Dernière mise à jour le 8 mai 2016

     

    Au cours du mois d’avril MICHEL LANGINIEUX, infatigable lanceur d’alerte contre les méfaits de l’amiante, nous a quittés, il avait 78 ans.

    La mort de MICHEL LANGINIEUX est une grande perte, en particulier pour les victimes et les familles des victimes de l’amiante, mais peu de gens en seront conscients.

    Que MICHEL LANGINIEUX, qui m’honorait de son amitié, repose en Paix après tant d’années de luttes courageuses et incessantes.

     

     

    MICHEL LANGINIEUX

    Vous trouverez sur cette page tous les textes, liens et fichiers PDF de Michel LANGINIEUX, publiés sur le blog que j’ai fermé à cause de la nouvelle politique d’Over-blog qui impose une interface qui ne me convient pas.

    Avant de supprimer mon blog, j’ai sauvegardé quelques articles sur les 1395 publiés de 2008 à 2013, parmi lesquels le précieux travail de Michel Langinieux, en particulier sa lutte contre l'amiante.

    C’est ce travail, étalé sur quasiment toute une vie, que j’ai tenu à sauvegarder car il est avant tout l’expression de la générosité et l’abnégation d’un homme.

    Michel Langinieux est un exemple pour la masse de ceux qui acceptent toutes les injustices sans bouger ni se sentir concernés si elles ne touchent ni à eux, ni à leur famille. Cet égoïsme « ordinaire » est insupportable à une petite minorité qui se révolte contre les injustices mortifères qui gangrènent notre société, Michel Langinieux est de ceux-là.

    Michel Langinieux n'est pas qu'un lanceur d'alerte, il est aussi un artiste de théâtre, un philosophe et un écrivain dont on peut découvrir le talent dans son oeuvre : "La place unique du spectateur" lire... .

    Le dernier article récupéré sur mon blog avant suppression s'intitule : "Le dossier de l'amiante dérange le gouvernement Hollande" et a été publié en janvier 2013 . Il concerne indirectement Michel Langinieux puisque cet article annonce la mise au placard de Mme la Juge Bertella-Geffroy qui avait osé s'attaquer à une ministre et le scandaleux "blanchiment" de Martine Aubry, impliquée jusqu'au cou dans cette affaire. Cette tragédie sociétale a profondément affecté Michel Langinieux, tellement impliqué dans cette lutte pour que Justice soit rendue aux victimes de l'amiante et que les coupables soient punis à hauteur du crime perpétré depuis 150 ans, que l'affront infligé à Mme la Juge Bertella-Geffroy l'offense lui aussi.

    Dans quelle société vivons-nous, qui protège les coupables et punit les innocents ?

     

 

     

    Mercredi 3 novembre 2010

    « Langinieux michel : lettres ouvertes d'un européen en colère »

     

    Langinieux Michel

    8, rue Édouard Detaille,

    75017 Paris.

    France.

    Tel : 00 33 1 42 67 22 62

    E mail : langinieux_michel@yahoo.fr

    Site : <langinieux.ouvaton.org>

    Paris, le 29 septembre 2010, Saint Michel 

    RECOMMANDÉ INTERNATIONAL  

    Crime sociétal en France

    Contribution personnelle pour l’Europe  

    À VIVIANE REDING

    Madame la Commissaire Européenne à la Justice    

    Madame la Commissaire en charge des Droits Fondamentaux,  

    Le conflit actuel entre l’Europe et la France, cernant les traitements des Manouches et des Roms répercutés par la presse du monde entier, n’est pas étranger à ce présent courrier. Il le propulse.  

    Ce courrier souligne une faille plus profonde, fondamentale : le crime sociétal en France.  

    Nombre questions fusent, d’emblée :

    Qu’est-ce que l’Europe ? Qu’est-ce que la France ?

    Quels sont les intérêts des uns, des autres ? (Intérêts personnels et collectifs.) 

    Qu’est-ce qu’un monde en marche ? Un monde qui stagne ?

    Un monde qui éclaire ? Un monde qui ment ?

    Un monde qui tue ? 

    La psychologie incrustée du « moi d’abord, et le reste on s’en fout », élude malheureusement, toute vue d’ensemble, et la prise de conscience essentielle civique.  

    Parvenir à un monde où nous devons tous, être gagnants, éloigne du petit bout de la lorgnette : la gangue, les gangs. La gangue du conditionnement ancestral. Les gangs du népotisme, clans, loges, tribus, d’un système antédiluvien, encastré.  

    Certains schémas « psychologiques » - hypocrisie, vanité - qui verrouillent la France, ceux dont vous venez de faire les frais, Madame la Commissaire, traduisent le degré d’inconscience et d’incivilités pratiquées couramment ici. Indélicatesses. Vicissitudes. Prétention d’éthique quand le crapuleux prime, avec un génocide en processus.  

    Vous savez maintenant, exactement à qui et quoi vous avez affaire. Vous voilà prévenue sur les personnages confrontés par votre autorité. Ils se moquent des valeurs fondamentales européennes. Ils se congratulent, par ailleurs, ouvertement. Ils s’imposent par « volonté inflexible », président et ministres, experts en virulence verbale et violence naturelle.  

    Or, « un homme averti en vaut deux », apprend le proverbe.

    L’Europe, dès lors, se doit de prendre garde, et soin, de l’abus de pouvoir, comme des évacuations de Roms couvertes par un fichier illégal.  

    Molière, qui connaissait son monde, décrivait ainsi l’hypocrisie : « Un vice à la mode qui passe pour vertu ». Rien n’a changé depuis 300 ans, sauf une surface particulièrement dure à récurer pour obtenir la vérité. La suffisance des politiques français répond exactement, à l’insuffisance civique et morale de ce pays dit « de pointe ».  

    La peur de ne pas exister (!) demeure le problème primordial de celui qui fera tout pour prouver le contraire, au mépris de la vie des autres. L’aveugle ne verra rien de l’avidité contribuant à une médiocrité persistante : l’argent avant les gens, avant les enfants.

    Le sourd n’entendra pas.

    Lâcheté et servitude, révèlent l’état mental général.

    Misère et dégradation morale règnent.

    Le « contexte financier », tirant à hue et à dia, chevauche la planète. Sans vouloir évaluer un système bancaire évoluant sur le PLUS ET ENCORE, la France s’y annonce un « leader mondial » en ventes d’armes, en nucléaire, en pétrole (Elf) ; en industrie d’enfants, lucrative, qui ne coûte rien et rapporte gros. Aspect généralement escamoté, pratiqué avec sauvagerie.

    Tortures irrémédiables sur de  parfaits petits organes ; parties fines. Un secret !

    Ce pays aurait besoin de savoir appréhender les faits en face. De police. De justice. Non de discours creux, ni de brutalités en rafles et déportations sauvages de minorités ethniques, sous couvert d’impudence.

    Un climat de fourberies acceptées, vissées par le lucre, cadenasse le dernier volet que j’apporte à votre attention : les empoisonnements collectifs imposés.  

    Plus précisément ici, l’amiante : ses mensonges, ses morts.  

    D’où le drame sanitaire.

    D’où l’affaire pénale éludée sur un siècle de meurtres autorisés qui perdurent.  

    Le verbe AGIR - sauf pris à contre sens - n’existe plus dans la fonction publique. Dès lors, l’apport indispensable de l’Europe pour désinfecter les malversations et l’incurie juridique ; l’extrémisme ; la terreur ; les crimes organisés.

    Pour désinfecter une caricature de démocratie.  

    Je ne rentrerai pas dans les détails.

    Deux rapports officiels, par contre, s’y emploient à profusion :  

    . Les Rapports du Sénat n° 37 (2005-2006). Tomes 1 et 2 :

    « Le drame de l’amiante en France ».  

    . Les Rapports parlementaires : Mission d’information de l’Assemblée Nationale n° 2884 Tomes 1 et 2 (février 2006) : « 51 propositions pour tirer les leçons de l’amiante ».

    « Ne plus perdre sa vie à la gagner ». 

    Ces deux rapports, Madame la Commissaire, vous mettent les cartes en main.

    Les cartes à abattre.

    Ces deux pavés dans la mare publique se conservent ici religieusement, dans les tiroirs depuis cinq ans. Pas un sénateur, pas un député, pas un élu, haut fonctionnaire, et expert, impliqués dans sa rédaction, n’a porté plainte. Ce « travail d’information » se réduit à une recherche bureaucratique et quelques observations sérieuses. Vécu et compassion n’entrent point en jeu. Aucun suivi direct : des mots suivent d’autres mots. Aucune action entreprise, mais les faits sont couchés. Avec des souhaits pieux : 51 propositions, sur un génocide tranquille. 

    Il aura fallu l’action de Maître Maryse JOISSAINS-MASINI, actuellement Député-maire des Bouches-du-Rhône, pour confronter l’État français par trois fois, sur ses carences fautives.

    Pour également porter plainte contre 12 ministres devant la Cour de Justice de la République, qui - évidemment - couvre les 12 !

    J’ai porté plainte, du coup, contre 14 ministres : la Commission des requêtes de cette Cour couvre les 14 ! [La France, « toute entière à sa proie enchaînée », étale ses injustices et ses entêtements].

    L’action de Madame Emmanuelle PRADA-BARDENAVE, Maître des Requêtes au Conseil d’État, sut également placarder l’État le 3 mars 2004, devant l’évidence de ses carences.

    L’État français, néanmoins, peu dérangé par ses propres méfaits, persiste dans l’illégalité de ce drame sanitaire, par habitude, détermination, ou nature. Par atavisme.

    Or, l’État, « c’est soi ». Chacun d’entre nous.

    Dès lors, mon action, les rênes en main.

    Cette information, maintenant portée à l’Europe, se voit officiellement pesée, soupesée, par des chiffres, dates, réflexions, descriptions, impliquant nombre élites et officiels, avec leurs noms, prénoms et fonctions, couchés sur ces deux Rapports ; mais rarement, hélas, les victimes condamnées à se taire par centaines de milliers. Les victimes oubliées.

    Au vu de ce qui se passe actuellement ici, ce dont vous êtes le premier témoin Madame la Commissaire : ces rafles menant aux déportations, je tiens à dénoncer les façons de traiter des êtres humains dans un pays - dit Européen - qui apprécie donner des leçons. Un pays inattentif qui liquide férocement les siens. Je vous désigne, dès lors, ces travaux signés par le Sénat et l’Assemblée Nationale, comme boucliers notoires pour votre action.

    Une autre écoute, vôtre, leur rendra vie et valeur.

    Vous pouvez agir librement maintenant, tous faits prouvés à votre disposition.

    « L’Europe, on l’aime ou on la quitte » claironnera Nicolas SARKOZY. À sa guise.

    La question des Roms ; la question de l’amiante ; la question des problèmes humanitaires ; devraient être traitées en priorité au niveau Européen, et non réduits à un seul pays. Surtout si ce pays se trouve directement impliqué dans son incapacité d’agir.

    Les empoisonneurs n’ont pas à décider du sens ni de la profondeur de leur compassion.

    Que l’Europe considère :

    L’amiante et ses méfaits se résument en France à 117 années, depuis la loi du 12 juin 1893. Des centaines de milliers de morts, passées et à venir pour 40 ans encore, en témoignent. L’INSERM prévoit de 10 000 à 20 000 décès cette année. Comme pour chaque année suivante, de 2010 à 2020. Cette prévision résultera, au mieux, à 100 000 morts en dix ans.

    Au pis, à 200 000.

    Aucun employeur n’a été arrêté, aucun empoisonneur mis en prison, pendant un siècle. Tous furent protégés par la puissance de l’argent, et un incivisme républicain fatal.

    Le pays en pâtit.

    L’Europe osera-t-elle détourner son regard, ou va-t-elle réagir ? 

    Sur cette vue d’ensemble, se greffe un cas particulier : l’Université Censier la Sorbonne Nouvelle, spécifique aux façons dont les poisons, les affaires et la justice s’administrent ici. Ce cas universitaire, prédestiné dès son départ [car Censier fut bâti sans permis de construire !, et floqué d’amiante sur 6 km et demi de poutres de fer] ; ce cas précise l’ignominie d’un contexte dit « éducatif », basé sur « l’excellence » et l’inaction.

    Contexte, sourd à toute réalité, maladies, morts d’hommes sur des mensonges placardés.

    Si bien que l’Université qui devrait « inspirer la cité » n’est plus qu’une Université carpette. La poubelle du pouvoir.

    D’où le besoin d’une autorité Européenne, afin d’éradiquer ce ver dans le fruit d’une jeunesse étudiante mondiale (les étudiants arrivent de partout).

    Ici, l’indifférence permissive s’oblige sur un libre accueil aux études axé, vers l’international.

    Ces deux exemples, la France et Censier, exposent une mentalité dictatoriale imposée aux établissements scolaires. Une mentalité qui consiste à salir, mentir, casser, tricher. Même en public. Même dans des lieux réservés au public. Même devant l’Europe. Même en connaissance de cause. Et même, pratiquée en privé. La morgue s’affiche sans vergogne. Sur automatique. Sur deux mille années d’habitudes. Sur des diplômes !

    Veuillez trouver quelques éléments, joints, Madame la Commissaire Européenne, qui définissent la situation de cette Université de sciences humaines, mensongère, inexcusable.

    Sur un travail de 14 années.

    Voir mon site : langinieux.ouvaton.org   

    1/ : Attestation de Maîtrise du 4 juillet 1996 (suivie le même mois, par des « demandes préalables » adressées au Président Jean-Louis LEUTRAT, pour « abus de pouvoir »).

    Avec une copie de ma carte d’identité [Étudiant à Censier la Sorbonne Nouvelle, de 1993 à 1997].

    2/ : « Observations en réponse » adressées au tribunal administratif de Paris. Travail du toxicologue Yves HUBERT au 22 décembre 1997. Cette recherche sur des faits analysés techniquement, placarde la « quadruple infraction caractérisée de Censier Paris III ».

    «Le problème de l’amiante n’est pas même pris en charge du point de vue réglementaire ». « Des ascenseurs, des centaines de fois par jour, pendant des années, éjectaient l’air contaminé d’amiante de leur cage ».

    « État de dégradation ». « Préjudice considérable, non seulement prévisible, mais perceptible. »

    « Les autorités de Censier, incapables de traiter correctement le problème de l’amiante ». « Ignorance étonnante des textes règlementaires ». « L’administration connaissait les dangers, mais se taisait ». « Crime d’empoisonnement collectif ».

     « Censier bafoue le principe de précaution préconisé par le nouveau code pénal en vue d’éviter la mise en danger d’autrui. »  

    3/ : « Les lanceurs d’alerte les frères BLANDIN ». Ni Censier, ni Jussieu n’avait lieu d’être amiantés. Dès 1951, la France possédait ses matériaux de substitution découverts par les frères BLANDIN, sans amiante, moins chers. Elle préféra la mort et le prix à payer.

    4/ : Ordonnance de non-lieu du juge d’instruction Michèle VAUBAILLON (sans les notifications requises).

    Non-lieu irrégulier du 13 mai 2002, incomplet (suivant les articles 183, 507, 508, du C.p.p., non appliqués) : « L’ordonnance sans prévision relatives aux formes utilisées pour la notification, est incomplète et ne fait pas courir le délai d’appel ».

    183 : Crim. 4 janvier 1991 : Bull. crim : n° 6. 8 juillet. 1992 ; ibid n° 271.

    « Jusqu’à l’expiration des délais d’appel, le jugement n’est pas exécutoire et le tribunal ne peut statuer sur le fond ». 507 (6) : « Les formes, modalités, et délais de l’appel sont d’ordre public ».

    (Droit constitutionnel). Crim. 25 février 1991 : Bull. Cril. N° 91.

     Ce juge a omis les notifications. Tout simplement.

    [Or, une ordonnance incomplète ne peut être « définitive ». En conséquence les trois parties prenantes, les fonctionnaires impliqués : Jean-Louis LEUTRAT, Bernard DHOOGE, Françoise CHIEZAL, ne furent pas fondés (art 91 du C.p.p.) pour poursuivre réparation, même si cette ordonnance était régulière : l’arrêt de la chambre de l’instruction l’aurait rendue définitive le 22 novembre 2002, 15 mois avant la requête des « citations directes » : dès lors, hors-délai.]

    Ces citations directes 78-04, 79-04, 80-04 du 1er mars 2004, aussi caduques que le non-lieu, furent déposées par Maître WILLIÉ (avocate qui gagne sa vie sur celle des étudiants depuis avril 1998, soit plus de 12 ans), 21 mois après l’ordonnance du 13 mai 2002 du juge VAUBAILLON.

    5/ : Réquisitoire du Procureur Général de la Cour d’appel qui « confirme la dite ordonnance [nulle] de Madame VAUBAILLON ». Cependant, des personnes continuent à tomber malades et à mourir à Censier, pour 40 ans maintenant.

    6/ : Reconnaissance du travail de M. Michel LANGINIEUX par le Président de la Mission d’information à l’Assemblée Nationale,  Jean LE GARREC, sur l’amiante à la Sorbonne Nouvelle, le 7 mars 2006 : « Un dossier très complet ». 

    7/ : « La Sorbonne Nouvelle (Paris-III). Une université en péril ».

    Réponse au dossier de presse du président BOSREDON de janvier 2006 : « Depuis 1983, l’air est sain à Censier ». Pure désinformation. Ce président court-circuite :

    . Les travaux d'encoffrement (eux-mêmes, dangereux par eux-mêmes) de 1979 à 1983.

    . Les travaux lourds en 1993-94, sans précautions, contaminant la Fac et le quartier.

    . Les chiffres LHCF du 2 juin 1995, sur les puits d’ascenseurs, couloir et salle de cours au 5e étage, à 30 f/l d’air (dénoncés par le toxicologue Yves HUBERT de F.O.).

    . Le désamiantage sauvage au 5e étage en juillet/août 1995, gardant les personnels sur place.

    . Le dépoussiérage d'août 1998 (désastre dénoncé par l’expert DELPORTE, à 480 fibres par litre d’air).

    . Le déflocage des gaines par le Ministère de l’Éducation Nationale, en juillet-août 1999.

    . L'ouverture des gaines techniques ordonnée par l’intendant ACMO Bernard DHOOGE une à deux fois par mois, sans précaution pendant 25 ans. Acte interdit, éminemment criminel.

    . L'absence de C.H.S. légal, jusqu’en 1999 (indiqué sur les procès-verbaux du C.C.H.S., Comité Central Hygiène et Sécurité du Ministère de l’Éducation Nationale et de la Recherche).

    . Le refus absolu de l'administration de communiquer les mauvaises mesures d'amiante.

    . Les complicités implicites d'empoisonnements de nature à tuer, cachant à des populations entières la vérité précisée par les experts (Observations THOMSON-CFS de décembre 1997 ; et note d’alarme sur le Rapport DELPORTE du 23 novembre 1998).

    . Les sempiternelles niaiseries administratives statuant que les "affabulations de LANGINIEUX" constituent "un risque réel pour les occupants et les personnels", en évitant les conclusions de 180 spécialistes (ingénieurs, techniciens, entrepreneurs, docteurs, professeurs, etc.) dont une trentaine d’experts, ainsi que l’absence de D.T.A. (« Plainte au Vice-procureur OBADIA » du 20 juin 2008).

    À l’évidence, Censier Paris-III ne fait pas de distinction entre les « affabulations » et les faits !

    Où mène l’Éducation à la française ?

    Pour avoir voulu défendre ses camarades d’une des plus sales maladies qui soient, Michel LANGINIEUX se trouve interdit de Fac et d’études depuis janvier 1999. Ce qui est illégal.

     

    8/ : « Conclusions en appel » du 20 mai 2009.

    Elles permettent de dévoiler des faits graves :

    . Le nom des malades et des morts (premier décès porté à notre connaissance : Madame Jacqueline SUZZONI, sur un cancer de la plèvre en avril 1995, cancer rarissime spécifique à l’amiante).

