évanouir dans un 8 infini de l’intérieur à l’extérieur, et vice versa. Un flot de vie sans commencement ni fin, jaillit. Dans le fini. Fouler la neige chez soi. L’homme nouveau. Déjà. Le lanceur d’alerte. Jamais compris face à sa Fac Paris-III, l’inerte. Bêtise incarnée. Com-par-ti-men-tée. Muselée. Pur atavisme. Sans voir ni savoir. Bouger ni faire bouger. Caractère ancestral, primitif. Cocorico stratifié. Capito, Censier ? Réfléchis sur ta cage à rats, l’amiantée. Pour démolir et t’accaparer l’Ilôt POLIVEAU : il te faut, d’abord, le dé-sa-mi-an-ter. Capito, Censier ? Le voir, d’un coup. Pour résumer : Premier poisson marchant sur terre, il y a des millions d’années. Héros bancal aux nageoires, branchies, écailles rampantes. Cartilages. Moustaches. Poitrail. En marche. Quand les reptiles n’existent pas, ni les gracieuses gazelles, ni les démarches félines. Menu fretin qui ose trouer l’espace, sacré poisson. Voie de transformation. Changer de dimension, de direction. Annonce d’une alerte. Loin de l’ignominie. Sur terre ferme, avancer. Y aller. L’aube d’un homme nouveau.
Voir : <langinieux.ouvaton.org> Paris, le 21 janvier 2011 Voir aussi : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/industrie-du-medicament-les-88745
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Dimanche 27 février 2011
Michel LANGINIEUX14 ans de luttes contre le "système"qui protège les pollueurs
QUELQUES DÉMARCHES EFFECTUÉES PAR LE LANCEUR D'ALERTE Sur les 14 ans de lutte
de Michel Langinieux ci-dessous, derrière
chaque date, les démarches les plus révélatrices de la difficulté qu'il y
a à obtenir JUSTICE non pas pour soi mais POUR LA SANTÉ PUBLIQUE ! cliquez sur les dates pour accéder aux
documents *** "SOYONS TOUS DES "LANCEURS D'ALERTE" Michel Langinieux se qualifie
lui-même comme un "lanceur d'alerte" et le moins qu'on puisse dire
est qu'il ne ménage ni son temps, ni sa peine, ni sa santé pour tirer
frénétiquement et jusqu'à l'épuisement la sonnette d'alerte du scandale de
l'amiante et ce non pas depuis quelques jours ou quelques mois mais depuis 14 ans ! J'ai déjà
publié quelques écrits de Michel Langinieux. C'est tout naturellement que je
publie les derniers, en format PDF, dont la longueur rebutera certains (tant
pis pour eux !) mais qui éclairera ou confortera ceux qui ont assez d'intérêt
pour leur survie et celle de leur famille. Ceux-là porteront à ces documents tout l'intérêt qu'ils méritent et
peut-être ... peut-être ... que le courage, la ténacité et le pouvoir
d'indignation de Michel Langinieux (qui n'a pas attendu la mode d'un livre lui
ça fait 14 qu'il s'indigne !) leur donnera l'envie de devenir, eux aussi, des
LANCEURS D'ALERTE fusse, simplement, en diffusant le détail des combats que d'autres mènent,
souvent seuls, pour le plus grand nombre ! Ce qui tient
le plus à coeur à Michel Langinieux, c'est le scandale toujours d'actualité de
l'amiante et des responsables politiques ou de la magistrature qui ne
font rien pour stopper le massacre et laissent impunis les coupables de
ces tueries silencieuses dont nous sommes TOUS victimes ! L'amiante, qui
a tué et continue de tuer lentement, dans le cas précis que
dénonce Michel Langinieux ce sont les étudiants de la
Sorbonne qui sont infectés sournoisement chaque jour,
dans l'indifférence du Gouvernement et des Ministres pourtant maintes
fois alertés, interpellés, re-re-interpellés en vain au cours de ces
dernières 14 années ! D'un gouvernement à l'autre, d'un ministre à l'autre
la réponse est la même : laxisme, mépris, fins de non recevoir, silence
... Mais si nous
agissons aux côtés de Michel Langinieux et de tous ceux qui comme lui
dénoncent l'insupportable, ce silence deviendra tellement assourdissant que
le grand public finira par l'entendre et que les
pollueurs, comme les responsables à cols blancs ou en robes qui n'ont rien
fait pour les arrêter, seront punis à la hauteur des crimes
perpétrés ! L'actualité
dénonce chaque jour la déliquescence des rapaces politiques qui, par leurs
actes, déshonorent la France ce qui est certes grave, mais beaucoup moins que
la complaisance meurtrière dont ils font preuve à l'égard de ceux qui nous
tuent et hypothèquent la Vie sur la planète par cupidité.
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Mercredi 1e juin 2011
« Langinieux Michel se bat depuis 1997 pour que Justice soit rendue » Michel
Langinieux est un homme épuisé, à bout de nerfs et à bout d'espérance,
mais pourtant toujours debout face à une justice sourde, aveugle et criminelle. Ne parlons
pas de nos valeureuses sources d'informations, dixit les médias
"officiels", toujours courageux pour enfoncer les portes
ouvertes et faire plaisir au Pouvoir en place, mais pusillanimes jusqu'à la
lâcheté dès qu'il s'agit de jeter sur la place publique ce qui va déplaire à
l'intelligentsia qui nous gouverne (gauche droite peu importe !). Quel média "officiel" a dénoncé l'affaire de l'amiante à
l'Université de Censier la Sorbonne Nouvelle à Paris ? Pourtant,
cette affaire a débuté en 1997, quand Michel Langinieux et d'autres avec lui
ont découverts et immédiatement dénoncés que les bâtiments de l'université
regorgeaient d'amiante sans qu'apparemment aucun responsable ne se charge de le
retirer. Durant des
années, tous ceux qui évoluaient, à divers titres, dans cette université
ont été mis en danger par le laxisme impardonnable des divers services de
l'Etat habilités à surveiller, alerter et réparer ce qui peut nuire à la santé
publique. Pire ! A
aucun moment les décisions majeures n'ont été prises, comme celles d'assainir
les lieux ou d'enquêter afin de découvrir si certaines pathologies de personnes
malades ayant travaillées ou travaillant à l'université étaient liées à cette
amiante invisible et meurtrière, présente des années durant dans les murs
et les plafonds des bâtiments, des amphi', des couloirs, des bureaux ...
PARTOUT ! Dans ce
fichier pdf vous pourrez découvrir les conclusions des 14 ans de lutte du
"pot-de-terre" Michel Langinieux, contre le "pot-de-fer la
magistrature française et jugerez, en votre âme et conscience, où est la
Justice dans cette lamentable et meurtrière affaire. Lire ici ... Ci-dessous un commentaire qui n'est pas de moi mais me paraît très intéressant à publier Langinieux,
en dépit de toutes les villénies qui lui furent faites par Censier la Sorbonne
Nouvelle, Fac amiantée qui ment depuis 47 ans (avril 1964). [Voir site
<langinieux.ouvaton.org> "Premières preuves"] : quand
le Préfet de la Seine s'insurge contre la construction du Centre Censier
sans son autorisation, en toute illégalité. Pour enfin floquer ce
centre de 6 km et demi de poutres de fer d'amiante, reconnu cancérigène depuis
déjà 15 ans. La non-application constante de la réglementation, les malades,
les morts, jamais mentionnés par l'administration, l'ont poussé à
dénoncer ce "crime sociétal" devant le monde entier. Langinieux
était à la Fac durant les travaux lourds de 1993/1994 de surélévation de la
bibliothèque qui ont
contaminé le quartier et Paris de pics de fibres d'amiante par milliards, sans
aucune précaution, sous les yeux de la Préfecture et de la Commission
de sécurité. Mentir et empoisonner sont les deux mamelles de Censier la
Sorbonne qui veut, maintenant, enlever une parcelle de terrain au Museum
d'Histoire naturelle pour construire une nouvelle cage à lapins après la
cage à poisons. Des
centaines de milliers d'étudiants venant du monde entier sont passés par
Censier, sans que rien, jamais, ne leur soit dit des risques mortels de l'amiante.