    Décès :

    Pierre GEST (plaques pleurales, malade reconnu par le Dr. KORBA et trois experts),

    Malades :

    Jean-Yves BRUAL (plaques pleurales, malade reconnu par le président LEUTRAT),

    Christian DEPUYPER (plaques pleurales, malade reconnu par le président LACROIX), 

    France GUYOT (plaques pleurales, malade reconnue par le Président BOSREDON),

    Malheureusement, il n’y a jamais eu d’enquête, d’expertise ou d’autopsie : 

    Pour les décès de :

    Jacqueline SUZZONI (cancer de la plèvre, spécifique),

    Vincent ARRIGHI (cancer broncho-pneumonie), 

    Sabine DUPRÉ-LATOUR (cancer du poumon),

    Marie-Dominique FALGAYRETTES (cancer broncho-pneumonie),

    Paul PERRIAN (cancer broncho-pneumonie),

    Serge TERRASSIN (ablation du poumon, cancer),

    Sliman CHERNIC (broncho-pneumonie),

    Louise COZIC (cancer broncho-pneumonie),

    etc...

    Pour les malades :

    Michèle DRAPER (plaques pleurales),

    Jean BITOR (cancer broncho-pneumonie, ablation du poumon),  

    Jean-Paul ZIMMER (plaques pleurales),

    Michèle BOURGOIN (cancer du poumon, généralisé),

    etc...

    . Les travaux lourds de 1993/1994, afin d’implanter un bâtiment de trois étages dans le bâtiment amianté, sans précaution, libérant des pics de fibres par milliards, sous l’œil vigilant de la SOCOTEC, de la Commission de Sécurité, de la Préfecture de Police, des officiels de Censier (la Sorbonne Nouvelle est responsable des fibres qu’elle a sous sa garde).

    . Les conclusions du C.C.H.S, le Comité central Hygiène et Sécurité national :

    Dénonciation formelle, explicite, en juillet et décembre 1999 par le Ministère de l'Éducation Nationale du président et chefs de service de Censier la Sorbonne Nouvelle, MM. LEUTRAT, DHOOGE et Mme CHIEZAL.

    . Les travaux de la police judiciaire :

    -        Non respect de l’obligation générale des risques (articles 2 et 27).

    -        Non respect de l’information et la formation des travailleurs (articles 3 et 4).

    -        Non respect des moyens de protection collective et individuelle (articles 5, 28, 29, 30).

    -        Non respect du contrôle d’une valeur limite (articles 5 et 30).

    -        Non respect des mesures d’hygiène (article 6).

    -        Non respect de l’obligation d’établir une fiche d’exposition (article 31).

    -        Non respect de la mise en œuvre d’une recherche médicale appropriée (article 32).

    Regroupés par l’officier de la P.J. d’avril à juillet 2000 (sans suivi).  

    [Avec de multiples preuves apportées, dont aucun des 77 magistrats en 13 ans n’a tenu compte.]

    9/ : Troisième demande à la CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) du 13 septembre 2010, pour obtenir le « Dossier technique amiante » (DTA) auquel les étudiants ont droit, refusé par l’administration depuis 5 ans. J’apporte à l’actuelle présidente, Madame LEMARDELEY, la question de Madame JOISSAINS-MASINI posée à l’Assemblée Nationale. Cette Député-maire relève le débat sur l’illégalité pratiquée en France et à l’Éducation nationale. Et sur l’autisme de Censier Paris-III où la non-application de la réglementation (prouvée par la police judicaire), la non-application du droit (prouvée par 77 magistrats impliqués) et l’homicide avec intention de poursuivre (prouvé depuis la mort de Jacqueline SUZZONI d’un cancer de la plèvre, en mai 1995), soulignent la gravité de cette requête. 

    10/ : Lettre de remerciements à Maryse JOISSAINS-MASINI à laquelle je lui demande de soutenir ma plainte au TPI, et de reposer une question à l’Assemblée Nationale sur « la mort en Fac en France », tout en rectifiant la réponse inexacte de l’Éducation nationale.

    [Avec l’article du Canard enchaîné : sur la libération juridique de Nice et de la Savoie].

    11/ : Lettre à Monsieur François FILLON du 5 octobre 2004, alors Ministre de l’Éducation Nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche. Il aura évité de prévenir les populations étudiantes, autant que MM. Claude ALLÈGRE, Jack LANG, et Mme Valérie PÉCRESSE : l’incivisme donc, sur des coutumes adoptées par l’Éducation du faire-semblant.

    . Aussi : la question primordiale du Sénateur Marie-Claude BEAUDEAU, sur « l’absence de visite médicale pour les personnels à l’Éducation Nationale », sans réponse.

    . Et les courriers « bateaux » habituels, de Serge PELETIER (Écologie), Stéphane DUPRÉ LA TOUR (la Présidence de la République), Hervé CELESTIN (l’Intérieur), Dominique de VILLEPIN, etc.

    12/ : « Requête en récusation » adressée au premier Président de la Cour d’appel.

    Elle implique le procureur général, François FALLETTI, près la Cour d’appel. Le procureur général Jean-Louis NADAL, près la Cour de cassation. Le président de la chambre 7/2. Sans que personne ne bouge sur mes demandes de rectification d’un vice de forme.

    Pis : je rappelle à M. Jean-Louis NADAL que j’ai déposé un pourvoi en cassation le 20 août 2007, il y a trois ans, sur le saturnisme chez moi. Sans réponse. Où est passé ce pourvoi ?

    Le « je m’enfoutisme » appliqué par la plus haute juridiction de France, n’est autre que pièce de musée, prétentieuse, inutile, devant la Santé publique et la vie humaine.

    [« S.O.S » l’Europe !!! Les hommes et les femmes de bonne volonté ont besoin de vous ici].  

    13/ : La guerre des chiffres autour d’une mobilisation dernière : « ET UN, ET DEUX … OU TROIS MILLIONS ? » Sur les manifestations en France du 23 septembre 2010. Preuve d’une mentalité à éradiquer : les désinformations nationales notoires de ce pays de pointe.

    . Avec la photo de « Direct Matin », vous trouverez celle de couverture « The Economist » qui a fait le tour de la planète, et une dernière dans « Le Monde » de l’actuel président infatué à l’extrême, et qui doit se prendre pour Louis XIV, le fils du Grand Turc, à moins qu’il ne joue du Feydeau. Ces photos parlent plus que n’importe quel texte. 

    14/ : Le seul article en anglais, écrit en 2004 : « THE CENSIER AFFAIR : THAT’S FRANCE FOR YOU » expose les faits, aberrations et dépréciations d’une Faculté française.

    Cette détermination à cumuler des macchabées « l’air de rien », en regardant ailleurs, s’avère spécifique à l’Éducation Nationale et à l’État français. Il nous faut arrêter cette gabegie monstrueuse où tout « va toujours très bien chez Madame  la marquise ».

    Personnellement, j’aurai servi d’appât pour faire « sortir le poulpe ». J’aurai réussi au-delà de toute espérance, en dépit des vilénies qui me furent faites depuis 14 ans.

    Cependant, pour arrêter les décès qui s’additionnent, hélas, point n’aura suffit de prouver.

    L’Europe se doit de trancher la tête d’une détermination administrative totalitaire.

    Des victimes continueront à mourir pendant 40 ans, résultat dû à l’acharnement d’une Fac aveugle, et de son Éducation Nationale.

    Dû à un État corrompu, non avenu.

    Or, cet État « se doit de protéger » depuis plus d’un siècle !, assure la loi du 12 juin 1893. Il accomplit exactement le contraire, en machine broyeuse.

    Cet État - Européen - doit être désinfecté de ses tares, et torché.  

    J’aurai, aussi, servi de miroir, pour vous apporter la température exacte d’un contexte hors-la-loi tenu par des mafias sans scrupules, et par les élites.

    Afin de rendre mes conclusions vers une attention exercée, extérieure : la nouvelle Europe.

    Car à qui confier ces faits terribles dans un pays où PERSONNE ne répond ?

    Je n’ai pas voulu venir à vous les mains vides, mais avec un amas de preuves, une avalanche de preuves.

    Ce « pays d’opérette » sourd, si sûr de son importance, fut mis au courant du drame de Censier la Sorbonne Nouvelle, il y a plus de 13 ans. Le procureur de la République n’a pas levé le petit doigt depuis le 25 février 1997, si absent est-il.

    Ce pays, tueurs d’hommes, devrait-il faire partie de l’Europe ? 

    Il impose ses lois avant la loi, le sens, le respect, l’infini, le droit. Ce qui le dépasse.

    Si imbu est-il de sa « République irréprochable » inique.

    Pourquoi le garder s’il refuse de changer ? 

    Plus fort encore : il a littéralement oublié de « notifier » le gouvernement italien de « traités », et d'enregistrer en 1947 près du secrétariat de l’ONU, ces traités passés concernant Nice et la Savoie, mal respectés.

    Résultat : je ne suis pas « d’ICI », Madame la Commissaire, non. Je suis Niçois.

    [« Honni soit qui mal y pense » !].

    Un Niçois qui coupe avec le mensonge surimposé. Qui pèse ses mots et tranche.

    Je ne serai déchu d’aucune « nationalité », non. Par choix,  je suis Européen.

    Mes requêtes vont juste vers vous, Madame la Commissaire en charge des Droits fondamentaux. 

    . Considéreriez-vous [suivant la « condamnation de la France par l’ONU » sur les « traitements des Roms, Manouches, Gypsies, Tziganes, Gitans, Gens du voyage et des Minorités ethniques, tous parfaitement Européens »], une condamnation simple et directe de « crime contre l’humanité » ?

    Un crime qui précisera des centaines de milliers de décès (impossible à chiffrer exactement) dus à l’incurie des pouvoirs publics français, exécutifs, juridiques, médicaux, et une absence de conscience et de pénal pendant plus de 100 ans, concernant l’amiante ?

    Pas un procureur de la République (dont l’autorité juridique se trouve, maintenant, niée par la Cour de Strasbourg), n’a pris l’initiative de demander l’ouverture d’une enquête pénale !!!

    -        Merci à Monsieur Jean-Claude MARIN. À Monsieur Philippe COURROYE.

    -        À Monsieur Jean-Louis NADAL. À Monsieur François FALLETTI. 

    -        Une seule exception, sur un siècle, confirma la règle : Monsieur Éric DE MONTGOLFIER.

    . Considéreriez-vous - avec l’accord et la coopération de l’ONU - porter plainte contre la France vers le Tribunal Pénal International, pour « homicide avec intention de poursuivre » sur les 40 années à venir, et ce depuis juillet 2002 (naissance du TPI) ?

    . Considéreriez-vous mettre l’exécutif français actuel, ce bastion de l’hypocrisie franchouillarde, face à ses responsabilités, l’exposant devant le monde entier sur ses inactions criminelles, son manque de compassion, de réflexion réelle, cernant l’état pathologique en lequel se trouve enserré le pays des lumières et du sang contaminé, lui-même en ses chaumières, désinformé à mort ?

    Pays incompréhensible, avec un « Ministre du Travail et de la Solidarité » qui accueille des étudiants par centaines de milliers venant de l’entière planète dans des lieux d’études à risques, sans les informer. Ni eux, ni leurs parents.

    Pays du mépris de la vie et des humains, de ce qui est vrai et sain. De toute solidarité.

    Pays « démocratique » qui ne mérite plus d’en être un.

    Pays du mensonge et de la mort, qui épingle des médailles les yeux fermés.

    . Considéreriez-vous révéler - haut et court aux oreilles internationales - les empoisonnements collectifs imposés en France, qui mèneront à terme l’actuel chef d’État qui nie par ses comportements inconscients l’importance de la Santé publique, le respect dû à l’organisme qu’offre la vie humaine : son sacré.

    La base. Base indispensable, sans qui ni vous ni moi, ni lui, ne serions ici en train de dévisager et d’apprécier cette qualité fondamentale : le sine qua non de notre existence.

    Vous remerciant pour votre civilité, Madame la Commissaire Européenne de la Justice, et pour votre façon nette de dire ce qui se passe sous nos yeux, je vous prie d’agréer ma parfaite considération.

                                     Michel Langinieux

     

    ***

    À MONSIEUR NICOLAS SARKOZY   

    Monsieur le Président de la République,  

    L'article du Monde le mardi 10 juin nous annonce "Comment Nicolas SARKOZY a gagné contre les juges" : le Chef de l'État a construit une politique pénale basée sur "une justice pour les victimes".

    Je porte dès lors à votre attention, un plateau choisi qui suit celui d'Outreau : 

    76 magistrats - soixante-seize - concernés par l'affaire des empoisonnements collectifs de la Sorbonne Nouvelle depuis ma plainte devant le procureur de la république le 25 février 1997. Oui, 76 en totale non-application de droit administratif et pénal. L'incapacité de ces spécialistes d'accomplir leur travail juridique se voit couchée sur leurs écrits, avec noms, prénoms, fonctions.  

    Or l'amiante tue.

    L'amiante tue en France depuis plus de cent ans.  

    Malgré des centaines de milliers de morts passées et à venir, aucun employeur n'a été mis en prison : aucun empoisonneur n'a été arrêté. C'est la simple raison pour laquelle ces responsables persistent tant qu'ils le peuvent, à rouler autrui dans leur farine amiantée.

    Quelques exemples caractéristiques : 

    - L'ordonnance de non-lieu du Juge Michèle VAUBAILLON : "Il n'existe pas de danger pour le personnel et les étudiants de la faculté". Ordonnance incomplète imprimée sans les notifications requises (Art. 183, 507, 508, C. p.p.). Il s'agit pourtant d'un droit constitutionnel européen.

    - Joëlle LACKMANN, vice-présidente du Tribunal administratif de Paris, réussit l'exploit de clore son instruction sur Censier sans avoir une seule fois l'idée - mais pas une seule fois après 7 années d'instruction - de mentionner le mot-clef du dossier, le mot "amiante" ! Rejet notifié cependant avec les notifications de délais et recours (l'affaire se trouve actuellement à la Cour d'Administrative d'Appel de Paris, avec pour avocate Corinne LEPAGE).  

    Tant et si bien que j'ai déposé une plainte adressée à Monsieur le Procureur du Tribunal pénal international à La HAYE - en tant qu'étudiant à Censier de 1993 à 1997 - à l'encontre de l'État français concernant cette énorme catastrophe trop bien entretenue, avec pour exemple notoire l'Université la Sorbonne Nouvelle et son avocate Anne WILLIÉ qui, depuis dix ans, gagne sa vie sur la vie des étudiants et des riverains.

    Si la formulation recevable n'est pas parfaite - j'attends la réponse de Monsieur le Procureur Luis MORENO-OCAMPO - le coup d'envoi est officiellement donné. Personne, auparavant, n'avait osé apporter ces faits gravissimes devant une autorité internationale.

    Une voie tracée, royale, s'ouvre, prête pour votre capacité d'action devant le monde entier : votre politique pénale. 

    Les simulacres de justice s'avèrent, en effet, si terriblement ennuyeux. 

    S'il vous plaît, Monsieur le Président, délivrez-nous de la pourristrature.

    Un immense merci de ma part.

      Michel Langinieux

                                     Date de la lettre Sarko 2008.

    Trois ans plus tard : rien n'est fait ! 

     

    Et on passe de 76 ... à  88 magistrats ...

     

 

     

    Samedi 8 janvier 2011

     « Michel LANGINIEUX ou la colère d'un poète ... »

    Michel Langinieux donne sa vision de l'actualité, dénonce dans un rythme échevelé les aberrations quotidiennes dont l'Homme se rend coupable, chaque mot dénonce notre impuissance à stopper cette machine infernale qui nous entraîne vers les abîmes... à lire sans sauter une virgule ! 

     

    Fred des Neiges,

    J'essaie de t'écrire depuis 8 jours. Bernique. Je suis ailleurs, sous cette fatigue constante, suante. Ou tout simplement ailleurs. Ailleurs, c'est bien. 

    Pendant ce temps, des feux d'artifices, et il pleut des oiseaux par milliers !!!

    Avec leurs taches de sang. La vie prise en plein vol. 

    L'Australie, l'eau gagne du terrain au Queensland : aéroports sublimes, trempés. Point de non-retour qui ne cesse de monter.

    Miroir. Tout lac est beau. C'est fou, avec des toits dessus qui pointent. Inondations "bibliques". Des serpents grimpent. Sur et dans les maisons dévastées. À Rockpampton : des grands, des venimeux, nerveux. La saison des amours. La Guadeloupe s'y met ! en pluies diluviennes, pas en amours.

    Ils auront les voeux de Sarko. Tout se tient. 

    Haïti se recouvre. Protection : Vaudou partout. Façon d'oublier ce qui se passe, la famine, le choléra, la peur. Plus que la mescaline, le Vaudou recouvre.

    Y danser toute la nuit sans être fatigué. Magie incompréhensible, tangible. Un nuage, prêt. À vous enlacer. Un sourire dans l'air. Création indispensable pour les désespérés, les affamés, les êtres perdus.

    ... Plus grande la colère divine, plus grand le Vaudou généré. Un processus : l'un nourrit l'autre. Mort présente, comme au Mexique. 

    Il y a 50 ans, déjà, c'était énorme, Haïti. Nourriture collective pour échappatoire. Force des incantations ... "Les comédiens" disait Graham Greene. Tam tam le long de la nuit, de collines en collines. Et Jolicoeur. L'as de trèfle, à l'aréoport. Une âme collective de milliers de personnes en transe d'espoir ou d'oubli. Raison raisonnante, pensée discursive, s'arrêtées ... On bascule. Dans autre chose. Les gens perdent leur sens, leur connaissance. Les artistes dansent jusqu'à l'aube. La jeunesse ne peut s'accrocher ... et passe de l'autre côté. Oubli indispensable.  

    Le Mexique, si proche. Un autre monde. Folie des Cartels. Personne pour s'arrêter. Pour arrêter l'escalade. La bourgade Ciudad Mier, vidée. Petits arrachés à une violence banale. 3 000 policiers et militaires n'y feront rien. Tout bâtiment public devient havre pour réfugiés, familles, bébés, pour les tueurs devant y passer. Formes d'hystéries, de fuites en avant. Plus de haine de grogues et d'argent. De morts. Plus.  

    Pendant que des élèves, de plus en plus difficiles ici, relati vement au calme, sous des réformes ridicules de chez nous - l'abandon des passions, du soin, du respect de l'être - soulèvent le mal être chronique des enseignants et des enfants. L'Education politique, une infection : dénaturer l'enfant à la base, le tuer de gré, de force. Inventer des tortures et notes, la comparaison, l'imitation. Imposer le gavage.

    Et moins cela marche, plus ils en veulent. De cette frime. Cette folie bureaucratique. Le "Sois sage et tais-toi", échec d'une société étouffante mensongère.  

    Israël, lui, perd ses billes. Et paie le prix. Pour aller où ? Pour faire quoi ?

    Perdre à coup sûr, faire perdre les autres, ses frères, ses cousins. D'autres hommes. Plus. Plus de coups de poignards dans le dos, dans le ventre.

    Percer. Percer.  Pas dans l'intelligence. Dans la besace des compromis.

    Avec la Bête. La Bête des fous. Qui finit à coup sûr. La trahison.  

    Oiseaux et poissons tombent. Les signes par milliers. Vomissez, mes frères.  

    À 93 ans, Stéphane s'écrie : "indignez-vous" à 3 euros la copie. M. Hessel y va. Pas molo. Le pays marche sur la tête, dit-il. Et son livret marche et se vend. Au point où le pantin de service l'imitera sous peu, et le cheptel suivra !!! Il y aura une médaille pendue, sûr. Au coup du grand homme. 

    Pendant que Mme Irène Frachon, libre de la condescendance des responsables ministériels ou autres fonctionnaires de la haute, dit la vérité sur le Médiator.

    Mais pas Bachelot. Bachelot radote : elle apprécie radoter. Elle s'occupe du "crucial", point de son état mental. Dommage.

    Quant au président de "Servier la honte", il annonce "seulement trois morts" pour le Médiator sur ses voeux délirants.

    C'est trois de trop, Monsieur, dus à votre médicament dégueulasse. Une légion d'horreur pour désinformation ! Cent dix plaintes arrivent. Elle seront suivies par 105 autres, en cascade, avec preuves du lien entre prises de Médiator et maladies cardiaques. On s'amuse fort, dans la santé publique ! 

    Non, voilà la revue "Prescrire" qui revient à la charge et dénonce d'autres médicaments. Cher Prescrire, empêcheur de tuer en rond. Point la Sécu : elle savait tout sur le Médiator depuis 10 ans. C'est cela, le trou dans la conscience : la non-assistance à personne en danger. Résultat : des centaines de médicaments à retirer des pharmacies, produits dangereux et inefficaces.

    Tout sort. Mais en attendant, qu'est-ce que l'on déguste chez nos faux derches !  

    Le Médiator, c'est 2000 personnes. L'amiante, des centaines de milliers. Chut. C'est un secret.  

    Les mafias fleurissent, vraies, fausses, tordues jusqu'à l'os. Le jeune Giancarlo Siani fut assassiné à 26 ans, par la Camorra, une mafia établie. Pourquoi ? Il était journaliste, un vrai. Au quotidien Il Mattino. Au journal Le Monde, on n'assassine personne. Ils s'assassinent entre eux, les dorlotés. Tout se tient, chez les mafieux à la même mentalité.  

    Assange, Julian l'ange Australien à sec, libre d'une Amérique hystérique à ses trousses, révèle les tricheries politiques des grands de ce monde, tout petits sous leurs masques. Ceux qui s'imaginent vouloir éduquer les enfants !!! Les politiques, qui se mèlent  d'éduquer ... Ces nuls, hypocrites, tricheurs, fourbes.

    Le nombre de personnes que les politiques ont tuées !!!  

    La jeunesse algérienne explose ; suivant la Tunisienne. L'explosion de colère secoue cette Tunisie ; suicide en pleine rue d'un étudiant chômeur. Trois semaines de troubles sociaux virulents. Bizerte. Tunis. Sidi Bouzid. Djerba.

    Jelma. Loulares. Thala et ses lycéens. Fragmentations. Séparations. Frontières mentales et spirituelles. Physiques. Economiques. La haine. Tout se tient.  

    La Hongrie se rit des valeurs de l'Europe. Elle s'en fout. Elle veut faire entendre ses bottes. Budapest veut s'imposer. Halte pourtant ! "Ne pas porter atteinte  à l'intérêt public, à l'ordre public,  et à la morale".

    Mais voilà : la Chine est là, à la rescousse absolue. Son agence de presse Xinhua étend ses tentacules. Miam Hua ! Xin ! 27 bureaux en Europe. La Chine colonise sans grands discours, sans esbrouffe, en puissance financière mondiale. Elle développe un bombardier furtif capable de concurencer le Rafale et le F22 américain. Elle oeuvre calmement. Un jeu d'échec. Du troc, case après case. Dans son but commercial. Elle entre et prend. Elle entre et donne. Même topo. Elle progresse dans la maîtrise du nucléaire, top niveau. Elle se veut sauveur, empêchant la faillite de la zone euro. Et si la faillite arrive, elle se portera garant. C'est tout cuit, prêt pour elle. MIAM.  

    Le conflit afghan compte 10 000 morts en un an.  "Etape malheureusement nécessaire" affirment les tueurs. Même chez les leurs. MIAM.  Plus !  

    Au Caire, les coptes en ont assez. Le massacre d'Alexandrie pue sa forme d'ignorance. Gratuite. Pauvres en esprit, la boucherie de dingos organisés contre de braves gens.

    Le Tibet annexé, une boucherie d'autres dingos. Plus. Des jaunes, des colorés. 

    Le monde est vaste. Le Tibet aussi. Les citoyens chinois n'ont pas confiance. Eux-mêmes se défilent devant les trucs, tours de passe passe, zones d'ombres, incidents de masse. C'est grand, la Chine.  

    L'Islam se voit considéré comme une menace en France, en Allemagne. Il s'en fout. Il prend son temps. Il avance. Il envahit. Kadhafi l'a dit. Nous entrons dans l'irréversible. MIAM.

    Le journal, de son côté, Le Monde, cherche une direction, avant le 10 janvier. Est-ce pour continuer à désinformer ? Quel est le but de son euro cinquante centimes ? Pourquoi joue-t-il à tant de jeux ? Pourquoi mentir, laisser des gens en danger ? Que veut-il prouver, Le Monde ? Trouvera-il une force d'intégrité plus forte que les jeux du monde?  

    Et pendant que le chef de l'Etat roucoule à qui mieux mieux, de voeux, de ses voeux, sous les ors, chandeliers, lumières, façades, le pays s'écroule dans la misère et la faillite. Sous des discours sompteux, sans réalité. Des mots. Des motts. Des mots.. "Faites-vous vacciner, c'est sûr !!!" Il faut oser.

    Il y a feu en la demeure [42 000 voitures brûlées en un an. 1000 à la Saint Sylvestre. Une banalisation. Une coutume !] et personne ne l'éteint. Les gens ont peur et se terrent.

    Pour la première fois, les grands dirigeants syndicalistes ont refusé de se rendre à l'Elysée, pour assister aux voeux présidentiels, champagne et petits fours.  Tourner le dos à Nicolas, acte incompréhensible ...

    Comment l'homme normal peut-il réagir ? Celui qui travaille, nourrit sa famille, qui existe, devant tout cela ? Comment peut-il réfléchir devant les vagues montantes et la monstruosité des assertions ? Comment peut-il se transformer pour amener un être humain neuf dans un pays neuf et foin de ces serpières aux ordres, serfs déguisés, déni de vie et de réalité ?

    Comment une femme libre peut-elle éclore dans ces carcans et fosses puantes ?

    Comment vivre tranformés dans un monde qui ne l'est pas ?

    Pouvoir seulement dire que le ciel est bleu, quand il est bleu, et noir quand il est noir ?

     

    Michel

     

 

     

    Samedi 22 janvier 2011

     « Michel LANGINIEUX lanceur d'alerte »

    Michel Langinieux décortique encore une fois les hypocrisies de notre système, ceux qui liront jusqu'au bout comprendront mieux les dangers qui nous menacent en ce sens que si tout le monde "s'indigne" au cri d'un vieux bonhomme de 93 ans, qui ne sait pas que le temps de l'indignation est passé et qu'il faut passer à l'action, il serait temps pour les plus jeunes d'en prendre conscience avant qu'il ne soit trop tard !

    Michel Langinieux, "lanceur d'alerte" tente, je dirais "désespérément", de nous faire enfin passer à l'action !

    Lanceur d’alerte

    Sujet qui prend conscience. L’objet dont il prend conscience : lien immédiat. Action. L’entité qui voit, et ce qu’elle voit. Dangers extérieurs et risques internes.

    Pour exemple : Jacques SERVIER ne retire pas le Mediator. Son laboratoire y sera forcé par la loi. Par les morts. Par le scandale. Par meurtre médical avec intention de poursuivre. Par refus de transparence, d’agir, d’arrêter. Avant tout, l’argent prime. Machine à sous tenue par lucre. Nocivité. Appétit rapace. Réalité inquiétante.

    L’arbre cache la forêt. Société loup pour l’homme. Mentir pour tuer. Guérir pour tuer. Tuer pour tuer, par avidité. Ne rien avouer. Jamais.

    Le voir, d’un coup.

    Le dire.

    Rien ne retiendra le lanceur d’alerte : il réalise. Dès lors, agit. Urgence, pour Irène FRACHON cette fois-ci : « La démonstration d’une imposture scientifique implacable».

    Jacques SERVIER, l’apothicaire empoisonneur, permet à Irène, la libre citoyenne FRACHON, d’exister. Si lui, le médical aux 145 millions de boîtes d’amphétamines, obtient la Légion d’honneur, elle, de son côté, sert la santé publique. La prise de conscience ne prendra jamais la vie. Elle la rend : elle lui rend grâce.

    Selon ses habitudes, le Président claironne « la transparence la plus totale » dans l’incapacité de l’obtenir, sauf un ronron national. Car personne ne sait ce qu’est la transparence ici : L’espace ? Le vide ? L’absence de maculé, de matière, de molécules, de particules, de quarks ? Le Rien du Tout ? Le Président, lui-même, incarne l’opacité et ses contradictions. Qu’il conte ce qu’il désire. Il ne demandera rien à Irène FRACHON qui elle, par contre, en lanceur d’alerte, lui apporte tout : sens, civisme, moralité ; et impose la réalité.

    Lui, le Président, passe après.

    Plus tôt, le 7 juillet 2009, Nicolas Premier parlait ainsi à son ami Jacques « l’engagé, l’incorrigible SERVIER » : « Vous êtes un patriote. Grâce à vous, notre pays peut saluer une industrie de classe mondiale. C’est un privilège réservé. Vous êtes un homme courageux. Un visionnaire. Une publicité vivante pour les médicaments SERVIER. » Tout est dit, pile. Pales mensonges et morts. Bien rémunérée, la nomenclatura d’une dictature chez Marianne la pute.

    Qui donc prescrit ici ? Qui connait les effets du sang contaminé, de l’hormone de croissance, des vaccins de l’hépatite B, des amalgames dentaires mercuriels, du nuage de Tchernobyl ; et laisse courir ? Qui veut ne pas entendre, voir, dire, alerter ? Plus fort : surmultiplier les désinformations. Qui a le pouvoir de ne pas exister ni de s’imposer civiquement, sauf par barbouzes interposés d’une mainmise éhontée, criminelle ?

    Qui dira « MERDE » à la merde hypocondriaque, enfin ?

    Le voir, d’un coup.

    Qui laisse crever un demi-million de personnes d’amiante en France - avant, pendant, après - imposant son « c’est rien », sans bouger un siècle durant, pour encore 40 ans, jamais assez ?

    L’essentiel, la vie humaine, passe à l’as. Pis : la moulinette : droits, obligations de se former, d’informer. Incurie incrustée. Xavier BERTRAND, ministre de la santé, trahit Censier la Sorbonne de 2005 à 2007. Il refuse de répondre à la question de Jean-Louis DEBRÉ sur le sujet. Maintenant, « il veut être entendu le plus vite possible. Et aller jusqu’au bout des choses ». L’express, pour mille personnes parachevées, mais rien pour des centaines de milliers amiantés Français, ni pour la Sorbonne Nouvelle en danger ! Poudre aux yeux que ce franc-maçon peu aidé : « Maçon certes, mais franc ? » (FILLON dixit). On attend depuis 5 ans.

    La présidente, hors-la-loi, LEMARDELEY de Censier, refuse l’obtention du DTA (Dossier Technique Amiante). Qu’a-t-elle donc à cacher ? Des malades, des mensonges des morts ? Elle évite d’appliquer la réglementation. La voilà tenue, obéissante aux forces de l’argent. Triste servante d’un État putride qui préfèrera trucider qu’avoir tord. Il n’y a pas de génies de la comprenette à Censier.

    La vie humaine, la base, le sine qua non de l’existence personnelle, se voit traitée comme entité négligeable par l’Éducation Nationale.

    Le lanceur d’alerte tranche avec cette aveugle beuglante fonctionnaire de mentalité papier-mâché. Sourde. Muette. Là où le mot tient lieu de fait !

    Le lanceur d’alerte reste personne morale, normale. Pas du carton-pâte administré.

    Le voir. De fait.

    Qui avouera la faute « de n’avoir pas été au courant » ? Roselyne BACHELOT, ministre si rarement au courant ? Michèle ALLIOT MARIE ? Elles échafaudent leur petit tas de bois. Mort. Le bois des langues fourchues, les langues de bois. « MAM », suivant 20 ans de complaisance envers la dictature Tunisienne, ose sortir : « La France est tenue à une certaine réserve ». D’où sort-elle cela ? Du bois dont on fait les flûtes ? La Tunisie en crache un venin mal ressenti. Autant cracher sur une jambe de bois. « Dites à « MAM » qu’on n’a pas besoin de flics français » lance un syndicaliste de l’Union générale tunisienne du travail.

    Un seul cadre subsiste, évident, personnel : l’intérieur et l’extérieur, rien d’autre. Le voir.

    Le spectacle en soi, chez et avec. Dedans. Dehors.

    Les scénarios du nostalgique, en éventail, s’occuperont à la queue-leu-leu : Mitterrand, De Gaulle, Napoléon. Les flonflons. On dénonce pour mieux distraire, les « plans pervers d’épuration religieuse », mais point l’épuration en masse des Roms … Le monde musulman « malade d’intolérance », mais point les bourgeois qui, à coups de liasses, laissent des SDF crever par milliers. La « barbarie au Sahel » sur deux jeunes tués. Mais point les dégâts collatéraux du vaccin de l’hépatite B, qui affecta, sur un million de personnes, les cellules souches de leurs résultats déplorables.

    Dès lors :

    1/ « Indignations et interrogations » : le scénario intérieur. Fortes réactions. L’outrage.

    2/ « Ni responsable ni coupable » : le scénario extérieur. L’immobilisme faux derche.

    En vrac : l’on tue à bon compte, jamais autant ni aussi facilement. En Afghanistan, 53 soldats français. Combien d’Afghans, personne ne sait. SADR appelle ses partisans à « résister par tous les moyens » en Irak, chez eux.  L’armée chinoise : 75 milliards de dollars. Les USA : dix fois plus. 60 544 personnes incarcérées en France. Adjudication de la dette portugaise. Chengdu : chasseur furtif et pigeon vole. Vie à crédit en Cisjordanie, mort à crédit en Palestine. Aux Indes : 17 368 paysans suicidés. Au Brésil : les survivants manquent de tout. Le coût d’Alzheimer. Tapis rouge à Paris pour la banque chinoise ICBC, la plus grande au monde : invités, Christine LAGARDE, Total, Air liquide, BNP Paribas, Sodexo « La France est attractive pour les entreprises chinoises, pas seulement parce que nous sommes romantiques » (sic). Madame le ministre se rendra mieux compte dans quelques années. Pékin, entre surchauffe et inflation.

    Scission de parquetiers et juges du siège. Amertume de l’institution judiciaire. De ceux, surtout, qui ont eu affaire à elle. Beaucoup de brumes ce matin. Le gouvernement planche sur un nouvel impôt. GBAGBO contre ONU. PASQUA s’en prend à CHIRAC. 4 février 2011 : l’année du lapin. À quand 1000 dinars en liquide pour chaque citoyen ? Nos chroniqueurs régalés par Superman d’État, cible facile ou clown. L’inimitable Stéphane GUILLON : « Tant qu’il est là (l’inspirateur Super-né), on est très, très inspiré.  S’il part, cela va être un problème ». La France condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour « des traitements inhumains ou dégradants » en prison.

    BAKCHICH, le site sulfureux, menacé : on en veut à sa vie. Les polémiques entretiennent l’esprit. Tenir sans sous, est-ce possible ? Une liste d’évadés fiscaux pour WIKILEAKS (2000 comptes dans les îles Caïman). Toujours ça. Pris ! BERLUSCONI, empêtré de putes mineures. Pris ! Des vœux, des vœux. Le président traie la vache, tire sur ses pis. Les pires inondations, meurtrières. Niña, voilà. Crues. Glissements de terrain. Pluies saisonnières. Mousson mortelle. La délinquance. L’indépendance. 

    ASSANGE plane : il les tient. Ils le savent. La révolte s’entend. Tunisie chérie : les ratés de la politique française. La Niña s’étend. Va, va. Libérez les otages ! La zone euro. Zone zéro. Trafics d’enfants : industries d’enfants. L’État et ses écoutes, saccageurs de sain, de sacré, si peu au courant des poisons et assassinats, happé par des sous ! Recherche du pétrole en Arctique. Le gaz de Schiste, sous l’eau minérale et explosive du robinet, prend feu. Creusez ! Creusez ! Des sous.  

    Chancelière en posture, bonne ou mauvaise. Les pouvoirs d’achats. G 8, G 20 … G 228 ? Foison. La Chine s’impose, sans parlotes. Rien à prouver, quand elle veut. Goldman Sachs : son souhait pieu, vœu de transparence. L’université prône l’excellence (voir Stanford et Yale, plutôt que radoter !). Les ruines d’Haïti. Passez, passez, braves gens. « Baby doc » de retour, inculpé. Jamais assez. Le Maghreb à feu et à sang.

    Bien le voir.

    Les sous et la science « à la SERVIER » serviteur servile. Il reçoit de l’État - horreur - la plus haute distinction de la Légion d’honneur. Grand-Croix. Pourquoi parler transparence quand tout devient si clair : petits soins aux clients, roulés dans la farine. Pour Ségolène ROYAL : « L’affaire criminelle du siècle. On voit bien à quoi conduit la cupidité, la voracité de l’argent, la collusion des pouvoirs ».

    Elle oublie qu’elle a laissé crever Censier la Sorbonne d’amiante en 1997, preuves en main. Elle oublie qu’une plainte fut déposée contre elle à la Cour de Justice de la République sur « l’affaire criminelle du siècle ». Même amiante. Et contre 13 autres ministres, dont AUBRY, VOYNET, BUFFET, ALLÈGRE, LANG  … Arrogance royale, trois plumes dans le cul. La commission des requêtes les couvre. Pays d’opérette. Opéra de quat’ sous. État avancé, pure pourristrature. Les noms des juges ? Sur Internet. Ils font partie des 89 magistrats … d’une nomenclatura franchouillarde en non-application de droit, en soutane.

    WIKILEAKS dévoile la crise bancaire. Les façons dont elle est gérée : face visible, face cachée. Pratique du lobbying. Ceux qui veillent à leurs intérêts. Ceux qui dénoncent la perversion, tenus à distance. Entre deux décisions, le pouvoir prend le pire, par choix. Floqué. Pamphlets sur la fonction publique : elle ne les supporte pas. Elle ne se supporte pas. Ni l’objectif intelligent de la pertinence. Pas d’humour dans la fonction ! Seule, la trahison.

    En contact, concerné, l’esprit dégagé. Voir, libre de tout savoir, de la pensée discursive, de l’explicatif redondant des universités tarées. Voir l’autre ouverture. Vue sur un feu qui s’allume et perdure, même sous les hurlements « DANGER ». Tchernobyl s’incruste. Son nuage ne passera jamais ici, c’est protégé. Ici. Il n’y a « pas d’amiante à Censier » (bêlaient les ACMO Bernard DHOOGE et Françoise CHIEZAL pendant des années). Académie modèle, mortelle, édifiante. Seulement des niais ici. Si jolis. Diplômés.

    La liberté du regard caractérise qui tire sur les manettes. Ni fonctionnaire asservi. Ni expérience antérieure. Ni jamais pris. Ni autorité, secte, tribal, groupe politique ou maçonnique. Ni. Ni.

    Haïti et les Haïtiens non perçus. Rien de rien. Secret rarement exprimé. Effacer. Absoudre. S’absoudre. Passe-passe. Mort à crédit. Où passe l’argent enlevé ? N’attendez rien. Personne. Sauf pour manipuler. Manigancer. Croquer. Grandes manœuvres.

    Implications non révélées. Sociétés écrans. Comptes ouverts, couverts à l’étranger. Le troc fait partie du prêt, de l’acquis. De l’entourloupette. Du savoir jongler. Acheter des gens. Des enfants. Des présidents. Attention : des sous dessous. Sens dessus dessous. Risques de contagion … Tunisienne.

    Depuis 10 ans, Eva JOLY alerte. Elle indique, sans perdre de temps. Elle ne traficote pas. Elle perçoit et le dit. Ses « héros ordinaires » sont des lanceurs d’alerte.

    Entrevoir sans division, sans mainmise. Affranchis du gâchis de nos archives. Liberté d’agir hors des doubles compromis, ronds-de-jambes, plans sur la comète, décelés dans la presse générale. Sans besoin d’imprimer, de s’imprimer pour pouvoir exister, de traduire suivant ses tendances personnelles. Hors temps.

    Pouce !

    Ébranler la base de l’hypocrisie transbahutée. À bras le corps. « Le marché a pris la forme et la force aveugle du destin auquel on ne peut qu’obéir ». Tragédie grecque. Iphigénie. Le destin. Qui va se sacrifier ? L’étudiant nègre ? L’étudiant intègre ?

    Qui dira la vérité ici ? Qui peut l’entendre ?

    L’argent est Dieu. Déclin. Dislocation. Décomposition. La Chine progresse, en plus ancienne nation, la plus peuplée. En marche. Les marchés décident. Capitalisme financier. Problèmes non abordés. Rouleau compresseur. L’Occident quenouille.

    Internet court-circuite. Hermès communique. Incluant spéculations, mais aussi, la réalité. WIKILEAKS ouvre les soutes, allume ses spots. 

    Les États, incapables de contrôler le spéculos, jugulent les forces démocratiques, les lanceurs d’alertes !!! On en pisse de rire. Mieux : ils donnent des leçons.

    Forces régressives. Plus fortes que tout sens.

    Vision plus rapide, immédiate.

    L’Armée du salut, et ses « SOS ». Ceux de l’Abbé Pierre, 50 ans durant. Personne ne les voit ni ne les entend. Les sans-abris niés. « Parle toujours ». L’État s’en fout. Lui, ses flonflons.