Les deux Chefs de service responsables assuraient constamment : "Il
n'y a pas d'amiante à Censier". C'est le niveau mental et moral de cette
fac Française.
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Mercredi 3 août 2011
« Michel Langinieux, la voix qui crie dans le désert ... à lire et à méditer »Quand la
marmite "bout, baisse le feu", O, Frédédic de Nizza, de
Savoie. Il vaut
mieux la préparer soi-même, cette bouillabaisse. On la trouve
sur le Vieux Port de Marseille, la Corniche, au Port de
Nice, à Antibes. Miam. Rascasses,
grondins, girelles, congres, beaudroie, roujets. Tu
ajoutes la rouille, ail et piment rouge pilés dans un mortier avec mie de
pain, deux cuillers d'huile d'olive, un peu de bouillon. Je te dis
pas. Plus simple
: l'aïgo-sau - eau et sel - poissons bouillis. Daurades,
loups et sars, lottes, quelques pommes de terre en tranche, oignons,
tomate émincée, feuille de laurier, brin de fenouil, zeste d'orange, céleri,
persil. Pendant ce
temps, les Roms passent des bidonvilles à la rue : les traques
de Marseille-Nord, les rafles, les déportations. La réalité
bling-bling. Epuisement dû aux expulsions. Les Tziganes
résistent à la mathématique forcenée d'un des
leurs qui se prend pour le Grand Vizir sous pathologie foireuse. "On
vide et vit des poubelles, jusqu'à 30 euros par jour" dit l'autre. Une
véritable intention de nuire s'instaure chez les pouvoirs publics à accents
chantants. Acharnés. Niveau médical du Darfour, du
Soudan. Intoxication par lait périmé. Vivants dans
les décharges au pays des lumières, du Mistral et du sang contaminé au soleil de
Provence. Gaudin et le
Préfet jouent les sourds-dingues dans leurs coquillages, recroquevissés. Tout devient
Rascasses pour eux. Ils ont
perdus le sens des choses, dans leurs flonflons qui puent du machabée. Bertella-Geffroy,
Permier juge, rencontrée il y a 15 jours, me prévient "de
mal en pris". "Tout s'écroule" ... Elle épingle
"très éruptive", plusieurs anciens cadres dirigeants des
hôpitaux parisiens, non prévoyants pour le désamiantage de leurs locaux
:"Plusieurs dizaines de salariés atteints". L'hôpital "se
fout de la santé publique", nous apprend le Canard du 27/7/11. Pendant que
le "Parisien" du 20/7/11 les placarde ouvertement. Cela se change
rien. Tous ont l'impunité, font semblant et dégustent leurs bouillabaisse
rouillée de morts d'hommes : homicide avec intention de poursuivre, homicide
volontariste, homicide et Cie. Persévérance dans l'homicide. Régal. Encore.
Gargarismes. Battre son
plein, ne baisser ni les bras ni son feu : en avant toute, par centaines de
milliers de morts. Un nectar.
Encore ! À petit feu. Au pays des droits de l'homme. Les visages
hagards des petits qui crèvent de faim en Somalie, leurs hurlements de
désespoir pendant
que Sarkozy roucoule et coule en douce son dindonnage apaisant de
sommeil profond. Les cadavres
des enfants saccagés par les frappes de l'OTAN (reportage de Michel Collon sur la Lybie) . La
ratatouille agencée des forces de la mort et du fric. Dois-je dire
autre chose ? Bienvenu sur terre. Je peux
parler du vide. Ils ne
pourront jamais l'atteindre. Ils ne peuvent tuer que le "quelque
chose". Le rien, ils n'y
comprennent que couic. Le Rien leur échappe. Raison pour
laquelle je les emmerde profondément. De toute la
force de ma transparence. Michel
Langinieux
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13 novembre 2012 Lettre de Michel Langinieux
à la Juge Marie-Odile Bertella-Geffroy Michel Langinieux a consacré sa vie à la lutte contre l’amiante. La mise en examen pour « homicides involontaires » de Martine Aubry lire... est pour lui une victoire personnelle, la preuve que son travail, son acharnement, sa ténacité à jeter dans la lumière ce que des politiciens sans scrupules voulaient cacher commence à porter ses fruits. Les coupables vont payer et la Justice semble ne vouloir en oublier aucun, si puissant soit-il ou ...soit-elle ! Michel Langinieux n’a jamais lâché prise tout au long des interminables années parsemées de souffrances, d’humiliations, de menaces et de harcèlements de toutes sortes dont le seul but était de le décourager, l’effrayer, l’user jusqu’à ce qu’il rende les armes, mais les armes, Michel ne les a JAMAIS déposées ! Aujourd’hui, car la victoire à un prix, Michel Langinieux est malade, il paye dans sa chair les conséquences de tant de rudes batailles contre le Pouvoir, l’Etablishment, l’hypocrisie et la cupidité de ceux qui abandonnent au cynisme d’industriels sans scrupules les citoyens qu’ils devraient protéger. Voici la lettre que cet homme hors du commun a écris à la Juge Marie-Odile Bertella-Geffroy qui vient de mettre Martine Aubry en examen : Marie-Odile Bertella-Geffroy Madame le Juge, Votre action du mardi 6 novembre 2012 est, nul doute, ce qui va le plus aider Censier la Sorbonne étudiante et citoyenne, face à l'entreprise de destruction systématique mensongère officielle que cette Université confronte dans ses murs depuis juillet 1996. Destruction de responsables qui manquent à leurs obligations. Pour la première fois en 120 ans, un ministre se voit mis en examen sur une horreur soigneusement entretenue en France par l'immobilisme que l'on sait. La loi de juin 1893 contre "les poussières industrielles", en d'autres termes : "L'Etat se doit de protéger", commence, du coup, à être respectée et même lue : c'est dire ! Quand à la directive européenne de 1983, cent ans plus tard, à l'évidence nos ministres s'en moquent. Certains syndicats et associations de défense des victimes de l'amiante, des personnages comme Michel Parigot, François Desriaux, et autres Harlem Désir ou politiques dangereux pour la vie humaine, se sont émus de cette première concernant un ministre responsable. Or, cette première souligne grands nombres de ces experts "en amiante" comme en non-assistance à personne en danger. Aucun de ces personnages n'a jamais ouvert la bouche en ce qui concerne la mort à Censier la Sorbonne Nouvelle, bien que tous parfaitement au courant depuis 1997. Leurs jeux du monde pratiqués dans une mentalité faussement fonctionnariste, incivique, plus néfaste encore que la non-application de la réglementation et du droit, en disent long sur un génocide autorisé pendant plus d'un siècle avec le goût amer du secret pathologique. Les "homicides involontaires" sous l'éclairage du temps, sont, de fait, une persistance dans l'homicide volontariste due à l'incurie des pouvoirs publics. Pis : des homicides avec intention de poursuivre. Voilà, dès lors, une véritable gifle de vérité envoyée à un pays hycocrite qui entretient sciemment un crime sociétal, l'air de rien. Tout le monde se tient ICI, à la fois d'accord et dedans. Avec des morts d'hommes sur grande échelle et une servilité acceptée. Votre action change la donne. Que cette percée soit reçue imperceptiblement ou en son immensité, la justice tranche enfin. Les victimes qui atteignent largement le demi-million (passé et futur) depuis plus d'un siècle, lancent leur MERCI salubre. Jusqu'à présent, en effet, dans ce pays de sang contaminé nous n'avions eu droit qu'à un autisme étatique totalitaire verrouillé, imposé. À une féodalité barbare. Une surdité crasse. Ce qui s'applique quoi. Une clameur infinie se fait entendre face à l'indifférence administrative, celle de nos morts qui hurlent plus fort que le silence assourdissant imposé par les élites. Nos malades et les victimes collatérales sauront vous reconnaître d'emblée, ainsi que la conscience qui vous anime. Vous tenez tête devant des hordes de faux derches tous crins. Si bien que tout change dans mon combat de défense de la vie humaine : la possibilité pour tous de gagner plutôt que de perdre comme il se fait d'habitude ICI, se fait jour. De gagner le droit d'être citoyen à part entière, plutôt que de survivre en serfs d'un système éhonté qui entretient le faire semblant et le lucre par excellence. Je ne saurais jamais assez vous remercier. Avec mes respects citoyens, Michel Langinieux
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13 février 2013 Tant que le scandale