    « Des ministres au travail ». Pourquoi perpétuer le plus, l’encore, la frime ? Mentir, casser, salir, prétendre. Périr. La Belgique, sans gouvernement depuis 200 jours, marche aussi bien.

    Liberté de chercher, d’explorer, de patiner, ne rien accepter comme des veaux serviles. Les cheptels de Censier ! Liberté de questionner, de bondir dans l’espace. Tremplin.

    Pourquoi ces erreurs figées dans le chaos terrifiant des trafics de la presse ? NEW YORK Times. WASHINGTON Post. Le MONDE. The GARDIAN. 

    La responsabilité due à l’alerte permet un monde différent. Pas en asservis, en entreprenants.

    Révolutionnaire dans le contenu d’une conscience. Transformer. L’ouvre-boîte des conserves.

    Dedans dehors. Vers l’intérieur, vers l’extérieur.

    Dans l’instant, sur le défi porté.

    Face aux questions du monde. Dans les réactions multiples.

    Prêt. Le voir.

    Qui crée le fondamental : « Dedans, dehors, face à tout cela, qu’est-ce que je veux ? » sans s’en ficher, sans se ficher ?

    Aux ordres ? Faire plaisir aux autres ? Pion ? Ou changer de vitesse ?

    Tirer sa main du feu. Qui voudrait souffrir prit, et frit ? À en être con. Sorbonnacré.

    Et la main anesthésiée ? Ces fonctionnaires se laissaient crever, 46 ans durant, dans leur Fac lardée, sans murmurer. Si, ici, on cousait des petites filles ? Suivant la coutume.  « Boit ton vin, c’est du bon vin ». Nos ancêtres. Gaulois d’Afrique. Du Nord, du Sud, de l’Est. Là où l’on profite d’autrui sans vergogne.

    Des dogmes proposent. Les dictats disposent. Le flot emporte, affaires, vie politique, religieuse, scientifique, de famille. Des fragments. Ce qui permet la beauté aussi, la générosité, la nature. Le sens de l’immense. L’infini du 8. La ronde infinie.

    Les actions fragmentaires apportent leurs opposés : communistes, socialistes, capitalistes, « istes » à l’infini ; les activistes. Et les actions contradictoires tiennent, consciemment, inconsciemment, des activités contraires à l’enjeu initial … Divisions, d’autant plus ! Fragmenter. Emmurer. Démembrer. Fractionner. Mieux régner.

    Le voir. Acte valable. Sain.

    Monde désagrégé morcelé, où la violence s’impose. Violence normale banale, sans nom. Brute. Sous nos yeux.

    L’homme veut avoir raison, s’établir ou écraser les autres par sa raison raisonnante,  gouvernement en tête. Et la tête qu’ils font ! La tête qu’ils ont !

    Souffrance, anxiété, peur, imitation, comparaison. Plus, plus, pour écraser l’autre. Dinosaures en succès, dévoreurs de mammifères, des premiers oiseaux.

    La presse n’apprécie pas. Pas la vérité. Elle insiste pour déposer son grain de sel. Son droit de mentir. Sa forme de tyrannie. À sculpter la réalité. À son gré. À imposer ses idiosyncrasies. L’arrogance aveugle d’une pensée qui croit expliciter. Qui sait tout, l’aveugle, toujours tout. Surtout à Censier floquée, exemple parfait.

    Sortir du système, transformé, face au monde en tronçons qui refuse le vrai.

    Qui envisage que cela puisse marcher ? Qui osera arrêter, fera tout pour arrêter l’empoisonnement collectif ?  Le génocide ? La mort en Fac ?

    Qui respectera le droit, comme ce prix Nobel jeté en prison, pour son respect qui dérange ? Qui dérange l’ordre du pouvoir super-imposé, chinois ?

    Le lanceur de vérité - la liberté pour tous - n’a pas à obéir à qui que ce soit, ni à quoi que ce soit, fausse excellence, robotisation, cheptel hurlant, magistrat manche ou balais.

    Le lanceur d’alerte réalise, plutôt que cogiter.

    Confrontant le fait du danger : « NON » à la mort placardée par forces monnayées. Transgression des valeurs trop courantes. Dictatures mafieuses toutes en complaisances. Nucléaire iranien. Le statut fonctionnaire français statufié, s’étouffe, l’esbroufe.

    Car l’activité contradictoire, gouvernementale, mentale, cérébrale, se contredit sans cesse.

    Magma de mots, de morts, de mensonges.

    Assez d’école primaire, appliquée dans les universités. La sève arrêtée.

    L’État des lieux au pays où rien ne bouge.  Pendant que WOERTH cache et se cache. L’ombre lui convient, lui et sa femme. Qui est ce ministre ? Qui le sait ?

    Les Francs de Polynésie Française rémunèrent les pouvoirs publics sans jamais exister : les XPF. Pourquoi ? Qu’y a-t-il encore à cacher ? Des transits ? Du tube digestif ? Des retraites, déjà oubliées, l’agonie d’un mythe français.

    Le mouvement de la vie accepte mal ces possessivités, calculs, manipulations, anxiétés et paniques. Lardés en Sorbonne Nouvelle aux prisonniers modèles d’un comportement asservi. Serfs d’une société aux siècles d’immoralité, d’immobilisme, de règles imposées. Pauvres étudiants, dans tous les sens du terme.

    Jalousie, domination, haine, envie, désir de posséder : structures du plaisir bestial. Professoral. Bien noté.

    Formules, systèmes, schémas : les voir s’évanouir dans un 8 infini de l’intérieur à l’extérieur, et vice versa.

    Un flot de vie sans commencement ni fin, jaillit. Dans le fini. Fouler la neige chez soi.

    L’homme nouveau. Déjà. Le  lanceur d’alerte. Jamais compris face à sa Fac Paris-III, l’inerte.

    Bêtise incarnée. Com-par-ti-men-tée. Muselée.

    Pur atavisme. Sans voir ni savoir. Bouger ni faire bouger.

    Caractère ancestral, primitif. Cocorico stratifié.

    Capito, Censier ? Réfléchis sur ta cage à rats, l’amiantée.

    Pour démolir et t’accaparer l’Ilôt POLIVEAU : il te faut, d’abord, le dé-sa-mi-an-ter.

    Capito, Censier ?

    Le voir, d’un coup.

    Pour résumer :

    Premier poisson marchant sur terre, il y a des millions d’années.

    Héros bancal aux nageoires, branchies, écailles rampantes.

    Cartilages. Moustaches. Poitrail. En marche.

    Quand les reptiles n’existent pas, ni les gracieuses gazelles, ni les démarches félines.

    Menu fretin qui ose trouer l’espace, sacré poisson.

    Voie de transformation. Changer de dimension, de direction.

    Annonce d’une alerte.

    Loin de l’ignominie. Sur terre ferme, avancer. Y aller.

    L’aube d’un homme nouveau.

     

    Voir : <langinieux.ouvaton.org>

      Paris, le 21 janvier 2011

    Voir aussi :

    http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/industrie-du-medicament-les-88745

    http://abonnes.lemonde.fr/idees/chronique/2011/02/13/industrie-du-medicament-les-lanceurs-d-alerte-officiels-baillonnes_1478466_3232.html

     

 

     

    Dimanche 27 février 2011

    Michel LANGINIEUX  

    14 ans de luttes contre le "système"qui protège les pollueurs 

     

     amiante

    QUELQUES DÉMARCHES EFFECTUÉES PAR LE LANCEUR D'ALERTE MICHEL LANGINIEUX

    Sur les 14 ans de lutte de Michel Langinieux

    ci-dessous, derrière chaque date, les démarches les plus révélatrices

    de la difficulté qu'il y a à obtenir JUSTICE non pas pour soi mais

    POUR LA SANTÉ PUBLIQUE ! 

    2004     2008     2010     2011

    cliquez sur les dates pour accéder aux documents

    ***

    "SOYONS TOUS DES "LANCEURS D'ALERTE"

    Michel Langinieux se qualifie lui-même comme un "lanceur d'alerte" et le moins qu'on puisse dire est qu'il ne ménage ni son temps, ni sa peine, ni sa santé pour tirer frénétiquement et jusqu'à l'épuisement la sonnette d'alerte du scandale de l'amiante et ce non pas depuis quelques jours ou quelques mois mais depuis 14 ans !

    J'ai déjà publié quelques écrits de Michel Langinieux. C'est tout naturellement que je publie les derniers, en format PDF, dont la longueur rebutera certains (tant pis pour eux !) mais qui éclairera ou confortera ceux qui ont assez d'intérêt pour leur survie et celle de leur famille. Ceux-là porteront à ces documents tout l'intérêt qu'ils méritent et peut-être ... peut-être ... que le courage, la ténacité et le pouvoir d'indignation de Michel Langinieux (qui n'a pas attendu la mode d'un livre lui ça fait 14 qu'il s'indigne !) leur donnera l'envie de devenir, eux aussi, des LANCEURS D'ALERTE fusse, simplement, en diffusant le détail des combats que d'autres mènent, souvent seuls, pour le plus grand nombre !

    Ce qui tient le plus à coeur à Michel Langinieux, c'est le scandale toujours d'actualité de l'amiante et des responsables politiques ou de la magistrature qui ne font rien pour stopper le massacre et laissent impunis les coupables de ces tueries silencieuses dont nous sommes TOUS victimes !

    L'amiante, qui a tué et continue de tuer lentement, dans le cas précis que dénonce Michel Langinieux ce sont les étudiants de la Sorbonne qui sont infectés sournoisement chaque jour, dans l'indifférence du Gouvernement et des Ministres pourtant maintes fois alertés, interpellés, re-re-interpellés en vain au cours de ces dernières 14 années ! D'un gouvernement à l'autre, d'un ministre à l'autre la réponse est la même : laxisme, mépris, fins de non recevoir, silence ...

    Mais si nous agissons aux côtés de Michel Langinieux et de tous ceux qui comme lui dénoncent l'insupportable, ce silence deviendra tellement assourdissant que le grand public finira par l'entendre et que les pollueurs, comme les responsables à cols blancs ou en robes qui n'ont rien fait pour les arrêter, seront punis à la hauteur des crimes perpétrés ! 

    L'actualité dénonce chaque jour la déliquescence des rapaces politiques qui, par leurs actes, déshonorent la France ce qui est certes grave, mais beaucoup moins que la complaisance meurtrière dont ils font preuve à l'égard de ceux qui nous tuent et hypothèquent la Vie sur la planète par cupidité.

     

 

     

    Mercredi 1e juin 2011

     « Langinieux Michel se bat depuis 1997 pour que Justice soit rendue »

    http://frenchycomics.free.fr/amiante/couverture-amiante.jpg

     

    Michel Langinieux est un homme épuisé, à bout de nerfs et à bout d'espérance, mais pourtant toujours debout face à une justice sourde, aveugle et criminelle.

    Ne parlons pas de nos valeureuses sources d'informations, dixit les médias "officiels", toujours courageux  pour enfoncer les portes ouvertes et faire plaisir au Pouvoir en place, mais pusillanimes jusqu'à la lâcheté dès qu'il s'agit de jeter sur la place publique ce qui va déplaire à l'intelligentsia qui nous gouverne (gauche droite peu importe !).

    Quel média "officiel" a dénoncé l'affaire de l'amiante à l'Université de Censier la Sorbonne Nouvelle à Paris ?

    Pourtant, cette affaire a débuté en 1997, quand Michel Langinieux et d'autres avec lui ont découverts et immédiatement dénoncés que les bâtiments de l'université regorgeaient d'amiante sans qu'apparemment aucun responsable ne se charge de le retirer.

    Durant des années, tous ceux qui évoluaient, à divers titres, dans cette université ont été mis en danger par le laxisme impardonnable des divers services de l'Etat habilités à surveiller, alerter et réparer ce qui peut nuire à la santé publique.

    Pire ! A aucun moment les décisions majeures n'ont été prises, comme celles d'assainir les lieux ou d'enquêter afin de découvrir si certaines pathologies de personnes malades ayant travaillées ou travaillant à l'université étaient liées à cette amiante invisible et meurtrière, présente des années durant dans les murs et les plafonds des bâtiments, des amphi', des couloirs, des bureaux ... PARTOUT !

    Dans ce fichier pdf vous pourrez découvrir les conclusions des 14 ans de lutte du "pot-de-terre" Michel Langinieux, contre le "pot-de-fer la magistrature française et jugerez, en votre âme et conscience, où est la Justice dans cette lamentable et meurtrière affaire. Lire ici ...

    Ci-dessous un commentaire qui n'est pas de moi

    mais me paraît très intéressant à publier 

    Langinieux, en dépit de toutes les villénies qui lui furent faites par Censier la Sorbonne Nouvelle, Fac amiantée qui ment depuis 47 ans (avril 1964). [Voir site <langinieux.ouvaton.org> "Premières preuves"] : quand le Préfet de la Seine s'insurge contre la construction du Centre Censier sans son autorisation, en toute illégalité. Pour enfin floquer ce centre de 6 km et demi de poutres de fer d'amiante, reconnu cancérigène depuis déjà 15 ans. La non-application constante de la réglementation, les malades, les morts, jamais mentionnés par l'administration, l'ont poussé à dénoncer ce "crime sociétal" devant le monde entier.

    Langinieux était à la Fac durant les travaux lourds de 1993/1994 de surélévation de la bibliothèque qui ont contaminé le quartier et Paris de pics de fibres d'amiante par milliards, sans aucune précaution, sous les yeux de la Préfecture et de la Commission de sécurité. Mentir et empoisonner sont les deux mamelles de Censier la Sorbonne qui veut, maintenant, enlever une parcelle de terrain au Museum d'Histoire naturelle pour construire une nouvelle cage à lapins après la cage à poisons.

    Des centaines de milliers d'étudiants venant du monde entier sont passés par Censier, sans que rien, jamais, ne leur soit dit des risques mortels de l'amiante. Les deux Chefs de service responsables assuraient constamment : "Il n'y a pas d'amiante à Censier". C'est le niveau mental et moral de cette fac Française.

     

     

 

     

    Mercredi 3 août 2011

    « Michel Langinieux, la voix qui crie dans le désert ... à lire et à méditer »

    Quand la marmite "bout, baisse le feu", O, Frédédic de Nizza, de Savoie.

    Il vaut mieux la préparer soi-même, cette bouillabaisse.

    On la trouve sur le Vieux Port de Marseille, la Corniche, au Port de Nice, à Antibes. Miam.

     

    Rascasses, grondins, girelles, congres, beaudroie, roujets. Tu ajoutes la rouille, ail et piment rouge pilés dans un mortier avec mie de pain, deux cuillers d'huile d'olive, un peu de bouillon.

    Je te dis pas.

     

    Plus simple : l'aïgo-sau - eau et sel - poissons bouillis.

    Daurades, loups et sars, lottes, quelques pommes de terre en tranche, oignons, tomate émincée, feuille de laurier, brin de fenouil, zeste d'orange, céleri, persil.

     

    Pendant ce temps, les Roms passent des bidonvilles à la rue : les traques de Marseille-Nord, les rafles, les déportations.

    La réalité bling-bling. Epuisement dû aux expulsions.

    Les Tziganes résistent à la mathématique forcenée d'un des leurs qui se prend pour le Grand Vizir sous pathologie foireuse.

     

    "On vide et vit des poubelles, jusqu'à 30 euros par jour" dit l'autre.

    Une véritable intention de nuire s'instaure chez les pouvoirs publics à accents chantants.

    Acharnés. Niveau médical du Darfour, du Soudan. Intoxication par lait périmé.

    Vivants dans les décharges au pays des lumières, du Mistral et du sang contaminé au soleil de Provence.

     

    Gaudin et le Préfet jouent les sourds-dingues dans leurs coquillages, recroquevissés.

    Tout devient Rascasses pour eux.

    Ils ont perdus le sens des choses, dans leurs flonflons qui puent du machabée.

     

    Bertella-Geffroy, Permier juge, rencontrée il y a 15 jours, me prévient "de mal en pris". "Tout s'écroule" ...

    Elle épingle "très éruptive", plusieurs anciens cadres dirigeants des hôpitaux parisiens, non prévoyants pour le désamiantage de leurs locaux :"Plusieurs dizaines de salariés atteints". L'hôpital "se fout de la santé publique", nous apprend le Canard du 27/7/11. Pendant que le "Parisien" du 20/7/11 les placarde ouvertement. Cela se change rien. Tous ont l'impunité, font semblant et dégustent leurs bouillabaisse rouillée de morts d'hommes : homicide avec intention de poursuivre, homicide volontariste, homicide et Cie. Persévérance dans l'homicide. Régal. Encore.

    Gargarismes.

    Battre son plein, ne baisser ni les bras ni son feu : en avant toute, par centaines de milliers de morts.

    Un nectar. Encore ! À petit feu. Au pays des droits de l'homme.

    Les visages hagards des petits qui crèvent de faim en Somalie, leurs hurlements de désespoir pendant que Sarkozy roucoule et coule en douce son dindonnage apaisant de sommeil profond.

    Les cadavres des enfants saccagés par les frappes de l'OTAN (reportage de Michel Collon sur la Lybie) .

    La ratatouille agencée des forces de la mort et du fric.

     

    Dois-je dire autre chose ? Bienvenu sur terre.

    Je peux parler du vide.

    Ils ne pourront jamais l'atteindre. Ils ne peuvent tuer que le "quelque chose". Le rien,

    ils n'y comprennent que couic. Le Rien leur échappe.

    Raison pour laquelle je les emmerde profondément.

    De toute la force de ma transparence.

     

    Michel Langinieux

     

 

     

    13 novembre 2012

    Lettre de Michel Langinieux à la Juge Marie-Odile Bertella-Geffroy

    Michel Langinieux a consacré sa vie à la lutte contre l’amiante. La mise en examen pour « homicides involontaires » de Martine Aubry lire... est pour lui une victoire personnelle, la preuve que son travail, son acharnement, sa ténacité à jeter dans la lumière ce que des politiciens sans scrupules voulaient cacher commence à porter ses fruits. Les coupables vont payer et la Justice semble ne vouloir en oublier aucun, si puissant soit-il ou ...soit-elle ! Michel Langinieux n’a jamais lâché prise tout au long des interminables années parsemées de souffrances, d’humiliations, de menaces et de harcèlements de toutes sortes dont le seul but était de le décourager, l’effrayer, l’user jusqu’à ce qu’il rende les armes, mais les armes, Michel ne les a JAMAIS déposées ! Aujourd’hui, car la victoire à un prix, Michel Langinieux est malade, il paye dans sa chair les conséquences de tant de rudes batailles contre le Pouvoir, l’Etablishment, l’hypocrisie et la cupidité de ceux qui abandonnent au cynisme d’industriels sans scrupules les citoyens qu’ils devraient protéger. Voici la lettre que cet homme hors du commun a écris à la Juge Marie-Odile Bertella-Geffroy qui vient de mettre Martine Aubry en examen :

    Marie-Odile Bertella-Geffroy

    Madame le Juge, 

    Votre action du mardi 6 novembre 2012 est, nul doute, ce qui va le plus aider Censier la Sorbonne étudiante et citoyenne, face à l'entreprise de destruction systématique mensongère officielle que cette Université confronte dans ses murs depuis juillet 1996. Destruction de responsables qui manquent à leurs obligations. 

    Pour la première fois en 120 ans, un ministre se voit mis en examen sur une horreur soigneusement entretenue en France par l'immobilisme que l'on sait. La loi de juin 1893 contre "les poussières industrielles", en d'autres termes : "L'Etat se doit de protéger", commence, du coup, à être respectée et même lue : c'est dire ! 

    Quand à la directive européenne de 1983, cent ans plus tard, à l'évidence nos ministres s'en moquent.

    Certains syndicats et associations de défense des victimes de l'amiante, des personnages comme Michel Parigot, François Desriaux, et autres Harlem Désir ou politiques dangereux pour la vie humaine, se sont émus de cette première concernant un ministre responsable. Or, cette première souligne grands nombres de ces experts "en amiante" comme en non-assistance à personne en danger. Aucun de ces personnages n'a jamais ouvert la bouche en ce qui concerne la mort à Censier la Sorbonne Nouvelle, bien que tous parfaitement au courant depuis 1997. Leurs jeux du monde pratiqués dans une mentalité faussement fonctionnariste, incivique, plus néfaste encore que la non-application de la réglementation et du droit, en disent long sur un génocide autorisé pendant plus d'un siècle avec le goût amer du secret pathologique.

    Les "homicides involontaires" sous l'éclairage du temps, sont, de fait, une persistance dans l'homicide volontariste due à l'incurie des pouvoirs publics. Pis : des homicides avec intention de poursuivre.

    Voilà, dès lors, une véritable gifle de vérité envoyée à un pays hycocrite qui entretient sciemment un crime sociétal, l'air de rien. Tout le monde se tient ICI, à la fois d'accord et dedans. Avec des morts d'hommes sur grande échelle et une servilité acceptée.

    Votre action change la donne. Que cette percée soit reçue imperceptiblement ou en son immensité, la justice tranche enfin. Les victimes qui atteignent largement le demi-million (passé et futur) depuis plus d'un siècle, lancent leur MERCI salubre.

    Jusqu'à présent, en effet, dans ce pays de sang contaminé nous n'avions eu droit qu'à un autisme étatique totalitaire verrouillé, imposé. À une féodalité barbare. Une surdité crasse. Ce qui s'applique quoi.

    Une clameur infinie se fait entendre face à l'indifférence administrative, celle de nos morts qui hurlent plus fort que le silence assourdissant imposé par les élites. Nos malades et les victimes collatérales sauront vous reconnaître d'emblée, ainsi que la conscience qui vous anime. Vous tenez tête devant des hordes de faux derches tous crins.

    Si bien que tout change dans mon combat de défense de la vie humaine : la possibilité pour tous de gagner plutôt que de perdre comme il se fait d'habitude ICI, se fait jour. De gagner le droit d'être citoyen à part entière, plutôt que de survivre en serfs d'un système éhonté qui entretient le faire semblant et le lucre par excellence.

    Je ne saurais jamais assez vous remercier.

    Avec mes respects citoyens,

    Michel Langinieux

     

 

     

    13 février 2013

      Tant que le scandale de l'amiante perdurera, tant que l'amiante continuera de tuer sournoisement, tant que les victimes de l'amiante ne seront pas décemment indemnisées, des voix s'élèveront pour dénoncer !

    Parmi ces voix celle de MICHEL LANGINIEUX, artiste au style échevelé, au mot précis, à la poèsie à fleur de mots, écorché jusqu'au sang par les injustices, inguérissable révolté, généreux jusqu'à la folie. Je vous recommande la lecture de sa lettre, adressée hier, mardi 12 février 2013, à Madame le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy car tout est dit et dénoncé.

    ***

    Madame le juge Marie-Odile Bertella-Geffroy

     

    Madame le Juge, 

    L'assassinat légal qui perdure ICI depuis 120 ans relatif à l'amiante, très précisément décrit par Madame Prada Bordenave, Maître des requêtes au Conseil d'Etat, le 3 mars 2004 placarde la : "Responsabilité de l'Etat pour carences fautives". Etat bien tenu, entretenu en "Haut Lieu" ; haut lieu souligné par Marc Trévidic, Laurent Lèguevac et vous-même, sous la mainmise des élites (et banquiers influents) de ce pays. Elle consiste essentiellement à : 

    1/ Ne pas bouger. 

    2/ Ne rien faire, sauf semblant. 

    Pour l'amiante : 

    A/ "Responsabilité de l'Etat employeur". 

    B/ "Responsabilité de l'Etat régalien", souligne le Conseil d'Etat. 

    Ce double constat placarde directement le ministre de l'Emploi et de la Solidarité, 

    suivi par une quarantaine d'autres ministres aussi suffisants qu'insuffisants. 

    [Maître Joissains-Massini à porté plainte contre 12 ministres, dont MM. DSK et Laurent Fabius, etc..; et moi-même contre 14 d'entre eux, dont Martine Aubry, Ségolène Royal, Jack Lang, Claude Allègre, etc.. plaintes adressées à la Cour de Justice de la République dont la Commission des requêtes couvrira ces 26 fonctionnaires, véritables institutions d'intouchables responsables]. 

    Une morgue totalitaire/cimentée prime à l'encontre de plus de 50 années de réelles expertises scientifiques ignorées/cadenassées sous une surdité tenace cause de centaines de milliers de malades et de morts en France. 

    Dès lors, une absence de police et de justice résultant automatiquement en incivisme sur ignorance. Plus que tout, indifférence saupoudrée d'incompétence. 

    L'ensemble de ce conservatisme immobile ne peut prendre place que sous un peuple soumis, incolore. Apathique. Au problème primordial : l'inexistance.

    Aucun drame de cette ampleur ne pourrait voir le jour dans un pays sain, concerné, créatif, éveillé. Un pays jeune.

    Or, déjà Diogène "cherchait un homme" sa lanterne à la main. 3000 ans plus tard, l'on cherche toujours, vu les rares officiels qui assument leurs responsabilités dans une société répétitive qui, sans cesse, redemande "du pain/des jeux/du plus/et jamais assez".

    Des ronflements puissants prédominent. Des "génies de la finance" aux comportements dangereux. Une récupération systématique par rapaces ou niais "aux ordres", ou sous intégrisme, établit son étau contre des millions de personnes ciblées : les consommateurs.

    Si le tube digestif sempiternellement persiste avec ses exigences, l'absentéisme [civique et moral, fort bien représenté par les personnels de Censier la Sorbonne Nouvelle], lui, prévaut, lardé d'omertà, pleutrerie, obéissance irréfléchie. Et morts d'homme : en exemple parfait, se laisser crever plutôt que d'ouvrir la bouche. Se laisser dévorer cru, plutôt que d'exister. Refuser d'accorder le DTA (dossier technique amiante) exigé par la loi : refus de l'actuelle présidente Marie-Christine LEMARDELEY. Préférer largement : l'homicide volontariste totalitaire.

    Le "chacun pour soi", le "moi je"/"moi d'abord et le reste, on s'en fout" font tache d'huile et s'imposent, boas constrictors ou couleuvres ordinaires. On avale malfrats cupides, inconscients, maires clientélistes, tricheries à l'ordinaire, présidents pitoyables et chefs de service tartuffiés. Présidents potiches, tout droit sortis d'un musée de cire.

    En ambiance générale, cette semaine seulement [sans radio ni TV], voici ce qui s'offre :

    . Sur le Canard, pêle-mêle :

    [Corruption dans le foot. Bernard Arnault : 6 milliards de perte pour le Trésor Public.

    Madame Lagarde, au bout du compte : 303 millions déversés sur Bernard Tapie. Agonie des

    juridictions de proximités. Crise de logement à la Guadeloupe, la directrice de la Semsam gagne plus d'un million d'euros par an entre St Martin et Basse-Terre. Le Crédit Agricole annonce ses pertes [massives] :

    6 milliards d'euros. 137 000 amendements déposés par l'UMP sur le "mariage pour tous". Personne ne parle du "mariage pour personne" chez nos forçats enchaînés ... [Jamais assez de droits, de devoirs, de règles et de sacrements, pour se lier davantage au pays de la liberté]. Sévère mise en demeure au groupe Areva qui exploite des déchets radioactifs de La Hague : l'état de 60 gisements "Cocotte-Minute"... le désastre Fukushima n'aura pas suffit. Renault dans la dèche. Opérations de communication de la SNCF : 210 millions depuis 2007. Propositions de loi contre les ondes électromagnétiques : via la poubelle. "Plus on parle de principe de précaution, moins on l'applique". Assistance publique véritablement sous anesthésie : Maternités Hôtel-Dieu, Saint-Antoine, St Vincent-de-Paul : fermées. Les lanceurs d'alerte, décimés, ne font pas long feu et se voient ciblés, en première ligne : seul projet de loi Vert dans les tuyaux ... Pas un mot sur AMISOL !!! La vie humaine n'a pas trop d'importance chez les mentalités affairées de la presse]

    Sans police ni justice on va où ?

    . Quelques lignes dans le Monde, pêle-mêle : sur Amisol, "Non lieu dans une affaire d'amiante"."Empoisonnement et homicide volontaire" auraient dû réveiller. Non pas. [Plus fort, dans ce cas précis : l'immobilisme exonère l'immobilisme !!! Qui le voit ? Plus fort encore : les non-lieu au pénal sont irréguliers, tous, car incomplets [art 183, 507, 508 C.p.p.]. Qui écoute ? Ce tour de passe passe passé sous silence, je le dénonce depuis 10 ans !!! Plus hypocrite/engoncé que la Cour d'appel de Paris, serait difficile. Si, la Cassation. Etc.] ... "Les multinationales fuient l'impôt ... partout". "Le démantèlement des navires reste un marché "sale"". "La mondialisation se rit des frontières". "Au Bangladesh, la mer monte inexorablement".

    "La peur de rendre des comptes". "Des produits toxiques (lasagnes) vendus par de respectables banques à des clients ignorant tout de leur dangerosité". "Pesticides : pitié pour les abeilles !" "Eva Joly : Le poids des lobbys demeure impressionnants". "Le lent naufrage de la Protection judiciaire de la jeunesse". "Jacques Degrandi a été jugé par contumace, mercredi 6 février, par la formation disciplinaire du Conseil Supérieur de la Magistrature". "Ce haut magistrat ... était indirectement à l'origine de poursuites contre Patrick Ramaël, un juge d'instruction qui déplaisait en haut lieu ..."Le président de l'union syndicale des magistrats (USM majoritaire) s'est attardé sur "instrumentalisation du disciplinaire pour des raisons politiques" ...

    Ce qui nous ramène au trio "Jean-Claude Marin/Martine Bernard/Jacques Degrandi", cause de centaines de milliers de morts par amiante depuis des lustres, en bonne foi/bureaucratique/indifférente/aux ordres/sous impunité (suivis par Cotte, Magendie, et la clique chapelet).

    ... S'imaginer que l'être humain va se laisser entièrement asservir [bien qu'il en prenne le chemin], par une horde de faux derches aux ordres, n'est que leurre. Horde déterminée à exterminer autrui, façon nazie, ne sachant rien faire d'autre façons mante religieuse, mécanique. "Nous sommes nés là-dedans" (Marivaux).

    S'imaginer que je vais me taire devant pareille concupiscence acharnée en sa morgue persistante de crime sociétal, est cracher devant le sacré de la vie. Attirer la colère divine, le feu de Zeus.

    L'intelligence même de la vie nous délivre des cafards et des crabes. Des aspics et autres tarentules.

    La vie se dégage des empereurs/dictateurs/détraqueurs de temps, de cervaux, d'organismes, d'enfants, de sens. Elle passe au travers comme un grand vent.

    De ces maculés de la magouille, il ne restera rien. Les passionnés du veau d'or s'écroulent immanquablement. "Attendons la fin" ... de la campagne de Russie, de celle du Mali. Du froid Sibérien. Du sirocco Saharien.

    Les femmes nous sauvent, "sentinelles de l'invisible", disait un pape Polonais.

    Trois noms de femmes protègent ce travail de salubrité. Dont le vôtre.

    Les mères seront toujours plus fortes que les pires gougnafiers. Or, dieu sait si elles sont poursuivies, haïes par les Détraqueurs officiels (ou Dementors de J. K. Rowling).

    ENVOI :

    De par la force de ces femmes sentinelles.

    De par 17 années de travail personnel sur la stupidité humaine particulièrement masculine/macho/paternaliste, et "l'enseignement supérieur" tel qu'il se pratique ICI.

    Face à l'Europe (CE) et au Tribunal Pénal International (TPI).

    Je dénonce et implique les élites de la France, son exécutif, son ministère de la justice, tous Gardes des sceaux confondus, et l'incurie de pouvoirs publics pour :

    1/ HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POUSUIVRE.

    2/ PERSEVERANCE DANS L'HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE.

    Concernant le CRIME SOCIETAL de l'amiante, ses centaines de milliers de victimes passées et à venir sur 120 années, y ajoutant 50 ans de latence.

    . Que ma parole fasse Loi dans l'Univers causal.

    . Que justice s'en suive nationalement, internationalement.

    . Justice divine autant qu'humaine.

    . Que la force de votre apport soit reconnue.

    J'ai dit.

    Michel Langinieux

     

 

 

     

    24 février 2013

    Michel LANGINIEUX écrit à Mme la Garde des Sceaux

    Michel Langinieux dit tout, dénonce tout,auprès des personnes en charge d’un pouvoir susceptible d’enclencher enfin une véritable Justice et donc une véritable punition envers tous ceux dont le laxisme ou la malhonnêteté ont contribué à ce qu’il est commun d’appeler « le scandale de l’amiante ». Un scandale qui à ce jour n’a guère fait de vague et PIRE, continue, puisque l’amiante fait toujours des victimes en certain lieux non-encore désamiantés, comme le dénonce inlassablement l’infatigable Michel Langinieux dans ses missives en forme de SOS.  

    Samedi 23 février Michel Langinieux écrit à Madame la Garde des Sceaux Christiane Taubira, pour lui communiquer ses différentes démarches. Reste à savoir si Mme Taubira donnera suite à ce courrier d’une importance vitale pour des centaines de milliers de gens, l’avenir nous le dira…

    Ci-dessous différents mails concernant les différentes démarches de Michel Langinieux

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : Marie-Odile Bertella-Geffroy <marie-odile.bertella-geffroy@justice.fr>
    Envoyé le : Samedi 23 février 2013 22h53
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

    Madame le Juge,  

    Dernier carat ! Ils ferment.

    Vous aurez ainsi ma lettre adressée à Mme Prada Bordenave.  

    M.L.  

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : "christiane.taubira@justice.gouv.fr" <christiane.taubira@justice.gouv.fr>
    Envoyé le : Samedi 23 février 2013 22h51
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

    Christiane Taubira

    Madame la Garde des Sceaux,

    En urgence pour votre autorité, ce mail joint, que je désirais vous faire parvenir avant la date du 22 février, si importante pour les victimes de l'amiante.

    Mon intention se réalise, puisque j'apprends que vous étiez partie en Guyanne.

    Je suis donc dans les temps, avant votre décision cernant ce sujet brûlant.

    Voici ma contribution :

    Il s'agit, avant tout, de trois femmes admirables et expertes qui ont osé tenir debout devant un "Etat responsable de ses carences fautives". Or, cet Etat, malgré le jugement sévère du Conseil d'Etat le 3 mars 2004 à son égard, persiste à bafouer la loi, faire fi de la réglementation, dans son hypocrisie coutumière : "Ce vice à la mode qui passe pour vertu" [Molière].

    L'Etat "qui se doit de protéger" depuis la loi du 12 juin 1893 "sur l'hygiène et la sécurité des travailleurs", fait exactement le contraire. Ré-affirmant sa volonté dans l'introduction de la Constitution en 1946, il persite dans le crime sociétal, les meurtres autorisés, sous une mainmise hors-la-loi qui le caractérise pleinement.

    Madame le Juge d'instruction Bertella-Geffroy qui représente, seule, des centaines de milliers de victimes, tient par la force de courage face à une indifférence placardée (autant que totalitaire) qui souligne le conditionnement de ce pays : faire semblant/ne pas bouger.

    Si le Procureur Guariniello de Turin travaille avec 30 juges pour régulariser Eternit, faits et méfaits, Madame le juge se voit, ligotée dans son travail d'instruction par une horde de niais sans conscience civique. Pis : on la fait travailler pour rien. Après des années d'instruction sur X, Y, Z, sujets urgents, la chambre de l'instruction oppose refus et non-lieu, en automate. Or, tous les non-lieu du pôle santé sont irréguliers car incomplets (y compris celui de Mlle Caron sur le sang contaminé) : ils n'ont pas les notifications requises [art. C.p.p. 183, et 507 508].

    Ce droit, respecté dans l'administratif, ne l'est pas au pénal. Je le souligne depuis 10 ans, en vain, devant une surdité verrouillée bien de chez nous.

    Notre pays, Madame le Ministre de la Justice a besoin impérieux de ce Juge.

    De toute façon j'ai porté l'affaire devant le CPI et la CE [langinieux.ouvaton.org], indispensable action salubre. Les associations ICI n'ont pas encore réalisé qu'elles sont européennes!!!

    Madame Prada Bordenave, Maître des requêtes au Conseil d'Etat, a su mettre les points sur les "i" en ce qui concerne les fautes de l'Etat [Prada Bordenave amiante],soulignant le facteur temps qui implique L'HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE. Ainsi que la PERSEVERANCE DANS CET HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE.

    Le pays lui doit clarté et lucidité. Malheureusement ICI, rien ne suit.

    Madame Joissains Masini, avocate battante et lionne, par trois fois sut gagner contre l'Etat responsable : sang contaminé et amiante [Joissains Masini amiante]. Elle a, aussi, porté plainte à la Cour de justice de la République contre 12 ministres, dont DSK et Fabius. Et m'a donné la force de porter plainte vers la même Cour contre 14 d'entre-eux, dont Martine Aubry, Ségolène Royal, Claude Allègre, Jack Lang, etc. La commission des requêtes a couvert tout le monde : 26 ministres. OUI !!!

    Ecrire à ces trois symboles d'éthique réelle, de droit, de valeurs morales, me permet de décrire tout ce que j'ai pu observer à Censier la Sorbonne Nouvelle depuis presque 17 ans [juillet 96]. Ces trois lettres jointes sont pour vous.

    On tue en Fac en France, Madame Taubira, et personne ne bouge.

    Temps de le faire savoir. Temps d'avertir des centaines de milliers de parents d'étudiants du monde entier soumis à des expositions passives depuis 49 ans :

    (Jussieu et Censier).

    Je vous remercie pour votre attention.

    Je compte sur votre autorité pour agir avec l'esprit international qui devient maintenant nécessité absolue, et pour la défense du droit face à une pourristrature qui n'ose pas dire son nom.

    Avec mes respects citoyens,

    Michel Langinieux

     

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : "presse@biomedecine.fr" <presse@biomedecine.fr>
    Envoyé le : Jeudi 21 février 2013 22h22
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

    Emmanuelle Prada Bordenave

    À Madame Prada Bordenave

    Madame la Directrice de l'Agence de la Biomédecine,

    Dieu sait si votre travail du 3 mars 2004 au Conseil d'Etat m'a inspiré et soutenu.

    Clair. Précis. Direct. Vos réponses, également, publiées sur le Rapport parlementaire 2005/2006 concernant l'affaire de l'amiante en France.

    Devant une brutalité hors-la-loi soutenue, des carences fautives  profusément poursuivies, décider de parer au plus pressé, fit loi pendant 17 années en moi.

    Ce fut là ma devise. Au risque d'y perdre la santé. C'est fait.

    Voici où j'en suis aujourd'hui : je me dois de ré-écrire à Madame Viviane Reding, la Commissaire Européenne à la Justice, après le limogeage du Commissaire à la Santé, John Dalli.

    Tout s'enclenche en ce moment avec le départ possible de Madame Bertella Geffroy. Je souhaite que l'équilibre soit rétabli. Elle représente notre dernier phare. Mes courriers me permettent de dire un maximum, ce qui doit l'être.

    La nouvelle médicale la plus importante fut, pour moi, celle publiée sur le livre de  Marie Grosman et Roger Lenglet : "Menace sur nos neurones". Amiante : page 216. "... la capacité des fibres les plus fines de voyager vers d'autres organes comme le larynx, l'intestin, les ovaires, les reins, le coeur, le foie, la rate, les glandes surrénales, le pancréas, la prostate, la thyroïde et ... le cerveau" qui nous conduit directement à la  moelle épinière dont notre concierge à Censier, André Betton, est mort en souffrances atroces (l'intendant/ACMO hygiène et sécurité, en charge, faisait déposer des sacs remplis de déchets d'amiante devant les fenêtres des concierges, en août 1998 lors d'un désamiantage raté à 480 fibres par litres d'air, puis l'été 1999 pendant les travaux du Ministère sur les gaines techniques ...).

    J'avais toujours été renseigné en direct par Marcel Suszwalak de Dunkerque, invalide à 80 %, de par ses 5.000 dockers atteints montrant des signes spécifiques et multiples.

    Or, j'ignorais tout de la thyroïde et para thyroïde dont nous avons de nombreux cas venant du Labo langues au 5ème étage où montaient deux ascenseurs infectés de fibres pendant trente ans, saupoudrées dans le couloir et salles de classe ... jusqu'au 2 juin 1995 : 30 f/l d'air.