de l'amiante perdurera, tant que l'amiante continuera de tuer sournoisement,
tant que les victimes de l'amiante ne seront pas décemment indemnisées, des
voix s'élèveront pour dénoncer ! Parmi ces voix celle
de MICHEL
LANGINIEUX, artiste au style échevelé, au mot précis, à la
poèsie à fleur de mots, écorché jusqu'au sang par les injustices, inguérissable
révolté, généreux jusqu'à la folie. Je vous recommande la lecture de sa lettre,
adressée hier, mardi 12 février 2013, à Madame
le juge Marie-Odile
Bertella-Geffroy car tout est dit et dénoncé. *** Madame le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy Madame le Juge, L'assassinat légal qui perdure ICI depuis 120 ans relatif à l'amiante, très précisément décrit par Madame Prada Bordenave, Maître des requêtes au Conseil d'Etat, le 3 mars 2004 placarde la : "Responsabilité de l'Etat pour carences fautives". Etat bien tenu, entretenu en "Haut Lieu" ; haut lieu souligné par Marc Trévidic, Laurent Lèguevac et vous-même, sous la mainmise des élites (et banquiers influents) de ce pays. Elle consiste essentiellement à : 1/ Ne pas bouger. 2/ Ne rien faire, sauf semblant. Pour l'amiante : A/ "Responsabilité de l'Etat employeur". B/ "Responsabilité de l'Etat régalien", souligne le Conseil d'Etat. Ce double constat placarde directement le ministre de l'Emploi et de la Solidarité, suivi par une quarantaine d'autres ministres aussi suffisants qu'insuffisants. [Maître Joissains-Massini à porté plainte contre 12 ministres, dont MM. DSK et Laurent Fabius, etc..; et moi-même contre 14 d'entre eux, dont Martine Aubry, Ségolène Royal, Jack Lang, Claude Allègre, etc.. plaintes adressées à la Cour de Justice de la République dont la Commission des requêtes couvrira ces 26 fonctionnaires, véritables institutions d'intouchables responsables]. Une morgue totalitaire/cimentée prime à l'encontre de plus de 50 années de réelles expertises scientifiques ignorées/cadenassées sous une surdité tenace cause de centaines de milliers de malades et de morts en France. Dès lors, une absence de police et de justice résultant automatiquement en incivisme sur ignorance. Plus que tout, indifférence saupoudrée d'incompétence. L'ensemble de ce conservatisme immobile ne peut prendre place que sous un peuple soumis, incolore. Apathique. Au problème primordial : l'inexistance. Aucun drame de cette ampleur ne pourrait voir le jour dans un pays sain, concerné, créatif, éveillé. Un pays jeune. Or, déjà Diogène "cherchait un homme" sa lanterne à la main. 3000 ans plus tard, l'on cherche toujours, vu les rares officiels qui assument leurs responsabilités dans une société répétitive qui, sans cesse, redemande "du pain/des jeux/du plus/et jamais assez". Des ronflements puissants prédominent. Des "génies de la finance" aux comportements dangereux. Une récupération systématique par rapaces ou niais "aux ordres", ou sous intégrisme, établit son étau contre des millions de personnes ciblées : les consommateurs. Si le tube digestif sempiternellement persiste avec ses exigences, l'absentéisme [civique et moral, fort bien représenté par les personnels de Censier la Sorbonne Nouvelle], lui, prévaut, lardé d'omertà, pleutrerie, obéissance irréfléchie. Et morts d'homme : en exemple parfait, se laisser crever plutôt que d'ouvrir la bouche. Se laisser dévorer cru, plutôt que d'exister. Refuser d'accorder le DTA (dossier technique amiante) exigé par la loi : refus de l'actuelle présidente Marie-Christine LEMARDELEY. Préférer largement : l'homicide volontariste totalitaire. Le "chacun pour soi", le "moi je"/"moi d'abord et le reste, on s'en fout" font tache d'huile et s'imposent, boas constrictors ou couleuvres ordinaires. On avale malfrats cupides, inconscients, maires clientélistes, tricheries à l'ordinaire, présidents pitoyables et chefs de service tartuffiés. Présidents potiches, tout droit sortis d'un musée de cire. En ambiance générale, cette semaine seulement [sans radio ni TV], voici ce qui s'offre : . Sur le Canard, pêle-mêle : [Corruption dans le foot. Bernard Arnault : 6 milliards de perte pour le Trésor Public. Madame Lagarde, au bout du compte : 303 millions déversés sur Bernard Tapie. Agonie des juridictions de proximités. Crise de logement à la Guadeloupe, la directrice de la Semsam gagne plus d'un million d'euros par an entre St Martin et Basse-Terre. Le Crédit Agricole annonce ses pertes [massives] : 6 milliards d'euros. 137 000 amendements déposés par l'UMP sur le "mariage pour tous". Personne ne parle du "mariage pour personne" chez nos forçats enchaînés ... [Jamais assez de droits, de devoirs, de règles et de sacrements, pour se lier davantage au pays de la liberté]. Sévère mise en demeure au groupe Areva qui exploite des déchets radioactifs de La Hague : l'état de 60 gisements "Cocotte-Minute"... le désastre Fukushima n'aura pas suffit. Renault dans la dèche. Opérations de communication de la SNCF : 210 millions depuis 2007. Propositions de loi contre les ondes électromagnétiques : via la poubelle. "Plus on parle de principe de précaution, moins on l'applique". Assistance publique véritablement sous anesthésie : Maternités Hôtel-Dieu, Saint-Antoine, St Vincent-de-Paul : fermées. Les lanceurs d'alerte, décimés, ne font pas long feu et se voient ciblés, en première ligne : seul projet de loi Vert dans les tuyaux ... Pas un mot sur AMISOL !!! La vie humaine n'a pas trop d'importance chez les mentalités affairées de la presse] Sans police ni justice on va où ? . Quelques lignes dans le Monde, pêle-mêle : sur Amisol, "Non lieu dans une affaire d'amiante"."Empoisonnement et homicide volontaire" auraient dû réveiller. Non pas. [Plus fort, dans ce cas précis : l'immobilisme exonère l'immobilisme !!! Qui le voit ? Plus fort encore : les non-lieu au pénal sont irréguliers, tous, car incomplets [art 183, 507, 508 C.p.p.]. Qui écoute ? Ce tour de passe passe passé sous silence, je le dénonce depuis 10 ans !!! Plus hypocrite/engoncé que la Cour d'appel de Paris, serait difficile. Si, la Cassation. Etc.] ... "Les multinationales fuient l'impôt ... partout". "Le démantèlement des navires reste un marché "sale"". "La mondialisation se rit des frontières". "Au Bangladesh, la mer monte inexorablement". "La peur de rendre des comptes". "Des produits toxiques (lasagnes) vendus par de respectables banques à des clients ignorant tout de leur dangerosité". "Pesticides : pitié pour les abeilles !" "Eva Joly : Le poids des lobbys demeure impressionnants". "Le lent naufrage de la Protection judiciaire de la jeunesse". "Jacques Degrandi a été jugé par contumace, mercredi 6 février, par la formation disciplinaire du Conseil Supérieur de la Magistrature". "Ce haut magistrat ... était indirectement à l'origine de poursuites contre Patrick Ramaël, un juge d'instruction qui déplaisait en haut lieu ..."Le président de l'union syndicale des magistrats (USM majoritaire) s'est attardé sur "instrumentalisation du disciplinaire pour des raisons politiques" ... Ce qui nous ramène au trio "Jean-Claude Marin/Martine Bernard/Jacques Degrandi", cause de centaines de milliers de morts par amiante depuis des lustres, en bonne foi/bureaucratique/indifférente/aux ordres/sous impunité (suivis par Cotte, Magendie, et la clique chapelet). ... S'imaginer que l'être humain va se laisser entièrement asservir [bien qu'il en prenne le chemin], par une horde de faux derches aux ordres, n'est que leurre. Horde déterminée à exterminer autrui, façon nazie, ne sachant rien faire d'autre façons mante religieuse, mécanique. "Nous sommes nés là-dedans" (Marivaux). S'imaginer que je vais me taire devant pareille concupiscence acharnée en sa morgue persistante de crime sociétal, est cracher devant le sacré de la vie. Attirer la colère divine, le feu de Zeus. L'intelligence même de la vie nous délivre des cafards et des crabes. Des aspics et autres tarentules. La vie se dégage des empereurs/dictateurs/détraqueurs de temps, de cervaux, d'organismes, d'enfants, de sens. Elle passe au travers comme un grand vent. De ces maculés de la magouille, il ne restera rien. Les passionnés du veau d'or s'écroulent immanquablement. "Attendons la fin" ... de la campagne de Russie, de celle du Mali. Du froid Sibérien. Du sirocco Saharien. Les femmes nous sauvent, "sentinelles de l'invisible", disait un pape Polonais. Trois noms de femmes protègent ce travail de salubrité. Dont le vôtre. Les mères seront toujours plus fortes que les pires gougnafiers. Or, dieu sait si elles sont poursuivies, haïes par les Détraqueurs officiels (ou Dementors de J. K. Rowling). ENVOI : De par la force de ces femmes sentinelles. De par 17 années de travail personnel sur la stupidité humaine particulièrement masculine/macho/paternaliste, et "l'enseignement supérieur" tel qu'il se pratique ICI. Face à l'Europe (CE) et au Tribunal Pénal International (TPI). Je dénonce et implique les élites de la France, son exécutif, son ministère de la justice, tous Gardes des sceaux confondus, et l'incurie de pouvoirs publics pour : 1/ HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POUSUIVRE. 