    Pour décrire ce qui s'est passé à Censier Paris-III la Sorbonne Nouvelle jusqu'au 480 f/l d'air, il nous faudrait un génie : Shakespeare. J'ai essayé de mon mieux, mais j'en suis loin. Céline, aussi, aurait fait bon poids bonne mesure.

    Mes respects à vous, Madame la Directrice, avec les remerciements de tout un pays envahi [de faux derches et poussières d'amiante], reconnaissant pour lors, la vérité constatée, établie, de la  responsabilité d'un Etat automate qui sempiternellement persiste, comme un conditionnement vrillé dans les gènes.

    Michel Langinieux

     

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : Marie-Odile Bertella-Geffroy <marie-odile.bertella-geffroy@justice.fr>
    Envoyé le : Jeudi 21 février 2013 21h12
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

    Marie-Odile Bertella-Geffroy

    Je vous dois cette lettre adressée à Madame le Maire d'Aix-en-Provence, Maryse Joissains Masini, suivant les deux informations indispensables que je vous ai fait parvenir en novembre 2012 et février 2013 (sur Google, à votre nom).

    Nous attendons les réponses de Mme Taubira et du Conseil d'Etat. Inutile de vous dire que nous nous tenons, nous, les concernés, les pouces, ainsi qu'à vous. Vital/primordial. Dernier quartier. Dernier rempart pour l'éthique de ce pays.

    Je reste abasourdi que l'Andeva qui est allée rencontrer Madame la Garde des Sceaux, une heure et demie, pour cette question d'urgence et d'amiante [bravo], nous dit Internet, s'insurgeait, il y a trois mois (avec Harlem Désir et Michel Parigot de Jussieu) "contre la mise en examen de Martine Aubry", premier ministre épinglé en 120 ans ! [avec 40/50/60 autres qui font la queue : DSK, Fabius, Royal, Allègre, Lang, Kouchner, Fillon ...) etc. Un chapelet.

    Cette même Andeva n'a jamais dit un mot sur les malades et les morts de Censier la Sorbonne en 15 ans !!! Punaise ! À quoi servent-ils donc : capables de non-assistance ? Certes. Capables et coupables d'idiosyncraties maladives, ces hauts experts.

    Etonnamment : depuis 1996, premières plaintes au pénal, cette  Andeva n'a pas eu l'idée de s'adresser à la CE sur ces 17 années, devant le ciment armé d'un Etat qui ne veut pas bouger [Pas d'argent pour réparer, ni prévenir ICI : on ne vous donnera pas 30 juges ICI !!! Juste seulement pour bombarder des pollulations civiles en Lybie, au Mali, en Afaganisthan, chez eux en plus. Mais chez NOUS : NADA. Qu'ils crèvent ! par centaines de milliers. Voilà la fraternité. Voilà l'égalité].

    Les syndicalistes/fonctionnaires de l'Andeva sont européens tout de même. Ils ne voyagent vraiment pas trop ... Ni ne leur vient l'idée de s'adresser au CPI : pourtant, depuis 2001, il s'en est passé des horreurs verrouillées par nos élites de base bon chic bon genre !!!!

    Cette  Andeva (comme ce petit pays, si plein de lui-même) marche sur la tête !!!!

    On n'est pas aidé, ICI, Madame le Juge.

    Sans police ni justice, on patine rudement.

    Tout de bon, pour demain.

    Que vérité et action (interdite ICI) se fassent jour.

    ENFIN !

    Michel Langinieux

     

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : "GranetC@mairie-aixenprovence.fr" <GranetC@mairie-aixenprovence.fr>
    Envoyé le : Jeudi 21 février 2013 19h41
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

    Maryse Joissains Masini


    Madame le Maire,

    Chère Madame,

    Impossible d'avoir une justice. Impossible d'avoir ICI, l'application de la règlementation ni celle du droit. Vous trouverez, en bas de page, ma deuxième lettre au juge d'instruction Mme Bertella-Geffroy (sur trois mois). La précédente se trouve publiée sur les moteurs de recherche "Google" à son nom [N° 9]. Egalement, son interview de 12 minutes (vidéo et radio) sur France Inter : carte sur table.

    "On" veut se débarrasser de cette Juge essentielle à notre époque. "On" l'empêche de travailler. Mieux : "On" la fait  travailler pour rien. Après des années d'instruction sur le dossier urgentissime de l'amiante et ses centaines de milliers de morts sur 120 ans, apparaissent toujours un ou une nunuche de la chambre de l'instruction (ou autre)pour dire "NIET" : NON-LIEU révélateur d'une France franchouillarde.

    Cette fois-ci, il s'agit de  Martine Bernard, servile fonctionnaire au service de nos élites et meurtres autorisés. Ces véritables "elfes de maison" [voir : Rowling] ou mieux : elfes d'Etat, sous l'étau d'obéissance totale : donner des ordres et en recevoir, sévissent en incrustant leur suffisance insuffisante.

    Il devient nécessaire de montrer au monde entier ces irréveillables bureaucrates bien de chez nous, fabriqués sur place pour un assassinat légal !!!!

    Cliquez sur Google : "Michèle Vaubaillon amiante", "Joëlle Lackmann amiante","Marie-Christine Lemardeley amiante", "Anne Willie amiante", "Marie-Hélène Gibert amiante", "Michèle Colin amiante", "Françoise Chiezal amiante", "Emmanuelle Ducos amiante". "Mme Poirier d'Ange d'Orsay amiante", "Corinne Lepage amiante Censier", "Françoise Noblins-Blanc amiante", "Elise Corouge amiante", "Hélène Gisserot amiante Censier", "Edith Boizette amiante Censier", "Fabienne Pous amiante Censier", "Françoise Neher amiante Censier", "Madame Mirabel amiante Censier", Madame Bosquet amiante Censier", "Béatrice Gille amiante Censier" ...

    La "HUPPE" du Moyen-Âge : "oiseau connu pour répandre ses saletés" (Robert), retrouve sa pleine expression moyenâgeuse caractéristique de "sale huppe" surmultipliée.

    Au service de l'argent, de l'incivisme, de l'amoralité [l'argent avant les gens, avant les enfants, d'un pays qui trucide depuis plus d'un siècle, au bas mot, un demi-million de personnes], ces serviteurs zélés d'un Etat irresponsable, récoltent leurs récompences : la légion d'honneur avec accolade sur les deux joues, et promotion.

    Le Premier Juge d'instruction Bertella Geffroy est encore en place quelques jours. Elle fait appel au Conseil d'Etat. Le 22 février, demain, elle recevra une réponse de Mme Taubira, Garde des Sceaux.

    Si rien ne bouge, des douzaines de milliers de personnes continueront à passer tranquillement de vie à trépas, nous apprend l'INSERM. 200 000 décès en dix ans [2010-2020].

    Pour un pays de pointe, le voilà à la pointe de son inexistence civique et de ses crimes.

    . Vous avez été la première avocate de France à gagner un procès sur l'affaire du sang contaminé, ainsi que celle de l'amiante, contre l'Etat.

    . Vous avez démontré que dès janvier 1984 les ministres connaissaient les risques du sida et son mode de contamination du sang : d'où le  crime d'empoisonnement.

    . Vous avez soutenu mon travail de salubrité pendant 13 ans face à l'amiante à Censier la Sorbonne imposé à ce centre construit sans permis et dans l'illégalité,malgré vos autres taches citoyennes.

    . Vous avez questionné le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche le 23 juin 2008, puis le 5 mai 2009 sur l'amiante à Censier Paris-III. Rien n'a suivi dans un contexte où rien n'avance en ce qui concerne le drame l'amiante et la défense de la vie humaine depuis 120 ans.

    La réponse de Ministère que vous avez reçue le 16 juin 2009 est illusoire : "L'Etat, conscient des dangers que peuvent encourir les étudiants et les personnels met tout en oeuvre pour mettre fin à cette situation". Elle ne fait que révéler les mêmes ronds-de-cuir qui, le 13 juin 1893 sur la "loi contre les poussières industrielles" déclaraient : "L'état se doit de protéger". À l'évidence, l'Etat fait exactement le contraire, oubliant de plus, les riverains.

    D'où ma plainte :

    "Contribution personnelle pour l'Europe". "Crime sociétal en France". À Viviane REDING, Madame la Commissaire Européenne à la Justice du  29 septembre 2010.

    Vous en avez reçu une copie immédiatement.

    L'affaire de "l'amiante en France" fut portée au Commissaire de la santé de la CE, le Maltais John Dalli, par Madame la Commissaire en charge des droits fondamentaux. Monsieur Dalli n'a rien accompli en deux ans et demi : ni levé le petit doigt, ni écrit un mot. Ce commissaire vient d'être vidé par  M. José Manuel Barroso. Il s'intéressait plus aux jeux du monde [comment obtenir 60 millions d'euros de la Société Swedish] qu'à un génocide qui perdure en France depuis plus d'un siècle qui n'entrait pas dans ses priorités égotisques.

    Dès lors : peut-on faire confiance au "sérieux" de l'Europe, aux pratiques du lobbying à Bruxelles, incluant dérives morales et haute finance, même devant la mort d'hommes par centaines de milliers ? Question primordiale pour la Commission Européenne.

    Faut-il reprendre l'affaire à zéro tous les cent ans ? L'Europe serait-elle aussi inerte et corrompue que la France? La vérité que diable !

    Madame Joissains-Masini : nous avons besoin de vous !

    La voie est maintenant ouverte. Pouvez-vous envoyer un mot DIRECT, comme vous savez le faire, à  Madame Reding (CE), et un à  Madame Fatou Bensouda (CPI, à partir de 2001). Que trois femmes, épouses et mères à notre époque, nous sortent de ce couvercle de plomb d'incivilités qui n'en finit pas de tuer, tricher, casser, salir, recommencer, radoter, cacher surtout, maladie franchouillarde extrême. Car le crime l'amiante, ses malades et ses morts, se basent sur un éternel mensonge "ce vice à la mode qui passe pour vertu".

    Soyez celle qui ICI, MAINTENANT, protège les écoliers, les collégiens, les lycéens, les étudiants, puisqu'à l'évidence, ni le Ministère de l'Education, ni celui du Travail [emploi et solidarité], ni celui de la Santé, n'y arrivent.

    Madame Pécresse vous a répondu à ce sujet : "Ma Chère Maryse". On croit rêver ... dans un salon de thé ! Cette ministre tout sourire ignore, à l'évidence, à QUI elle s'adresse. Elle n'en a pas la moindre idée. Elle ne défend pas, en effet, la vie et la santé de la jeunesse de ce pays, mais son image de marque. L'image de marque de son parti.

    Elle n'a jamais mis à genoux, par trois fois comme vous, un Etat irresponsable qu'elle sert impeccablement en carpette. Pis : en serpillère. Aucun parti politique n'a été capable d'agir en 120 ans. Les voilà pris, frits, dans dieu sait quelle gangue engluée d'inexistence redondante.

    Il nous faut une personne. Pas un parti. Vous en êtes une.

    Avec Madame Prada Bordenave [Cliquez Google, à son nom/amiante/Conseil d'Etat], vous aurez une deuxième personne. Même topo pour  Madame Bertella Geffroy [voir son nom sur Google].

    Que l'on sorte enfin du :

    NE PAS BOUGER/FAIRE SEMBLANT.

    Vous connaissez mon outrage face à l'immobilisme conservé d'un exécutif tenu par le veau d'or et ses sbires assoifés. Aussi,

    Vu : L'HOMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE.

    Vu : LA PERSEVERANCE DANS L'HOMMICIDE VOLONTARISTE AVEC INTENTION DE POURSUIVRE.

    Nous ne pouvons plus être "ni d'accord ni dedans". Ni roulés davantage dans la farine amiantée/argentée.

    Vous aurez contre vous tous les "patapons/conservateurs/ronrons" du royaume. Des hordes de niais ayant nié la vie. Les Gilles-de-Rais perpétuels (50 000 enfants disparaissent dans ce pays chaque année)[à voir en ce moment : la plainte contre "Lang, Hollande, Moscovici", recevable. Décrivant la mort d'une petite fille de 4 ans violée par Lang et ses copains]; et probablement aussi la classe moyenne : supérieure, inférieure, bourgeoise, fonctionnaire, asservie, récupérée, hautement surveillée par nos élites pièces de musées. Encastrées "façon Cour de Cassation du Palais de Justice de Paris.

    S'il y avait une démocratie, y aurait-il un demi-million d'évaporés dans ce pays ?

    Y aurait-il un siècle passé sans un procès au pénal (voir mission parlementaire) ?

    Y aurait-il des centaines de milliers d'étudiants du monde entier exposés passivement aux risques de mort pendant 49 ans, à Censier et Jussieu (risques sur une période de latence d'encore 40 ans) ?  Et que vont dire les parents ?

    Y aurait-il pareil je m'en foutisme effréné, inconscient, puéril et satanique ?

    L'ensemble serait-il publié sur Internet depuis 2005 [Politiquedevie.net : section amiante Dunkerque et Censier] devant tel immobilisme pétrifié ?

    S'il y avait une démocratie, m'aurait-il fallu, pendant 17 ans, poser 300 000 affiches, donner 200 000 tracts pour essayer de réveiller 93 magistrats, 30 ministres,2 chefs d'Etat, et l'absence d'une Education Nationale, en vain ?

    S'il y avait une démocratie, y aurait-il pareil crime sociétal ?

    Faudrait-il se battre comme des lions pour simplement reconnaître des faits criants ?

    N'est-ce pas la preuve même que nous sommes sous la dictature de "l'argent d'abord, l'argent avant, l'argent seul et sale".

    Pour la satisfaction de certains ?

    Devenez pour nous ce saumon qui remonte les pires rivières, les a-pic, les cataractes.

    La Citoyenne qui tourne le dos à la médiocrité des meurtres banalisés entretenus.

    Vous serez reconnue par le monde entier, car pour sauver ce pays, petits et grands, vous avez largué depuis plus de 15 ans, la pitoyable frime des faux semblants et leurs pourristratures.

    La Citoyenne à qui l'on dit : "Chapeau".

    Je vous remercie pour votre compassion/force/l'épée à la main.

    Michel Langinieux

    PS : Je ne suis pas "payé pour défendre la vie humaine" depuis juillet 1996.

    Cela m'est venu naturellement, vu les étudiants désinformés et le contexte de mort irréversible. Je ne suis au service de personne : entreprise ou Etat. Cie, loge, groupe, clan, tribu ou religion organisée.

    Je ne suis pas asservi, sauf sous la violence perverse imposée, d'une dictature qui n'ose donner son nom.

     

    -- Mail transféré -----
    De : Marguerite <marguerite.aroles66@free.fr>
    À : Undisclosed-Recipient@yahoo.com
    Envoyé le : Mercredi 13 février 2013 13h43
    Objet : Michel Langinieux écrit au juge Bertella-Geffroy

     

    "langinieux.ouvaton.org"

    "Langinieux Le Monde"

    "Amiante Censier"

    "Amiante Sorbonne Nouvelle"

    "Politiquedevie.net" [section amiante Dunkerque et Censier]

    "Pilori"

    "Echos des Montagnes"

    "Catalogne selon Margarida"

     

 

     

    8 mars 2013,

    À DIEU VAT ! par Michel Langinieux

    Toujours passionnant et courageux Michel Langinieux ! Infatigable indigné, de la race de ceux qui ne déposent jamais les armes et vont, contre vents et marées, dénoncer ce qui est pourri au royaume du fric!

    Michel Langinieux

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : Marie-Odile Bertella-Geffroy <marie-odile.bertella-geffroy@justice.fr>
    Envoyé le : Jeudi 7 mars 2013 17h25
    Objet : 28 février 2013 : Les victimes de l'amiante manifestent à PARIS  

    Madame le Juge,

    Les Athéniens vont-ils enfin s'atteindre ici ? OUI, avec femmes et mères dans l'arène, on y arrivera.

    Seulement, il y a "femmes", et ... femmes :

    . Dr. Catherine KORBA a défendu sa mission en véritable médecin de prévention. Elle a écrit aux ministres ALLÈGRE et KOUCHNER, au Président LEUTRAT de Censier, au président de CHS/Censier SARO, sur les chiffres, les dangers, la réglementation. Les gaines techniques étaient ouvertes devant tous, avec le mot d'ordre : "C'est rien". Ce médecin fut renvoyé de Censier et Jussieu (le Prof. RAIX cachait à Jussieu les mauvais chiffres des labos), pour avoir assumé son travail et préservé des vies. Cruel pays !

    [Voir Google : Catherine Korba amiante Censier].

    . Maître Anne WILLIE gagne des centaines de milliers d'euros pour entretenir la gabegie depuis 15 ans [Le premier avril 1998 ! Ce n'est pas une farce]: mentir, casser, tricher, mettre en danger carrément. Et pourquoi faire : cumuler des macchabées ? Elle a caché les mauvais chiffres d'août 1998 [480 f/l d'air], et le cri d'alarme de l'expert judicaire Marcel DELPORTE (le 23 novembre 1998 : voir "Google Marcel Delporte Censier"]. La citoyenne Willie s'est donc rendue complice d'empoisonnements de nature à tuer [voir Google : Anne Willie amiante Censier]. Niveau d'une "femme" possédée par le lucre ... à tout prix 

    .

    . Arlette LAGUILLER de Lutte Ouvrière fait publier deux articles dans son journal pour la défense des travailleurs et étudiants de la Fac Censier. Elle m'écrit, en outre, une lettre d'encouragements et de remerciements digne d'une vraie trotskiste sensible, attentive [Voir "Google Laguiller amiante Censier" : Forum H&N Régis Faguelin. Et lire son livre "Mon communisme" qui allie tendresse, délicatesse, et amas énormes d'infos].

    Sous un drame qui dépasse toutes les formes possibles de l'inhumain : féodalité, cruauté, barbarie niaise, apparaissent en France en 1950 [voir Google : Blandin Langinieux] trois héros, les frères BLANDIN avec leurs matériaux de substitution remplaçant l'amiante, moins chers. Ils remportent le marché. Ils auraient changé la face de la France et la face du monde. Seulement voilà, régnaient des officiels niais : les pouvoirs publics français font le choix de "l'utilisation contrôlée" de l'amiante, prouvant une fois encore que nos élites ne s'assument pas en génies de la comprennette (amiante sur place = 80 kg par personnes = un paquet !!!). Les ennuis continueront à pleuvoir pour cent ans maintenant, vu l'état des mentalités perdantes, à tous les niveaux, médicaux, sociaux, inciviques, meurtriers : Cocorico glorieux sur des milliards d'euros. Et que vive la médiocrité, égalité, fraternité !

    Car si le dossier de l'amiante fut un "révélateur permettant une réflexion de l'indemnisation des victimes" ("Rapports parlementaires"), il n'aura fait changer ni l'atavisme abâtardi, ni les mentalités encastrées si sûres d'elles-mêmes. 

    Le coût de la "réparation" serait - paraît-il - trop élevé : trois milliards d'euros. Et la mort d'hommes donc : cinquante milliards d'euros ? Un "système inégalitaire et aléatoire" écrit Michel LAROQUE dans les Rapports de l'Assemblée Nationale. 

    "L'histoire de l'amiante aura démontré la faillite générale du système de prévention des risques professionnels" [Rapports parlementaires, page 463, tome 1]. 

    Nécessaire gifle face à cette faillite civique autant que morale ! 

    Bien fait. 

    Car tout se fait ICI pour que rien ne soit fait. Nous faut-il compter sur un Raminagrobis jaune pour sortir de cette insuffisance si terriblement efficace ? 

    Les spécialistes officiels ce sont tus sur Censier la Sorbonne depuis février 1997, quand j'ai alerté un petit monde sans éthique : faut-il donner des noms : 

    François DESRIAUX, Michel PARIGOT, Marie-José VOISIN, Alain BOBLIO, Xavier BERTRAND (ministre), Claude GOT (sécurité sanitaire), Charles DUCROS (CRAMIF), Jean-Pierre RUBINSTEIN (CGT),auxquels on peut ajouter le nom de Jean LE GARREC (Rapports parlementaires), Philippe MASSONI (Préfet), Yves BERTRAND (R.G), Yves SINIGAGLIA (inspecteur du travail), Dr. Marie-Hélène GIBERT (médecin rectorat), Dr. Yves PLANTUREUX (Censier), Maître Corinne LEPAGE (désignée par le Bâtonnier sur Censier depuis 7 ans, sans lever le petit doigt : le tribunal administratif de Paris avec Joelle LACKMAN et Alain PERRIER n'étant pas celui de Marseille), BAN ABESTOS, Jean-Marie SCHLERET (observatoire national), Le Monde, le Canard enchaîné, Figaro, Libération, les journaux étudiants, Hervé KEMPF, etc. Jamais je ne l'aurais cru. 