2/ PERSEVERANCE DANS L'HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Concernant le CRIME SOCIETAL de l'amiante, ses centaines de milliers de victimes passées et à venir sur 120 années, y ajoutant 50 ans de latence. . Que ma parole fasse Loi dans l'Univers causal. . Que justice s'en suive nationalement, internationalement. . Justice divine autant qu'humaine. . Que la force de votre apport soit reconnue. J'ai dit. Michel Langinieux
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24 février 2013 Michel LANGINIEUX écrit à Mme la Garde des Sceaux Michel Langinieux dit tout, dénonce tout,auprès des personnes en charge d’un pouvoir susceptible d’enclencher enfin une
véritable Justice et donc une véritable punition envers tous ceux dont le
laxisme ou la malhonnêteté ont contribué à ce qu’il est commun d’appeler « le
scandale de l’amiante ». Un scandale qui à ce jour n’a guère fait de vague
et PIRE, continue, puisque l’amiante fait toujours des victimes en certain lieux
non-encore désamiantés, comme le dénonce inlassablement l’infatigable Michel
Langinieux dans ses missives en forme de SOS. Samedi 23 février Michel Langinieux écrit à
Madame la Garde des Sceaux Christiane Taubira, pour lui communiquer ses
différentes démarches. Reste à savoir si Mme Taubira donnera suite à ce
courrier d’une importance vitale pour des centaines de milliers de gens,
l’avenir nous le dira… Ci-dessous différents mails concernant les différentes démarches de Michel Langinieux ----- Mail
transféré ----- Madame le Juge, Dernier carat ! Ils ferment. Vous aurez ainsi ma lettre adressée à Mme Prada Bordenave. M.L. ----- Mail transféré ----- Christiane Taubira Madame la Garde des
Sceaux, En urgence pour votre autorité, ce mail joint, que je désirais vous faire parvenir avant la date du 22 février, si importante pour les victimes de
l'amiante. Mon intention se réalise, puisque j'apprends que vous étiez partie en
Guyanne. Je suis donc dans les temps, avant votre décision cernant ce sujet
brûlant. Voici ma contribution : Il s'agit, avant tout, de trois femmes admirables et expertes qui ont osé
tenir debout devant un "Etat responsable de
ses carences fautives". Or, cet Etat, malgré le jugement sévère du Conseil
d'Etat le 3 mars 2004 à son égard, persiste à bafouer la loi, faire fi de la réglementation, dans son hypocrisie coutumière : "Ce vice à la mode qui passe pour vertu" [Molière]. L'Etat "qui se doit de protéger" depuis la loi du 12 juin 1893
"sur l'hygiène et la sécurité des travailleurs", fait
exactement le contraire. Ré-affirmant sa volonté dans l'introduction de la
Constitution en 1946, il persite dans le crime sociétal, les meurtres
autorisés, sous une mainmise hors-la-loi qui le caractérise pleinement. Madame le Juge d'instruction Bertella-Geffroy qui représente, seule, des centaines de
milliers de victimes, tient par la force de courage face à une indifférence
placardée (autant que totalitaire) qui souligne le conditionnement de ce pays : faire semblant/ne pas bouger. Si le Procureur Guariniello de Turin travaille avec 30 juges pour
régulariser Eternit, faits et méfaits, Madame le juge se voit, ligotée dans son
travail d'instruction par une horde de niais sans conscience civique. Pis : on
la fait travailler pour rien. Après des années d'instruction sur X, Y, Z,
sujets urgents, la chambre de l'instruction oppose refus et non-lieu, en
automate. Or, tous les non-lieu du pôle santé sont irréguliers car
incomplets (y compris celui de Mlle Caron sur le sang contaminé) : ils n'ont
pas les notifications requises [art. C.p.p. 183, et
507 508]. Ce droit, respecté dans l'administratif, ne l'est pas au pénal. Je le
souligne depuis 10 ans, en vain, devant une surdité verrouillée bien de chez
nous. Notre pays, Madame le Ministre de la Justice a besoin impérieux de ce Juge. De toute façon j'ai porté l'affaire devant le CPI et la CE [langinieux.ouvaton.org], indispensable action salubre. Les associations ICI
n'ont pas encore réalisé qu'elles sont européennes!!! Madame Prada Bordenave, Maître des requêtes au Conseil
d'Etat, a su mettre les points sur les "i" en ce qui concerne les
fautes de l'Etat [Prada Bordenave amiante],soulignant le facteur temps qui implique L'HOMICIDE VOLONTARISTE
AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Ainsi que la PERSEVERANCE DANS CET HOMICIDE
VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Le pays lui doit clarté et lucidité. Malheureusement ICI, rien ne suit. Madame Joissains Masini, avocate
battante et lionne, par trois fois sut gagner contre l'Etat responsable : sang contaminé et
amiante [Joissains Masini amiante]. Elle a, aussi, porté plainte à la
Cour de justice de la République contre 12 ministres, dont DSK et Fabius. Et
m'a donné la force de porter plainte vers la même Cour contre 14 d'entre-eux,
dont Martine Aubry, Ségolène Royal, Claude Allègre, Jack Lang, etc. La
commission des requêtes a couvert tout le monde : 26 ministres. OUI !!! Ecrire à ces trois symboles d'éthique réelle, de droit, de valeurs morales,
me permet de décrire tout ce que j'ai pu observer à Censier la Sorbonne
Nouvelle depuis presque 17 ans [juillet 96]. Ces trois lettres jointes sont
pour vous. On tue en Fac en France, Madame Taubira,
et personne ne bouge. Temps de le faire savoir. Temps d'avertir des centaines de milliers de
parents d'étudiants du monde entier soumis à des expositions passives depuis 49
ans : (Jussieu et Censier). Je vous remercie pour votre attention. Je compte sur votre autorité pour agir avec l'esprit international qui
devient maintenant nécessité absolue, et pour la défense du droit face à une
pourristrature qui n'ose pas dire son nom. Avec mes respects citoyens, Michel Langinieux ----- Mail transféré ----- Emmanuelle Prada Bordenave À Madame Prada
Bordenave Madame la Directrice de l'Agence de la
Biomédecine, Dieu sait si votre travail du 3 mars 2004 au Conseil d'Etat m'a
inspiré et soutenu. Clair. Précis. Direct. Vos réponses, également, publiées sur le Rapport
parlementaire 2005/2006 concernant l'affaire de l'amiante en France. Devant une brutalité hors-la-loi soutenue, des carences fautives profusément poursuivies, décider de parer au plus
pressé, fit loi pendant 17 années en moi. Ce fut là ma devise. Au risque d'y perdre la santé. C'est fait. Voici où j'en suis aujourd'hui : je me dois de ré-écrire à Madame Viviane Reding,
la Commissaire Européenne à la Justice, après le limogeage du Commissaire à la
Santé, John Dalli. Tout s'enclenche en ce moment avec le départ possible de Madame Bertella
Geffroy. Je souhaite que l'équilibre soit rétabli. Elle représente notre
dernier phare. Mes courriers me permettent de dire un maximum, ce qui doit l'être. La nouvelle médicale la plus importante fut, pour moi, celle publiée sur le
livre de Marie Grosman et Roger Lenglet : "Menace sur nos neurones". Amiante : page 216. "... la capacité des fibres les plus fines de voyager vers d'autres
organes comme le larynx, l'intestin, les ovaires, les reins, le coeur, le foie,
la rate, les glandes surrénales, le pancréas, la prostate, la thyroïde et ...
le cerveau" qui nous conduit directement à la moelle épinière dont notre concierge à Censier, André Betton, est mort en souffrances atroces (l'intendant/ACMO hygiène et sécurité,
en charge, faisait déposer des sacs remplis de déchets d'amiante devant les
fenêtres des concierges, en août 1998 lors d'un désamiantage raté à 480
fibres par litres d'air, puis l'été 1999 pendant les travaux du
Ministère sur les gaines techniques ...). J'avais toujours été renseigné en direct par Marcel Suszwalak de
Dunkerque, invalide à 80 %, de par ses 5.000 dockers atteints montrant des signes
spécifiques et multiples. Or, j'ignorais tout de la thyroïde et para thyroïde dont nous avons de
nombreux cas venant du Labo langues au 5ème étage où montaient deux ascenseurs
infectés de fibres pendant trente ans, saupoudrées dans le couloir et salles de
classe ... jusqu'au 2 juin 1995 : 30 f/l d'air. Pour décrire ce qui s'est passé à Censier Paris-III la Sorbonne Nouvelle
jusqu'au 480 f/l d'air, il nous faudrait un génie : Shakespeare. J'ai essayé de mon mieux, mais j'en
suis loin. Céline, aussi, aurait fait bon poids bonne mesure. Mes respects à vous, Madame la Directrice, avec les remerciements de tout un pays
envahi [de faux derches et poussières d'amiante], reconnaissant pour lors, la
vérité constatée, établie, de la responsabilité d'un
Etat automate qui sempiternellement persiste, comme un
conditionnement vrillé dans les gènes. Michel Langinieux ----- Mail transféré ----- Marie-Odile Bertella-Geffroy Je vous dois cette lettre adressée à Madame le Maire
d'Aix-en-Provence, Maryse Joissains Masini, suivant les deux informations indispensables
que je vous ai fait parvenir en novembre 2012 et février 2013 (sur
Google, à votre nom). Nous attendons les réponses de Mme
Taubira et du Conseil d'Etat. Inutile de vous dire que nous nous tenons, nous,
les concernés, les pouces, ainsi qu'à vous. Vital/primordial. Dernier
quartier. Dernier rempart pour l'éthique de ce pays. Je reste abasourdi que l'Andeva qui est allée rencontrer Madame la Garde des Sceaux,
une heure et demie, pour cette question d'urgence et d'amiante [bravo], nous
dit Internet, s'insurgeait, il y a trois mois (avec Harlem Désir et Michel
Parigot de Jussieu) "contre la mise en
examen de Martine Aubry", premier ministre épinglé en 120 ans ! [avec 40/50/60 autres qui font la
queue : DSK, Fabius, Royal, Allègre, Lang, Kouchner, Fillon ...) etc. Un
chapelet. Cette même Andeva n'a jamais dit un mot sur les malades et les morts de Censier la Sorbonne en 15 ans
!!! Punaise ! À quoi servent-ils donc : capables de non-assistance ? Certes.
Capables et coupables d'idiosyncraties maladives, ces hauts experts. Etonnamment : depuis 1996, premières plaintes au pénal, cette Andeva n'a pas eu l'idée de s'adresser à la
CE sur ces 17 années, devant le ciment armé d'un Etat qui ne veut pas
bouger [Pas d'argent pour réparer, ni prévenir
ICI : on ne vous donnera pas 30 juges ICI !!! Juste seulement pour bombarder
des pollulations civiles en Lybie, au Mali, en Afaganisthan, chez eux en plus.
Mais chez NOUS : NADA. Qu'ils crèvent ! par centaines de milliers. Voilà la
fraternité. Voilà l'égalité]. Les syndicalistes/fonctionnaires de l'Andeva sont européens tout de même. Ils ne voyagent vraiment
pas trop ... Ni ne leur vient l'idée de s'adresser au CPI : pourtant, depuis
2001, il s'en est passé des horreurs verrouillées par nos élites de base
bon chic bon genre !!!! Cette Andeva (comme ce petit pays, si plein de
lui-même) marche sur la tête !!!! On n'est pas aidé, ICI, Madame le Juge. Sans police ni justice, on patine
rudement. Tout de bon, pour
demain. Que vérité et action (interdite ICI) se fassent jour. ENFIN ! Michel Langinieux ----- Mail transféré ----- Maryse Joissains Masini
Chère Madame, Impossible d'avoir une justice. Impossible d'avoir ICI, l'application
de la règlementation ni celle du droit. Vous trouverez, en bas de page, ma
deuxième lettre au juge d'instruction Mme Bertella-Geffroy (sur trois mois). La
précédente se trouve publiée sur les moteurs de recherche "Google" à
son nom [N° 9]. Egalement, son interview de 12
minutes (vidéo et radio) sur France Inter :
carte sur table. "On" veut se débarrasser de cette Juge
essentielle à notre époque. "On" l'empêche de travailler. Mieux :
"On" la fait travailler pour rien. Après des années d'instruction sur le
dossier urgentissime de l'amiante et ses centaines de milliers de morts sur 120
ans, apparaissent toujours un ou une nunuche de la chambre de l'instruction (ou
autre)pour dire "NIET" : NON-LIEU révélateur d'une France
franchouillarde. Cette fois-ci, il s'agit de Martine Bernard, servile fonctionnaire au service de
nos élites et meurtres autorisés. Ces véritables "elfes de maison"
[voir : Rowling] ou mieux : elfes d'Etat, sous l'étau d'obéissance totale
: donner des ordres et en recevoir, sévissent en incrustant leur suffisance
insuffisante. Il devient nécessaire de montrer au monde entier ces
irréveillables bureaucrates bien de chez nous, fabriqués sur place pour un
assassinat légal !!!! Cliquez sur Google : "Michèle Vaubaillon amiante",
"Joëlle Lackmann amiante","Marie-Christine Lemardeley
amiante", "Anne Willie amiante", "Marie-Hélène Gibert
amiante", "Michèle Colin amiante", "Françoise Chiezal
amiante", "Emmanuelle Ducos amiante". "Mme Poirier d'Ange
d'Orsay amiante", "Corinne Lepage amiante Censier",
"Françoise Noblins-Blanc amiante", "Elise Corouge amiante",
"Hélène Gisserot amiante Censier", "Edith Boizette amiante
Censier", "Fabienne Pous amiante Censier", "Françoise Neher
amiante Censier", "Madame Mirabel amiante Censier", Madame
Bosquet amiante Censier", "Béatrice Gille amiante Censier" ... La "HUPPE" du Moyen-Âge : "oiseau connu pour répandre ses saletés" (Robert), retrouve sa pleine
expression moyenâgeuse caractéristique de "sale huppe" surmultipliée. Au service de l'argent, de l'incivisme, de l'amoralité [l'argent avant les
gens, avant les enfants, d'un pays qui trucide depuis plus d'un siècle, au bas
mot, un demi-million de personnes], ces serviteurs zélés d'un Etat
irresponsable, récoltent leurs récompences : la légion d'honneur avec accolade
sur les deux joues, et promotion. Le Premier Juge d'instruction Bertella Geffroy est
encore en place quelques jours. Elle fait appel au Conseil d'Etat. Le 22
février, demain, elle recevra une réponse de Mme Taubira, Garde des Sceaux. Si rien ne bouge, des douzaines de milliers de
personnes continueront à passer tranquillement de vie à trépas, nous apprend
l'INSERM. 200 000 décès en dix ans [2010-2020]. Pour un pays de pointe, le voilà à la pointe de son
inexistence civique et de ses crimes. . Vous avez été la
première avocate de France à gagner un procès sur l'affaire du sang contaminé, ainsi que celle de
l'amiante, contre l'Etat. . Vous avez démontré que dès janvier 1984 les ministres connaissaient les risques
du sida et son mode de contamination du sang : d'où le crime d'empoisonnement. . Vous avez soutenu mon travail de salubrité pendant 13
ans face à l'amiante à Censier la Sorbonne