    . Omertà totale au niveau des personnels de Censier Paris-III. Serviteurs serviles d'un Etat totalement irresponsable : pas un professeur n'a porté plainte. Pas UN érudit pour tendre la main à l'autre.  

    . Des centaines de noms des meilleurs "spécialistes" sur les Rapports parlementaires et ceux du Sénat adoptent un silence complet sur Censier. Absents à eux-mêmes, aux autres. Floqués dans leurs cérébralités et pensées discursives. Hauts techniciens sachant tout sur tout quand il n'y a personne autour de leurs tables rondes. Aucune victime n'a le droit de s'exprimer dans ces Rapports. Seuls nos spécialistes fossilisés. Ni femmes, ni enfants. Qu'ils crêvent. Puanteur de la morgue macho-paternaliste supérieure de la haute bassesse. 

    . Egalement, pour la magistrature : Eva JOLY dénonce JEAN-CLAUDE MARIN : "Le procureur est aux ordres". Et comment ! Ce même MARIN me répond, il y a 10 ans : "L'action publique est éteinte" !!?  

    Il l'ose, tout entier dans un état politique pétrifié. 

    Bruno COTTE, lui, s'écrie : "Toute la procédure est écrite" (sans aucun suivi).  

    Une farce. En Cassation. Plus rude que les poissons (ou les poisons) de maître Willié du premier avril 1998. 

    L'aspiration (avide) du pouvoir exécutif à contrôler la justice [sur 93 magistrats : quatre vingt treize] dépasse l'imagination du sans vergogne crapuleux.

    Néanmoins, les scientifiques de Jussieu ont averti l'opinion publique avec 70 années de retard ! Dieu merci. Sans eux, personne ne saurait dans ce silex silencieux de mise.

    Que ce soit à la date du 12 juin 1893 (Loi sur les poussières industrielles) : "L'Etat se doit de protéger" ou le préambule de la Constitution 1946 utilisant les mêmes termes, il s'en fout, l'Etat, et vogue la galère. Il fait exactement le contraire.

    Epinglé par l'Arrêt du 3 mars 2004 [Vi !] asséné par le Conseil d'Etat : qu'importe.

    Or, nous sortons juste des "cancers broncho pulmonaires et du colon", du "cancer de la plèvre" :

    en effet, les fibres les plus fines voyagent vers l'intestin, les ovaires, les reins,

    le coeur, la rate, les glandes surrénales, le pancréas, la prostate, la tyroïde et le cerveau. Puis vers la moelle épinière : pérénigration jusqu'à nos neurones.

    Notre concierge de Censier, André BETTON, est mort d'un cancer de la moelle épinière dans d'atroces souffrances. L'intendant DHOOGE en charge (agent ACMO hygiène et sécurité), faisait déposer les sacs de déchets d'amiante devant les fenêtres des concierges !!! Ce fonctionaire ignare avait tous les pouvoirs ... [Il faisait éteindre l'alarme avant les vols d'ordinateurs, pour la remettre ensuite. La police du 5e arrondissement sous la férule du Maire TIBERI, n'a jamais pu déceler en 15 ans, comment se passaient ces vols. TIBERI oblige ... Plus fort encore : La "police de précaution et de prévention" rue Santeuil, face à une des Facs les plus amiantées d'Europe, se tait, et fait arracher des milliers de tracts. Payée. Depuis 10 ans. Pauvre TIBERI qui n'en rougit pas, ça ne lui viendrait pas à l'idée.

    Pendant ces "fous-rires Gremlins" d'un Etat criminel, d'autres ras-de-marées

    surgirent : Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, autisme, neurones endommagés. Vous êtes la personne en charge la plus au courant. Vous devenez, dès lors, un danger ultime pour l'ensemble des faux derches et bourgeois du royaume.

    Vous comprenez pourquoi "ON" veut se débarasser de vous ?

    L'Etat veut continuer, bon gré mal gré, à ne pas changer, ne pas bouger. Mentir, casser, salir, tricher, tuer, cacher. Les affections neurodégénératives se préparent dans le ventre des mères ; les mamans toxiques s'ajoutent ; les agressions chimiques, physiques; les coctails neurotoxiques explosifs : aluminium dans l'eau, mercure dans la bouche, pesticides saupoudrées, particules ultra fines : "C'est pas vrai". "C'est rien". "Il n'y a pas d'amiante à Censier" hurlaient les chefs de service DHOOGE, CHIEZAL, ZIMMER. Ce dernier est maintenant touché. Et le président LEUTRAT [qui m'a fait interdire de Fac et d'études en janvier 99 !!!] lui, le "leutra-déri-déra", meurt d'un cancer. Ce prince des menteurs. Sordide.

    Chez Marianne. La putain.

    "ON" ne veut pas de vous, Madame le Juge, pas chez les ploucs. ICI, on veut des ploucs. La juge Auclair Rabinovich (ne signait que des "non-lieu" au pôle : Maître Teissonière la trouvait "sublime au pénal"... Vi !); et le juge Pascal GAND (qui ne sait pas répondre aux demandes d'actes pour le saturnisme chez moi avec deux morts sususpectes ... au pôle santé !) L'indifférence de ces juges maintenus au niveau d'école primaire, sont du type parfait, pile, attendu. Ce qu'il faut : aux ordres, jusqu'au bout. Soignés. Comme des bidets. Tout dans le vernis. Faut pas gratter : combien de décès sous leurs autorités ?

    Revenons au silence autour de Censier sous deux chefs d'Etat. Chirac. Sarkozy. Malgré toutes les preuves : le travail de la police judicaire. Les dénonciations du CCHS national (du ministère de l'Education Nationale) le 6 juillet et 17 décembre 1999, cernant le président Leutrat et les chefs de service. Les "SOS" du Dr. Korba et les miens. Les travaux du toxicologue Yves HUBERT et ceux de l'expert judiciaire Marcel DELPORTE : pas un son n'est sorti. Pas une question. Pas une action : mainmise étatique d'une pathologie grave qui tenaille. En dictature putéfriée.

    . Le 6 juillet 2005, l'Inspection générale des Finances [Vi !] représentée par Véronique HESPEL, pose une première question !? sur cette Fac amiantée profondément dégueulasse (elle avait vu les affiches)[Page 147, Tome 2 : 2884 "Rapports parlementaires"].

    Michel PARIGOT de toutes les réunions (c'est une "autorité"), au courant depuis 7 ans, ouvre alors sa bouche (il en a une) : "Il faut bien évidemment retirer l'amiante de Censier" ... "L'Absence de prise en compte des questions de sécurité par les responsables universitaires".

    Devant les Rapports de l'Assemblée nationale, Parigot fut bien obligé d'assumer, finalement, ses responsabilités civiques.

    Les centaines de milliers de parents du monde entier, envoyant leurs enfants étudiants dans ces lieux à risques ne l'ont pas réveillé. NON PAS. À l'évidence, la mise en danger n'est pas le problème de Michel Parigot, haut technicien du savoir cérébral, sec comme un sarment.

    . Le 16 février 2006 : deuxième question posée par Jean-Louis DEBRE, Président

    de l'Assemblée Nationale à deux ministres sur l'amiante à Censier [voir Google : Debré amiante Censier] .

    Le 13 mars 2006 Gilles DE ROBIEN lui répond.

    Xavier BERTRAND lui, se tait sur la question. Il se tait depuis 7 ans.

    Il représente le niveau de la Santé et du Travail d'un ministre, suivant l'exemple notoire

    de Martine AUBRY la mieux placée.

    Ces deux questions vitales furent posées, enfin, dans l'inertie criminelle telle qu'elle se pratique

    en nos lieux.

    . L'ANDEVA et BAN ASBESTOS se sont tues tout du long (elles ont du penser que j'allais m'écraser comme le font ICI les fonctionnaires).

    . Les avocats de l'ANDEVA : TEISSONIÈRE et LEDOUX se sont tus tout du long de ce drame.

    . Les responsables du pays se sont tus, ainsi que les médecins du rectorat GIBERT et PLANTUREUX [Voir Google]. De plus, le chef de la sécurité de la Sorbonne, Patrick ROGER [voir Google].

    . La Préfecture de police, la Commission de sécurité, le chef du service de l'intendance de Censier Bernard DHOOGE, laissent effectuer en 1993/1994 les travaux de sur-élévation de la bibliothèque sur des poutres de fer amiantées, sans précautions. Ils signent leurs accords, provoquant des

    pics de fibres d'amiante par milliards sur la Capitale. En fonctionnaires largement payés.

    . Fin août 1998, l'inspecteur du travail du 5ème, Yves SINIGAGLIA, constate les désastres des travaux à 480 f/l d'air, alors qu'on lui dit "Il n'y a rien". Il met un masque et monte au dernier étage dans l'horreur. Il retourne à son bureau sans faire fermer le Centre Censier. Il se tait. Les entreprises VERITAS et COMOBAT, responsables d'incompétence désastreuse et de je m'enfoutisme criminel, se taisent. VERITAS, dont on trouve le nom sur le désamiantage de Science Po, et celui du Monde rue Claude Bernard, fait sortir des pages entières de PUB concernant "SON INTEGRITE". Personne ne se voit inquiété, ni au Monde, ni à Censier.

    . Michel GARNIER, chef de la Programmation et du Développement, bras droit de Claude ALLÈGRE, ordonne à l'ensemble du Ministère de l'Education en automne 1999, la destruction de tous les documents ayant trait à l'amiante à Censier.

    Maître Michel LEDOUX, lui, gagne 10 millions d'euros sur les seules victimes de l'APDA de Dunkerque (moitié des Dockers touchés dans cette ville, l'autre moitié étant l'ARDEVA). On se demande combien LEDOUX a dû toucher sur une quinzaine de Ports et autres poussières, Cherbourg, Bordeaux, Marseille, Saint-Malo, Le Havre, Calais, etc.

    Il lui fallait, m'a avoué Marcel SUSZWALAK : 50 juristes, avocats, secrétaires, pour pouvoir recevoir les dossiers des malades, les tamponer, et les envoyer au FIVA : travail de postiers. 5% de ristourne par dossier. SUSZWALAK, invalide à 80%, lance le 23 novembre 2005 aux rapports de l'Assemblée Nationale :

    "Parigot représente 150 malades de Jussieu, et règne au FIVA. Avec mes 5000 cas à Dunkerque, moi, je n'ai pas le droit d'y entrer". Copinage oblige : la France toute entière à sa proie enchaînée[Voir Rapports parlementaires, tome 1, page 250 : "Seuls l'ANDEVA et la FNATH sont représentés mais pas l'APDA"].

    Michel Parigot, au FIVA en seigneur et maître depuis son début il y a dix ans, s'y incruste à sa manière. À volonté. Jeux de pouvoir et népotisme, reflet du système : tel quel.

    Il sait tout sur tout, absolument. Parigot. Expert en amiante et non-assistance à personnes en danger. En suprême autorité.

    Ces divers personnages si pleins d'eux-mêmes, fonctionnarisés, ne sont pas habitués que l'on puisse s'adresser à leur intelligence, ou à leur nullité. Surtout pas qu'on les oblige à penser. Ils possèdent tous les trucs possibles pour détruire autrui et ne s'en privent pas. Ils sagaccagent la jeunesse impunément. "Les représentants du comité-amiante Jussieu ont indiqué que leur structure était la seule à apporter soutien et assistance aux victimes de l'amiante" [Rapports du Sénat, tome 1, page 321].

    Mais pas pour Censier.

    Pour Censier, il n'y a personne.

    Vous connaissez leurs mentalités, Madame le Juge. Mais il est important que cela soit dit et compris hautement sur Internet : quand certains "rackets" s'érigent en systèmes bon chic bon genre. Vous êtes celle qui, en effet, a lancé :

    "Chacun est responsable de la vie des autres."

    Mes respects citoyens pour vous, avec mon intention que ce que vous représentez passe au travers des embuches, provocations, interférences des petits copains de Martine Aubry infiltrés au ministère, et de ceux de Jacques DEGRANDI (à la chambre de l'instuction : Martine BERNARD dénoncée sur Internet).

    Laissons les insectes aux insectes, les hannetons aux hannetons.

    Le roi de Rome à Rome. Et celui de Tombouctou à Tombouctou (ensablé

    dans le Sahara au sirocco violent, ses morts d'hommes et tralala tsouin tsouin).

    Que gagnent l'intégrité, la vérité!

    À DIEU VAT !

    Michel Langinieux

    ***

    Mail transféré

    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>

    À : "benedicte.vincent@biomedecine.fr" <

    benedicte.vincent@biomedecine.fr>

    Envoyé le : Dimanche 3 mars 2013 19h35

    Objet : 28 février 2013 : Les victimes de l'amiante manifestent à PARIS

     

    À Emannuelle Prada-Bordenave,

    Madame la Directrice,

    La presse actuelle a facheuse tendance d'oublier le constat/arrêt du Conseil d'Etatsur l'amiante en France de 2004. Les Rapports du Sénat et de l'Assemblée Nationale se voient de même, oubliés. Les ministres, n'en parlons même pas.

    Passez, muscade. "Ils se des-épinglent", me disait Philippe BLANDIN père, en 1999. Il ajoutait "Pas de compromis avec l'amiante". Je rue dans les brancards à nouveau, pour apporter un sens à mon existence face à ce je m'en foutisme français, tuant. L'Etat se fout de nous et s'en gargarise. La frime remplace le faire. Le "FAIRE" consiste ICI à faire semblant. Et l'on trucide à tout-va chez NOUS, autant qu'en Lybie, au Mali, en Afganishan chez EUX. Il existe plusieurs manières de bombarder. C'est assez. Vous avez su montrer que l'être humain existe encore, face au n'importe quoi.

    Vous avez su rabattre le caquet de Madame Martine Aubry, il y a 9 ans.

    Madame le Premier Juge Bertella Geffroy a quitté le pôle santé, vendredi soir 1er mars.

    Elle sera de retour vendredi prochain 8 mars, pour ses signatures de fin de dossiers.

    Je ferai connaître cette affaire dans le monde entier, d'une façon ou d'une autre.

    Que l'on sache QUI EST ce "Cocorico" qui administre aussi facilement poisons, affaires et injustices tranquillement, face à des centaines de milliers de parents qui envoient leurs enfants étudier dans nos Facultés amiantées !!!!!

    Que ce "Cocorico-là" ne soit surtout pas, oublié !

    Avec mes respects,

    Michel Langinieux

    -----

    Mail transféré

    -----

    De :langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>

    À :"GranetC@mairie-aixenprovence.fr" <GranetC@mairie-aixenprovence.fr>

    Envoyé le :Samedi 2 mars 2013 20h08

    Objet :28 février 2013 : Les victimes de l'amiante manifestent à PARIS

    À Maryse Joissains Masini,

     

    Madame le Maire,

    Ce mot ci-dessous [destiné aux amis de Stéphane Hessel] est également POUR VOUS, ainsi que mon CRI qui s'adresse aux victimes de l'amiante en France.

    Doublement, triplement victimes en surmultiplié : pouvoirs publics, syndicats, avocats. Que sais-je ? Tant "d'experts" en profitent : l'occasion, ICI, fait le larron.

    L'avidité se sert de malades et de morts roulés à toutes les sauces, jamais assez.

    À Dunkerque ils sont 10 000, dockers et familles [voir Google : <politiquedevie.net> [section Dunkerque/Censier].

    Il y a beaucoup d'autres Ports sur la liste !

    Merci pour votre apport incroyable. La force des femmes aura raison de la morgue macho aveugle. En effet, réussir à mettre l'Etat à genoux, surtout l'Etat Cocorico "je suis le plus beau", n'est pas donné à tout le monde. Madame Bertella Geffroy tient le coup.

    QUE CE QU'ELLE REPRESENTE, CE QU'ELLE APPLIQUE ... GAGNE DEVANT TANT D'INJUSTICES DEPRAVEES. Car, 120 années de gabegies compressives, ça suffit.

    UN AVEC votre détermination,

    Michel Langinieux

    -----

    Mail transféré

    De :

    langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>

    À :

    "contact@unmondepartous.org" <contact@unmondepartous.org>

    Envoyé le :

    Vendredi 1 mars 2013 22h27

    Objet :28 février 2013 : Les victimes de l'amiante manifestent à PARIS

    Ce courrier vous revient de droit, AMIS DE STEPHANE HESSEL !

    Michel Langinieux

    -----

    Mail transféré

    -----

    De :langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>

    À :Marguerite <marguerite.aroles66@free.fr>

    Envoyé le : Vendredi 1 mars 2013 21h54

    Objet : Re: 28 février 2013 : Les victimes de l'amiante manifestent à PARIS

    Pauvres victimes : manipulées par les avocats Michel Ledoux et Jean-Paul Teissonière ; par leurs syndicats mensongers [15 000 adhérents] ; par la magistrature (pourristrature)éhontée qui sévit ici, par ... 50 à 60 ministres qui n'ont pas accompli leurs missions sur tant années (dès 1950). [À commencer par Martine Aubry ...DSK. Laurent Fabius. Xavier Bertrand. Ségolène Royal. Claude Allègre. Jack Lang. Valérie Pécresse. François Fillon, etc ... Un chapelet ministériel-mini-cheptel d'individus inciviques]. Par la presse aux ordres. Trahies par un Etat coupable de "carences fautives" depuis 120 ans

     

    Etat épinglé par le Conseil d'Etat le 3 mars 2004

     

    Etat épinglé par les Rapports du Sénat n° 37(2005-2006): "Le drame de l'amiante en France"

     

    Etat épinglé par les Rapports parlementaires n° 2884(février 2006) :

    "Ne plus perdre sa vie à la gagner" Etat épinglé par le travail de l'instruction du Pemier Juge : Madame Bertella Geffroy depuis 15 ans.

    .

    Etat épinglé par Maître Joissains Masini, d'abord sur le sang contaminé, deux fois sur l'amiante.

    .

    Etat épinglé par les révélations [en 17 ans de "SOS" : 93 magistrats, 2 chefs d'Etat, trente ministres] et les témoignages de l'étudiant  M.Langinieux concernant le drame de Censier la Sorbonne Nouvelle et le crime sociétal que représente l'amiante en France.

     

    Victimes roulées dans la farine argentée/amiantée depuis plus d'un siècle [le 12 juin 1893 : Loi sur les poussières industrielles. "L'état se doit de protéger".]

     

    Victimes de gougnafiers notoires et de requins déterminés : dissimulations, tricheries, négligences.

     

    Victimes de l'asservissement général d'un petit pays d'opérette mensonger, qui a perdu son empire/emprise montée, mais pas ses habitudes psychologiques [francafrique, seigneurs et maîtres, videurs de greniers, tambourineurs de conseils].

     

    Victimes de l'incurie des pouvoirs publics, de l'inexistence

    exécutive, et des pouvoirs médicaux.

     

    Victimes du "FIVA", système de clopinettes créé [façons riquiqui, par Aubry et Parigot] pour juguler malades et mourants, profiter de leur état, leurs maladies, leurs départs, sous la férule actuelle de Michel Parigot qui s'est tu sur les malades et les morts de Censier pendant 15 ans.

    Pourquoi n'accordent-ils pas un million d'euros par perte de vie ? Pourquoi penser si petit ? Cela réglerait VITE le problème de l'amiante en France. [Et bombarderait moins les civils ailleurs).

     

    Victimes du manque d'éthique et d'intégrité d'une nation (sauf au niveau "essencedans la bagnole" sous une intégrité naturelle et acceptée en ce cas) = la machine avant l'humain = la procédure avant le patient = le dogme avant la réalité physique ... de nos Diafoirus.

     

    Victimes d'une  Education nationale et d'un enseignement supérieur criminels : "On tue en Fac en France et personne ne bouge". Egalement, des Ministères de la Santéet du Travail.Victimes de présidents d'Universités sans contrôle ni respect de l'obligation d'accorder le DTA (Dossier technique amiante : décret du 13 septembre 2001),toujours refusé à Censier, même avec l'appui de la CADA. C'est dire l'acharnement officiel à poursuivre ses coutumes criminelles en parfait Hors-la-loi.