imposé à ce centre construit sans permis et dans l'illégalité,malgré vos autres
taches citoyennes. . Vous avez questionné
le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche le 23 juin 2008, puis le 5 mai
2009 sur l'amiante à Censier Paris-III. Rien n'a suivi dans un contexte où
rien n'avance en ce qui concerne le drame l'amiante et la défense de la vie
humaine depuis 120 ans. La réponse de Ministère que vous avez reçue le 16
juin 2009 est illusoire : "L'Etat,
conscient des dangers que peuvent encourir les étudiants et les personnels met
tout en oeuvre pour mettre fin à cette situation". Elle ne fait que révéler les mêmes
ronds-de-cuir qui, le 13 juin 1893 sur la "loi contre les
poussières industrielles" déclaraient : "L'état se doit de protéger". À l'évidence, l'Etat fait exactement le
contraire, oubliant de plus, les riverains. D'où ma plainte : "Contribution personnelle pour l'Europe".
"Crime sociétal en France". À Viviane REDING, Madame la Commissaire
Européenne à la Justice du 29 septembre 2010. Vous en avez reçu une copie immédiatement. L'affaire de "l'amiante en France" fut portée au Commissaire de la santé de la CE,
le Maltais John Dalli, par Madame la Commissaire en charge des droits fondamentaux. Monsieur Dalli n'a rien accompli en
deux ans et demi : ni levé le petit doigt, ni écrit un mot. Ce commissaire
vient d'être vidé par M. José Manuel Barroso. Il s'intéressait plus aux jeux du
monde [comment obtenir 60 millions d'euros de la Société
Swedish] qu'à un génocide qui perdure en France depuis plus d'un siècle qui
n'entrait pas dans ses priorités égotisques. Dès lors : peut-on faire confiance au
"sérieux" de l'Europe, aux pratiques du lobbying à Bruxelles,
incluant dérives morales et haute finance, même devant la mort d'hommes par
centaines de milliers ? Question primordiale pour la Commission Européenne. Faut-il reprendre l'affaire à zéro tous les cent ans ?
L'Europe serait-elle aussi inerte et corrompue que la France? La vérité que
diable ! Madame
Joissains-Masini : nous avons besoin de vous ! La voie est maintenant ouverte. Pouvez-vous envoyer un
mot DIRECT, comme vous savez le faire, à Madame Reding (CE), et un à Madame Fatou Bensouda
(CPI, à partir de 2001). Que trois femmes, épouses et mères à notre époque,
nous sortent de ce couvercle de plomb d'incivilités qui n'en finit pas de tuer,
tricher, casser, salir, recommencer, radoter, cacher surtout, maladie
franchouillarde extrême. Car le crime l'amiante, ses malades et ses morts, se
basent sur un éternel mensonge "ce vice à la mode qui
passe pour vertu". Soyez celle qui ICI,
MAINTENANT, protège les écoliers, les collégiens, les lycéens, les étudiants, puisqu'à l'évidence, ni le Ministère de
l'Education, ni celui du Travail [emploi et solidarité], ni celui de la Santé,
n'y arrivent. Madame Pécresse vous a répondu à ce sujet : "Ma Chère Maryse". On croit rêver ... dans un salon de thé !
Cette ministre tout sourire ignore, à l'évidence, à QUI elle s'adresse. Elle n'en a pas la moindre idée. Elle
ne défend pas, en effet, la vie et la santé de la jeunesse de ce pays, mais son
image de marque. L'image de marque de son parti. Elle n'a jamais mis à genoux, par trois fois comme
vous, un Etat irresponsable qu'elle sert impeccablement en carpette. Pis : en
serpillère. Aucun parti politique n'a été capable d'agir en 120 ans. Les
voilà pris, frits, dans dieu sait quelle gangue engluée d'inexistence
redondante. Il nous faut une
personne. Pas un parti. Vous en êtes une. Avec Madame Prada Bordenave [Cliquez Google, à son
nom/amiante/Conseil d'Etat], vous aurez une deuxième personne. Même topo pour Madame Bertella
Geffroy [voir son nom sur Google]. Que l'on sorte enfin
du : NE PAS BOUGER/FAIRE
SEMBLANT. Vous connaissez mon outrage face à l'immobilisme conservé d'un exécutif
tenu par le veau d'or et ses sbires assoifés. Aussi, Vu : L'HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Vu : LA PERSEVERANCE DANS L'HOMMICIDE VOLONTARISTE
AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Nous ne pouvons plus être "ni d'accord ni dedans". Ni roulés davantage dans la farine
amiantée/argentée. Vous aurez contre vous tous les
"patapons/conservateurs/ronrons" du royaume. Des hordes de niais
ayant nié la vie. Les Gilles-de-Rais perpétuels (50 000 enfants disparaissent
dans ce pays chaque année)[à voir en ce moment
: la plainte contre "Lang, Hollande, Moscovici", recevable.
Décrivant la mort d'une petite fille de 4 ans violée par Lang et ses copains]; et probablement aussi la classe
moyenne : supérieure, inférieure, bourgeoise, fonctionnaire, asservie,
récupérée, hautement surveillée par nos élites pièces de musées. Encastrées
"façon Cour de Cassation du Palais de Justice de Paris. S'il y avait une
démocratie, y aurait-il un demi-million d'évaporés dans ce pays ? Y aurait-il un siècle passé sans un procès au pénal
(voir mission parlementaire) ? Y aurait-il des centaines de milliers d'étudiants du monde entier exposés
passivement aux risques de mort pendant 49 ans, à Censier et Jussieu (risques
sur une période de latence d'encore 40 ans) ? Et que vont dire les
parents ? Y aurait-il pareil je m'en foutisme effréné, inconscient, puéril et
satanique ? L'ensemble serait-il publié sur Internet depuis
2005 [Politiquedevie.net : section amiante Dunkerque et Censier] devant tel
immobilisme pétrifié ? S'il y avait une démocratie, m'aurait-il fallu, pendant 17 ans,
poser 300 000 affiches, donner 200 000 tracts pour essayer de réveiller 93
magistrats, 30 ministres,2 chefs d'Etat, et l'absence d'une Education
Nationale, en vain ? S'il y avait une
démocratie, y aurait-il pareil crime sociétal ? Faudrait-il se battre comme des lions pour simplement
reconnaître des faits criants ? N'est-ce pas la preuve même que nous sommes sous la
dictature de "l'argent d'abord, l'argent avant,
l'argent seul et sale". Pour la satisfaction de certains ? Devenez pour nous ce saumon qui remonte les pires
rivières, les a-pic, les cataractes. La Citoyenne qui tourne le dos à la médiocrité des
meurtres banalisés entretenus. Vous serez reconnue
par le monde entier, car pour sauver ce pays, petits et grands, vous avez
largué depuis plus de 15 ans, la pitoyable frime des faux semblants et leurs
pourristratures. La Citoyenne à qui l'on dit : "Chapeau". Je vous remercie pour votre compassion/force/l'épée à
la main. Michel Langinieux PS : Je ne suis pas
"payé pour défendre la vie humaine" depuis juillet 1996. Cela m'est venu naturellement, vu les étudiants
désinformés et le contexte de mort irréversible. Je ne suis au service de
personne : entreprise ou Etat. Cie, loge, groupe, clan, tribu ou religion
organisée. Je ne suis pas asservi, sauf sous la violence perverse
imposée, d'une dictature qui n'ose donner son nom. -- Mail transféré ----- "langinieux.ouvaton.org" "Langinieux Le Monde" "Amiante Censier" "Amiante Sorbonne Nouvelle" "Politiquedevie.net" [section amiante Dunkerque et Censier] "Pilori" "Echos des Montagnes" "Catalogne selon Margarida"
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15 mai 2013 Michel Langinieux ne baisse pas les bras !
Michel Langinieux continue sa bataille
contre le laxisme ambiant et les copinages des élus, au plus haut niveau de
l'état, qui continuent de faire barrage à la Justice et laissent sur le bord de
la route les victimes de l'amiante. En se débarrassant de Madame la Juge
Bertella-Geffroy l'exécutif en la personne de la ministre Taubira et avec la
complicité du CSM, ont mis à l'abri l'ex ministre Martine Aubry mouillée
jusqu'au coup dans l'affaire de l'amiante et mise en examen par l'incorruptible
et vaillante juge Bertella-Geffroy. Martine Aubry, grâce à l'éviction indigne
de Mme la Juge Bertella-Geffroy, va à nouveau pouvoir dormir tranquille ! Mais il en est qui n'acceptent pas ces
petits arrangements entre amis et continuent de dénoncer haut et fort
l'imposture des serviteurs de l'Etat et la veulerie de la magistrature ! Michel
Langinieux est parmi les voix les plus fortes de ce refus de baisser les bras
et n'a pas peur d'accuser ceux qui doivent l'être, si haut placés qu'ils soient
et de dénoncer ce qui doit l'être pour que JUSTICE SOIT FAITE aux victimes de
l'amiante, qui continuent de mourir dans l'indifférence générale et le silence
assourdissant des divers responsables politiques et de la magistrature de
France ! ----- Mail transféré -----
De : "Rita.BICUDO@ec.europa.eu"
<Rita.BICUDO@ec.europa.eu> Dear Mr Langinieux Please find attached a letter
signed by Mr Selmayr, Head of Vice President Viviane Reding's private office. Yours sincerely, Rita Bicudo Assistant to Telmo BALTAZAR,
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5 Juin 2013 Michel Langinieux :
« Une bonne nouvelle venue d’Italie ! » La très bonne nouvelle m'a été transmise par Michel Langinieux, qui
a fait de sa vie un combat personnel en dénonçant les pollueurs et en particulier
ceux de l'amiante. Ce blog s'est souvent fait l'écho du soutien sans faille que
Michel Langinieux a apporté à madame la juge Bertella-Geffroy
pour faire connaître le travail acharné qu'elle accomplissait, seule contre
tous, y compris contre ceux qui auraient dû l'aider et la soutenir et qui au
final l'ont trahie. Si le gouvernement de Hollande a dégagé, sans vergogne ni pudeur ni
souci de la Justice, la Juge Bertella-Geffroy par l'intermédiaire de sa
ministre Christine Taubira qui elle-même a refilé la patate chaude au
Conseil Supérieur de la Magistrature -CSM - pour faire le sale boulot, à
savoir mettre en avant la close des 10 ans pour retirer le dossier de l'amiante
à une magistrate trop efficace et prête à aboutir après plusieurs années de
travail acharné, Michel Langinieux nous apprend qu'en Italie, le dossier de
l'amiante a trouvé sa conclusion par la condamnation sans appel du coupable
ETERNIT !! Oui ! En Italie la Justice est passée, contrairement à la France ce
pays dont la classe politique est corrompue jusqu'à l'os et qui devrait prendre
exemple des magistrats italiens de la manière dont on doit punir ceux qui, par
cupidité, polluent l'environnement en sachant qu'ils vont condamner à mort des
dizaines de milliers d'innocents, comme ce fut et c'est encore le cas avec
l'amiante ! DOSSIER AMIANTE Michel Langinieux La Justice italienne condamne Eternit concernant le dossier de l'amiante. Voici les liens :
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18juin 2013 Lanceurs d’alertes :
les héros révolutionnaires du 3e millénaire Si tout ce que dénonce Michel Langinieux est important, colle à l’actualité et implique le futur de l’Humanité, ce qu’il nous rappelle aujourd’hui est, me semble-t-il, une de ces informations à publier absolument. Michel Langinieux (voir son mail plus bas) dénonce le sort que les américains réservent à Bradley Manning, le jeune soldat qui, révolté des agissements de son pays, a délivré à Wikileaks des documents frappés au sceau du secret (!). Bien avant la naissance de Bradley, celui qui allait devenir le père de tous les lanceurs d’alerte, Daniel Ellsberg a défrayé la chronique en 1971 en remettant à des journalistes du NY TIMES 7000 pages fauchées au Pentagone, qui dénonçaient la réalité inavouable de l’engagement des USA au Vietnam ! Le pauvre homme a connu bien des déboires, a trouvé le moyen de survivre (un exploit !) et continue son combat de lanceur d’alertes malgré ses 82 ans. Depuis son geste courageux, Bradley Manning vit (depuis 3 ans) dans des conditions particulièrement difficiles pour avoir voulu défendre ce que nous avons de plus sacré en ce monde, la LIBERTÉ. L’Amérique, dont le "rêve américain" n’est en réalité qu’un épouvantable cauchemar, reproche au jeune soldat Bradley d’avoir révélé des secrets d’état, parmi lesquels les travaux du Pentagone qui prévoient de tous nous pister, nos actes nos paroles les plus insignifiants et ce jusque dans notre vie la plus intime, ce qui est positivement insupportable ! Dans un autre de ses mails Michel Langinieux dénonce un projet qui confirme que le jeune Bradley Manning et ses prédécesseurs avaient bien raison d’avoir peur et de refuser ce qui se prépare au sein du Pentagone et sans doute ailleurs, n’en doutons pas une seconde, en Chine, en Russie, en France et tous ces pays qui se servent de la richesse pour faire le malheur de l’Humanité au lieu du contraire ! Comme par hasard, voilà qu’à peu près à la même époque du scandale Wikileaks, il était question, en France, de faire une « expérience » qui consisterait à pucer les bébés d’une crèche, sous prétexte de les retrouver en cas d’enlèvement !??) L’article date de 3 ans en arrière mais vaut d’être lu. lire Les armes les plus meurtrières découvertes par l’Homme étaient et sont immanquablement fabriquées pour « rendre le monde meilleur » (!) L’expérience de l’Histoire la plus proche et surtout l’arrivée d’un outil d’information comme internet nous ont rendu moins naïfs... alors ? Allons-nous laisser les choses continuer comme lorsque nous ne savions rien ? Allons-nous continuer à laisser emprisonner et mourir, sans lever le petit doigt, les héros qui n’hésitent pas à se mettre en danger pour protéger nos Libertés les plus sacrées ? (voir en fin de page quelques uns de ces hommes courageux) Nos parents avaient l’excuse de l’ignorance, nous n’en avons aucune puisque, que je sache, la lâcheté n’a jamais été une excuse ! Soyons tous, à l’instar de Michel Langinieux et tant d’autres avec lui, des lanceurs d’alertes ! Agissons ! ALERTONS avant que nous ne soyons tous pucés comme des toutous, si nous ne le sommes pas déjà à « l’insu de notre plein gré » selon la phrase, qui a fait florès, du sympathique champion cycliste Richard Virenque ! *** michel Langinieux lanceur d'alertes ----- Mail transféré -----
Ceux qui soufflent dans le sifflet !!! OUI. Le cri d'alarme civique. Tradition américaine depuis les chercheurs d'or. Grecque également : Cassandre !!!