     

    Victimes de la passivité des "donneurs d'alerte" institutionnels et de leurs besoinsinhumains de cacher et de refuser absolument d'appliquer la règlementation

     

    Victimes d'un pays crapuleux où la perte d'une vie d'homme

    se voit rémunérée à 15 000 euros q

    uand les avocats sont

    multimillionnaires.

     

    Victimes d'une épidémie à venir

    inéluctable, irréversible

     

    Victimes de la carence et indifférence de la responsabilité

    étatique, démoniaque en son surmultiplié.

     

    Victimes d'un pays anesthésié sous un gouvernement anesthésié par les lobbies du mensonge et de la finance.

     

    Victimes de la responsabilité de l'employeur (l'Education nationale est le plus gros employeur de France).

     

    Victime d'un pays où "tout se dit", et où rien ne suit : l'homme loup pour l'homme.

    L'ensemble de mon travail salubre concerne la reconnaissance totale des victimes, l'apport essentiel qu'est la vie humaine, dénigrée en France par la frime, les faux semblants, la tricherie, l'esclavagisme, la suffisance, la peur, une éducation erronée [gavage d'oies], une cérébralité compartimentée sur des priorités d'avoir, bien avant celles de l'être, contrôlées par des réseaux de valeurs aussi fausses les unes que les autres. Haut les coeurs.

    Avec mes remerciements pour le "cadeau de Dieu [le prix Nobel Chinois dixit]" Internet :<politiquedevie.net> [section amiante Dunkerque et Censier<Catalogne selon Margarita><Echos des montagnes><Pilori> <Association Bourg-Fidèle> contre les métaux lourds et Métal Blanc et pour tous ceux qui ont contribué à la santé publique, comme le philosophe Roger Lenglet spécialiste de l'amiante, dans son article d'avril 1997 sur Charlie Hebdo: "Censier planque ses fibres". Seul article scientifique en 15 ans dans une presse nationale généralement puérile, ignare, incapable d'assumer sa fonction, laissant en danger une Fac et son quartier dans l'indifférence que l'on sait. Vendue aux forces de l'argent : l'argent avant les gens, avant les enfants

    C'est dit.

    Michel Langinieux

     

 

     

    15 mai 2013

    Michel Langinieux ne baisse pas les bras !

     

    Michel Langinieux continue sa bataille contre le laxisme ambiant et les copinages des élus, au plus haut niveau de l'état, qui continuent de faire barrage à la Justice et laissent sur le bord de la route les victimes de l'amiante. En se débarrassant de Madame la Juge Bertella-Geffroy l'exécutif en la personne de la ministre Taubira et avec la complicité du CSM, ont mis à l'abri l'ex ministre Martine Aubry mouillée jusqu'au coup dans l'affaire de l'amiante et mise en examen par l'incorruptible et vaillante juge Bertella-Geffroy. Martine Aubry, grâce à l'éviction indigne de Mme la Juge Bertella-Geffroy, va à nouveau pouvoir dormir tranquille !

    Mais il en est qui n'acceptent pas ces petits arrangements entre amis et continuent de dénoncer haut et fort l'imposture des serviteurs de l'Etat et la veulerie de la magistrature ! Michel Langinieux est parmi les voix les plus fortes de ce refus de baisser les bras et n'a pas peur d'accuser ceux qui doivent l'être, si haut placés qu'ils soient et de dénoncer ce qui doit l'être pour que JUSTICE SOIT FAITE aux victimes de l'amiante, qui continuent de mourir dans l'indifférence générale et le silence assourdissant des divers responsables politiques et de la magistrature de France !

     

    ----- Mail transféré -----
    De : langinieux michel <langinieux_michel@yahoo.fr>
    À : "Rita.BICUDO@ec.europa.eu" <Rita.BICUDO@ec.europa.eu>
    Envoyé le : Mardi 14 mai 2013 18h42
    Objet : Letter for the attention of Mr Langinieux

     


    À Monsieur SELMAYR, Head of Vice President Viviane REDING'S private office,


    Je vous remercie, Monsieur, de prendre le soin de me répondre au nom de Madame Viviane REDING
    .

    Notre Garde des Sceaux, Madame TAUBIRA, ne le fait pas : c'est là toute la différence. Elle est de taille.

    Je vous prie de considérer, pricipalement, ma
    plainte du 29 septembre 2010, largement diffusée sur Internet,adressée à Madame la Commissaire Européenne de la Justice, sur "les empoisonnements collectifs en France" tels qu'ils se pratiquent et s'incrustent ...

    Vous comprenez bien que si, en 120 ans [depuis le
    12 juin 1893 : "L'Etat se doit de protéger"], nous ne pouvons obtenir ni police ni justice en ce qui concerne un génocide par amiante et les meurtres autorisés en France, force nous est donnée de nous adresser à l'Europe puisque nous sommes européens : nous n'avons plus le choix devant ces empoisonnements organisés délibérés ; devant un crime sociétal d'amiante qui trucide plus d'un demi-million de personnes sur 120 ans, incluant deux cent mille décès annoncés par l'INSERM sur les 10 ans qui arrivent.

    Si des centaines de milliers d'étudiants furent exposés 49 ans durant (depuis 1964) aux expositions passives des Facultés Jussieu et Censier la Sorbonne, je tiens à souligner que nombre d'entre eux étaient Belges, espérant que ce fait vous incitera à bouger.
    Des centaines de milliers de parents du monde entier sont, dès lors, en droit de demander des comptes à l'Etat français responsable de "carences fautives" : arrêt placardé par le Conseil d'Etat le 3 mars 2004,sans oublier le ministre du travail et des solidarités (!) de l'époque, Madame Martine AUBRY.

    Face à l'incurie de l'exécutif et des pouvoirs publics français, face à ce génocide qui poursuit délibéremment sa course, je crie
    "HALTE-LÀ": voilà mon apport Européen. Je souhaite que, même sous les carcans de fonctionnaires bien rémunérés, aux ordres, vous arriviez à saisir la portée de ce drame monstrueux, puisque, dans notre pays asservi, personne n'arrive à le faire, ni les associations ni les syndicats. Toutes nos "élites" et le cheptel qui suit se voient compromis. Dedans. Dans l'amiante, les mensonges et la mort.

    Le Commissaire John DALLI, en deux ans et demi, n'est pas arrivé à agir ! ce qui en dit long à la fois sur le manque d'urgence, de civisme, de moralité, qui, de nos jours, fait passer
    l'argent avant les gens, l'argent avant les enfants.

    J'ai porté le nom de Madame la Juge BERTELLA-GEFFROY à l'attention de Viviane REDING la Commissaire en charge des Droits fondamentaux, car cette juge remarquable [tant elle se trouve cruellement attaquée] Madame BERTELLA GEFFROY, transporte une véritable bibliothèque avec elle concernant la santé publique de 60 millions de personnes. Cette Juge défend des millions d'individus en France, à l'inverse de notre Garde des Sceaux qui fait exactement le contraire et nous enfonce. Madame TAUBIRA n'a toujours pas compris
    qu'il nous faut trente Bertella Geffroy (30 juges et un procureur) comme en Italie, pour arriver à condamner les hauts gougnafiers qui profitent d'un féodal de mise imposé.

    Le problème majeur vient du fait qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses de l'Etat. L'argent sert à bombarder les populations civiles de Lybie, du Mali, d'Afganisthan. et à satisfaire l'orgueil de quelques pignoufs et potiches en place.
    Cependant, les organismes atteints vont se surmulpiplier avec l'immense Europe. Ce n'est certes pas, en effet, la frime et le faire semblant qu'il faut défendre,
    mais la vie humaine, la vôtre, la mienne, celle de Madame Viviane REDING.
    Nous n'avons besoin ni de la psychologie, ni de la procratination de John DALLI. Non.

    Mesdames et Messieurs les responsables de la Commission Européenne, veuillez agréer mes respects.

    Michel Langinieux


    PS
    : Je me réserve le DROIT, par correction et bon sens, de faire publier cette lettre sur Internet, sous l'intention d'une précaution indispensable à la prévention générale.
    Mon "SOS", en effet, s'adresse à toute l'Europe. Toisant la surdité en SILEX déterminé d'une France franchouillarde/pleutre/mensongère/hors-la-loi, nous avons besoin de toute l'Europe.

     


     

    De : "Rita.BICUDO@ec.europa.eu" <Rita.BICUDO@ec.europa.eu>
    À : langinieux_michel@yahoo.fr
    Envoyé le : Mardi 14 mai 2013 11h16
    Objet : Letter for the attention of Mr Langinieux

     

    Dear Mr Langinieux

    Please find attached a letter signed by Mr Selmayr, Head of Vice President Viviane Reding's private office.

    Yours sincerely,

    Rita Bicudo

    Assistant to Telmo BALTAZAR,
    Cabinet of Vice-President Viviane Reding,
    EU Commissioner for Justice, Fundamental Rights and Citizenship

     

     

 

 

     

    18juin 2013

    Lanceurs d’alertes : les héros révolutionnaires du 3e millénaire

    Si tout ce que dénonce Michel Langinieux est important, colle à l’actualité et implique le futur de l’Humanité, ce qu’il nous rappelle aujourd’hui est, me semble-t-il, une de ces informations à publier absolument.

    Michel Langinieux (voir son mail plus bas) dénonce le sort que les américains réservent à Bradley Manning, le jeune soldat qui, révolté des agissements de son pays, a délivré à Wikileaks des documents frappés au sceau du secret (!).

    Bien avant la naissance de Bradley, celui qui allait devenir le père de tous les lanceurs d’alerte, Daniel Ellsberg a défrayé la chronique en 1971 en remettant à des journalistes du NY TIMES 7000 pages fauchées au Pentagone, qui dénonçaient la réalité inavouable de l’engagement des USA au Vietnam ! Le pauvre homme a connu bien des déboires, a trouvé le moyen de survivre (un exploit !) et continue son combat de lanceur d’alertes malgré ses 82 ans.

    Depuis son geste courageux, Bradley Manning vit (depuis 3 ans) dans des conditions particulièrement difficiles pour avoir voulu défendre ce que nous avons de plus sacré en ce monde, la LIBERTÉ. L’Amérique, dont le "rêve américain" n’est en réalité qu’un épouvantable cauchemar, reproche au jeune soldat Bradley d’avoir révélé des secrets d’état, parmi lesquels les travaux du Pentagone qui prévoient de tous nous pister, nos actes nos paroles les plus insignifiants et ce jusque dans notre vie la plus intime, ce qui est positivement insupportable !

    Dans un autre de ses mails Michel Langinieux dénonce un projet qui confirme que le jeune Bradley Manning et ses prédécesseurs avaient bien raison d’avoir peur et de refuser ce qui se prépare au sein du Pentagone et sans doute ailleurs, n’en doutons pas une seconde, en Chine, en Russie, en France et tous ces pays qui se servent de la richesse pour faire le malheur de l’Humanité au lieu du contraire !  

    Comme par hasard, voilà qu’à peu près à la même époque du scandale Wikileaks, il était question, en France, de faire une « expérience » qui consisterait à pucer les bébés d’une crèche, sous prétexte de les retrouver en cas d’enlèvement !??) L’article date de 3 ans en arrière mais vaut d’être lu. lire

    Les armes les plus meurtrières découvertes par l’Homme étaient et sont immanquablement fabriquées pour « rendre le monde meilleur » (!) L’expérience de l’Histoire la plus proche et surtout l’arrivée d’un outil d’information comme internet nous ont rendu moins naïfs... alors ? Allons-nous laisser les choses continuer comme lorsque nous ne savions rien ? Allons-nous continuer à laisser emprisonner et mourir, sans lever le petit doigt, les héros qui n’hésitent pas à se mettre en danger pour protéger nos Libertés les plus sacrées ? (voir en fin de page quelques uns de ces hommes courageux)

    Nos parents avaient l’excuse de l’ignorance, nous n’en avons aucune puisque, que je sache, la lâcheté n’a jamais été une excuse !

    Soyons tous, à l’instar de Michel Langinieux et tant d’autres avec lui, des lanceurs d’alertes !

    Agissons !

    ALERTONS avant que nous ne soyons tous pucés comme des toutous, si nous ne le sommes pas déjà à « l’insu de notre plein gré » selon la phrase, qui a fait florès, du sympathique champion cycliste Richard Virenque !

     

    ***

     michel Langinieux lanceur d'alertes

     

    ----- Mail transféré -----
    De :
    À : "marguerite.aroles66@free.fr" <marguerite.aroles66@free.fr>
    Envoyé le : Jeudi 13 juin 2013 23h38
    Objet : Les "whistleblowers" = les lanceurs d'alertes 

     

    Ceux qui soufflent dans le sifflet !!! OUI. Le cri d'alarme civique.

    Tradition américaine depuis les chercheurs d'or. Grecque également : Cassandre !!!

     

    L'être humain porte en lui le lanceur d'alerte protecteur.

     

    Car il s'avère essentiel d'informer ses proches, l'ensemble de la société, de ce qui arrive [au feu !]

    ou d'informations tenues secrètes pour mieux l'utiliser, pour la détruire.

     

    Les destructeurs, évidement, ne le supportent pas. D'où les maltraitances, tracasseries et actions

    diverses contre les bienfaiteurs, visionnaires ou citoyens prévoyants.

     

    En amérique : 1971, Daniel Ellsberg organisait la fuite des "Pentagon papers", 43 volumes ultra-confidentiels,

    sur "l'engagement des USA au Vietnam". Différentes administrations jusqu'à celle de Nixon furent ainsi

    dénoncées sur leurs mensonges, cynismes, cruautés, autour d'une guerre injuste. "Fils de pute" hurle Nixon à

    la sortie du premier article du New York Times. Trop tard.

     

    Aujourd'hui, à 82 ans, Daniel défend publiquement le soldat Manning, en prison depuis 3 ans dans des conditions atroces.

    Bradley Manning, 25 ans, risque la prison à vie pour "collusion avec l'ennemi". En effet, ce dernier a transmis à WikiLeaks et à Julian Assange (autre lanceur d'alerte international) des centaines de milliers de documents classés secret-défense. Autrement dit, une boucherie organisée/assurée sur la planète.

     

    Edward Snowden, 29 ans, vient de lancer de Hongkong : "Je ne veux pas vivre dans un monde où tout ce que je fais et dit se voit enregistré". Sa bombe contre le "Big Brother" américain implique directement Obama.

    Celui-ci avoue l'exactitude de ces documents explosifs dévoilant l'étendue de la mainmise technique exercée par la "Surveillance

    américaine de sécurité nationale" (NSA) sur le monde entier !!! Mais pas ... pour les américains !!?! On croit rêver ...

     

    Les écoutes sont, dès lors en ce moment, partout !!! Le but : le contrôle total de l'humanité.

     

    Mais c'est sans compter sur les "lanceurs d'alerte" qui, eux, seront toujours là, présents.

    Il y aura toujours un enfant pour constater : "Le roi est nu".

    La pieuvre peut bien s'exercer tant qu'elle le désire ... Elle est déjà court-circuitée !!!!!!

     

    Michel

     ***

    Quelques uns des héros révolutionnaires du 3e millénaire

      

    Le premier, le père, le précurseur, le guide

    DANIEL ELLSBERG lire

    Edward SNOWDEN : lire

    Bradley MANNING : lire

    Julian ASSANGE : lire

    Aaron SWARTZ 

    s’est « officiellement » suicidé par pendaison

    début janvier 2013… Il avait 26 ans lire 

     

     

 

    ÉPILOGUE DÉSHONORANT POUR LA FRANCE

     

    ET SA PSEUDO "JUSTICE"

    21 janvier 2013

     

    martine Aubry et JM Ayrault rigolent

    ... les victimes de l'amiante apprécieront

     

    LE DOSSIER DE L'AMIANTE DÉRANGE LE GOUVERNEMENT HOLLANDE

    Les politiques se protègent entre eux ! Au lieu de rejeter les membres pourris pour assainir le climat politique et rendre confiance aux français, les détenteurs du Pouvoir entourent les salopards compromis dans de sales affaires d'un mur de protection infranchissable. Les magistrats intégres qui auraient l'idée saugrenue d'appliquer la justice en voulant punir les coupables, fussent-ils des "puissants", à la mesure de leurs fautes ou plutôt de leurs crimes concernant la honteuse affaire de l'amiante, sont désaissis de l'affaire et de ce fait ne peuvent plus agir en faveur des victimes.

    Mais le pire c'est que non seulement les juges sont empêchés de faire leur travail mais ce sont eux, défenseurs de la Loi, qui vont se retrouver dans l'oeil du cyclone et être réduits au silence !

    Ci-dessous vous découvrirez la dernière entourloupe concernant la meurtrière et toujours impunis affaire dite "de l'amiante". Une affaire, qui rappelle étrangement celle de Laurent Fabius et du scandale du sang contaminé. Si Fabius était enfoncée jusqu'au cou dans l'affaire du sang contaminé, cette fois c'est au tour de Martine Aubry ! Qu'à celà ne tienne, il suffisait de dégager vite-fait la juge Bertella-Geffroy, décidément trop honnête et surtout trop efficace, c'est à présent mission accomplie ! Aubry comme son copain Laurent Fabius, peut à nouveau dormir tranquille la juge Bertella a été neutralisée ! De Profundis le dossier de l'amiante !
    Tout çà est à vomir et prouve que gauche ou droite c'est "Un pour tous et tous pourris" comme disait notre regretté Coluche !

    NB : Avec ce commentaire où je la mets en cause je risque de me retrouver attaquée en diffamation par Martine Aubry qui serait coutumière du fait. Il paraîtrait que Madame ne supporte pas la critique et n'hésite pas à assigner en Justice ceux qui osent ! Mais bon, je croise les doigts, je regarde St Antoine le patron des aventuriers et je PUBLIE, tant pis si ça donne des boutons à la maire de Lille.

    LES FAIT ICI

     

      et pour ceux qui ne pourraient pas accéder directement à l'article

    Amiante : l'instruction de la juge Bertella-Geffroy suspendue

    Créé le 18/01/2013 à 17h11 - Mis à jour le 19/01/2013

    C'est une information RTL de Mathieu Delahousse : la présidente de la chambre de l'instruction de Paris a décidé ce mercredi de suspendre l'instruction conduite par la juge Marie Odile Bertella-Geffroy dans le dossier de l'amiante à l'usine Fereo-Valeo de Condé sur Noireau, dans le Calvados. La suspension de l'instruction, une "procédure extrêmement inhabituelle" C'est dans cette affaire que Martine Aubry, au titre de ses anciennes fonctions au ministère du Travail, a été mise en examen pour homicides et blessures involontaires en novembre dernier  Les plaintes avaient été déposées par les anciens salariés il y a sept ans. La cour d'appel de Paris considère que l'instruction de la magistrate du Pôle santé de Paris doit être mise entre parenthèses dans l'attente de décisions sur les très nombreuses nullités soulevées dans le dossier par les personnes mises en examen qui contestent leur mise en cause. Ces points de procédures doivent être discutés devant la chambre de l'instruction le 28 février prochain. Plusieurs fonctionnaires, des membres du comité permanent amiante mais aussi des industriels sont visés par ce dossier. La suspension de l'instruction, "procédure extrêmement inhabituelle", selon l'expression d'un avocat intervient par ailleurs au moment où le maintien de Marie-Odile Bertella-Geffroy est posé. La magistrate devrait en effet en être mutée dans les mois qui viennent, par le jeu automatique de la mesure qui fixe la durée des postes dans la magistrature - Les juges spécialisés ont l'obligation, désormais, de changer de poste tous les dix ans, ce qui est le cas de la juge Bertella-Geffroy - et leur impose un changement d'affectation au terme de périodes fixes. La décision sur ce point est actuellement à l’étude au ministère de la Justice. Dans ce cas d’un départ de Marie-Odile Bertella-Geffroy, le dossier amiante serait confié à d'autres magistrats spécialisés du pôle de santé du TGI de Paris, où est déjà menée la gigantesque instruction sur le Mediator et les laboratoires Servier. Dès la fin de l'année dernière, l'association nationale des victimes de l'amiante avait mis en garde contre les conséquences d'un départ anticipé de cette magistrate, "pilier du dossier pénal de l'amiante", signifierait à coup sûr l'enterrement de l'instruction, vu le temps que mettrait un nouveau magistrat pour s'approprier les éléments de cette affaire.
    Mathieu Delahousse

     

 

 Tweet   

 

 

 

 

 

Descendez en bas de page et double-cliquez !

Haut de la page

































































Bas de la page