L'être humain porte en lui le lanceur d'alerte protecteur.
Car il s'avère essentiel d'informer ses proches, l'ensemble de la société, de ce qui arrive [au feu !] ou d'informations tenues secrètes pour mieux l'utiliser, pour la détruire.
Les destructeurs, évidement, ne le supportent pas. D'où les maltraitances, tracasseries et actions diverses contre les bienfaiteurs, visionnaires ou citoyens prévoyants.
En amérique : 1971, Daniel Ellsberg organisait la fuite des "Pentagon papers", 43 volumes ultra-confidentiels, sur "l'engagement des USA au Vietnam". Différentes administrations jusqu'à celle de Nixon furent ainsi dénoncées sur leurs mensonges, cynismes, cruautés, autour d'une guerre injuste. "Fils de pute" hurle Nixon à la sortie du premier article du New York Times. Trop tard.
Aujourd'hui, à 82 ans, Daniel défend publiquement le soldat Manning, en prison depuis 3 ans dans des conditions atroces. Bradley Manning, 25 ans, risque la prison à vie pour "collusion avec l'ennemi". En effet, ce dernier a transmis à WikiLeaks et à Julian Assange (autre lanceur d'alerte international) des centaines de milliers de documents classés secret-défense. Autrement dit, une boucherie organisée/assurée sur la planète.
Edward Snowden, 29 ans, vient de lancer de Hongkong : "Je ne veux pas vivre dans un monde où tout ce que je fais et dit se voit enregistré". Sa bombe contre le "Big Brother" américain implique directement Obama. Celui-ci avoue l'exactitude de ces documents explosifs dévoilant l'étendue de la mainmise technique exercée par la "Surveillance américaine de sécurité nationale" (NSA) sur le monde entier !!! Mais pas ... pour les américains !!?! On croit rêver ...
Les écoutes sont, dès lors en ce moment, partout !!! Le but : le contrôle total de l'humanité.
Mais c'est sans compter sur les "lanceurs d'alerte" qui, eux, seront toujours là, présents. Il y aura toujours un enfant pour constater : "Le roi est nu". La pieuvre peut bien s'exercer tant qu'elle le désire ... Elle est déjà court-circuitée !!!!!!
Michel *** Quelques uns des héros révolutionnaires du 3e millénaire
Le premier, le père, le précurseur, le guide DANIEL ELLSBERG lire Edward SNOWDEN : lire Bradley MANNING : lire Julian ASSANGE : lire Aaron SWARTZ s’est « officiellement » suicidé par pendaison début janvier 2013… Il avait 26 ans lire
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ÉPILOGUE DÉSHONORANT POUR LA FRANCE
ET SA PSEUDO "JUSTICE" 21
janvier 2013
martine Aubry et JM Ayrault rigolent ... les victimes de l'amiante apprécieront
LE DOSSIER DE L'AMIANTE DÉRANGE LE GOUVERNEMENT HOLLANDE Les politiques se protègent entre eux ! Au lieu de rejeter les membres pourris pour assainir le climat politique et rendre confiance aux français, les détenteurs du Pouvoir entourent les salopards compromis dans de sales affaires d'un mur de protection infranchissable. Les magistrats intégres qui auraient l'idée saugrenue d'appliquer la justice en voulant punir les coupables, fussent-ils des "puissants", à la mesure de leurs fautes ou plutôt de leurs crimes concernant la honteuse affaire de l'amiante, sont désaissis de l'affaire et de ce fait ne peuvent plus agir en faveur des victimes. Mais le pire c'est que non seulement les juges sont empêchés de faire leur travail mais ce sont eux, défenseurs de la Loi, qui vont se retrouver dans l'oeil du cyclone et être réduits au silence ! Ci-dessous vous découvrirez la dernière entourloupe concernant la
meurtrière et toujours impunis affaire dite "de l'amiante". Une
affaire, qui rappelle étrangement celle de Laurent
Fabius et du scandale du sang contaminé. Si Fabius était enfoncée jusqu'au cou dans l'affaire du sang contaminé, cette fois c'est au tour de Martine
Aubry ! Qu'à celà ne tienne, il suffisait de
dégager vite-fait la juge Bertella-Geffroy,
décidément trop honnête et surtout trop efficace, c'est à présent mission
accomplie ! Aubry comme son copain Laurent Fabius, peut à
nouveau dormir tranquille la juge Bertella a été
neutralisée ! De Profundis le dossier de l'amiante ! NB : Avec ce commentaire où je la mets en cause je risque de me retrouver attaquée en diffamation par Martine Aubry qui serait coutumière du fait. Il paraîtrait que Madame ne supporte pas la critique et n'hésite pas à assigner en Justice ceux qui osent ! Mais bon, je croise les doigts, je regarde St Antoine le patron des aventuriers et je PUBLIE, tant pis si ça donne des boutons à la maire de Lille. LES FAIT ICI
et pour ceux qui ne pourraient pas accéder directement à l'article Amiante : l'instruction de la juge Bertella-Geffroy suspendue Créé le 18/01/2013 à 17h11 - Mis à jour le 19/01/2013 C'est une
information RTL de Mathieu Delahousse : la présidente de la chambre de
l'instruction de Paris a décidé ce mercredi de suspendre l'instruction conduite
par la juge Marie Odile Bertella-Geffroy dans le dossier de l'amiante à l'usine
Fereo-Valeo de Condé sur Noireau, dans le Calvados. La suspension de l'instruction, une
"procédure extrêmement inhabituelle" C'est dans cette
affaire que Martine Aubry, au titre de ses anciennes fonctions au ministère
du Travail, a été mise en examen pour homicides et blessures involontaires en
novembre dernier
Les plaintes avaient été déposées par les anciens salariés il y a sept ans. La
cour d'appel de Paris considère que l'instruction de la magistrate du Pôle
santé de Paris doit être mise entre parenthèses dans l'attente de décisions sur
les très nombreuses nullités soulevées dans le dossier par les personnes mises
en examen qui contestent leur mise en cause. Ces points de procédures doivent
être discutés devant la chambre de l'instruction le 28 février prochain.
Plusieurs fonctionnaires, des membres du comité permanent amiante mais aussi
des industriels sont visés par ce dossier. La
suspension de l'instruction, "procédure
extrêmement inhabituelle",
selon l'expression d'un avocat intervient par ailleurs au moment où le maintien
de Marie-Odile
Bertella-Geffroy est posé.
La magistrate devrait en effet en être mutée dans les mois qui viennent, par le
jeu automatique de la mesure qui fixe la durée des postes dans la magistrature
- Les juges spécialisés ont l'obligation, désormais, de changer de poste tous les dix ans,
ce qui est le cas de la juge Bertella-Geffroy - et leur impose un changement
d'affectation au terme de périodes fixes. La décision sur ce point est
actuellement à l’étude au ministère de la Justice. Dans ce cas d’un départ de
Marie-Odile Bertella-Geffroy, le
dossier amiante serait confié à d'autres magistrats spécialisés
du pôle de santé du TGI de Paris, où est déjà menée la gigantesque instruction sur le Mediator et les laboratoires
Servier. Dès la fin de l'année
dernière, l'association nationale des victimes de l'amiante avait mis en garde
contre les conséquences d'un départ anticipé de
cette magistrate, "pilier du dossier pénal de l'amiante",
signifierait à coup sûr l'enterrement de l'instruction, vu le temps que
mettrait un nouveau magistrat pour s'approprier les éléments de cette affaire. |
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