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octobre 2013 Hollande entre lâcheté et médiocrité Comme certainement bon nombre de français je m'interroge souvent sur la véritable nature de François Hollande. Est-il bête ? Est-il lâche ? Est-il incapable ? Est-il honnête ou aussi corrompu que son entourage ? Est-il capable de prendre seul une décision ? A-t-il un but pour la France ? etc.. J'ai donc surfé sur le net à la recherche d'une réponse à toutes ces questions et j'ai trouvé ce texte, écris par le psychothérapeute BERNARD RAQUIN au lendemain de l'élection présidentielle, ce qui ne rend que plus remarquable l'analyse à la limite visionnaire de ce monsieur, jugez un peu :
Bernard RAQUIN Le drame de François Hollande : le 6 mai 2012. Le 6 mai 2012, François
Hollande est entré dans la période la plus dramatique de sa vie. Le stress de la promotion : Il s’agit d’une pathologie, plus
ou moins légère, bien connue des psys. Lorsqu’un employé obtient
une promotion, il subit un très fort stress. Surtout s’il ne se sent pas
capable d’occuper son nouveau poste. Face à de
nouvelles responsabilités, nous sommes partagés entre l’enthousiasme
et l’inquiétude. Si nous sommes préparés, si
nous avons la formation et l’expérience nécessaires, ce stress de la
promotion disparaît au bout de quelques semaines ; et la confiance en soi en
est renforcée. Le stress de la promotion se
manifeste par une euphorie, suivie d’une euphorie paradoxale, pour masquer
le déni de réalité. Ensuite c’est la
dépression larvée, masquée par l’activisme. Puis enfin, c’est la
dépression, et parfois le burn-out (l’effondrement). François Hollande est victime
du « principe de Peter » : il a atteint son niveau d’incompétence,
depuis longtemps. Il occupe maintenant l’un des
postes les plus difficiles du monde, sans aucune préparation. Car, de l’avis général de ses
amis, Hollande est tout à fait incapable d’occuper la fonction de
président de la république. Il est décrit comme
paresseux, manipulateur, inactif, calculateur, trompeur, cynique,
magouilleur, tricheur, menteur, et incapable de prendre une décision. Tous ces jugements sur lui
sont tellement connus qu’il est inutile de les rappeler. (Martine
Aubry, Ségolène Royal, Laurent Fabius, Arnaud Montebourg, Claude
Allègre, Jean-Luc Mélenchon, Jean-Marie Bockel, etc). Non seulement parce qu’il n’a
jamais été ministre ni secrétaire d’État, mais également parce que le
choix de devenir président n’est pas le sien, mais celui de sa concubine
Valérie Trierweiler. Pour plaire à sa belle, il
s’est lancé dans un mécanisme qui l’a happé, et qui risque de le
broyer. Hollande est fragile : Depuis le début de sa
carrière politique, il n’a rien fait. Il s’en vantait même dans
une vidéo célèbre. L’esprit de corruption a
tellement gangrené les élus (de droite et de gauche) qu’ils
ne réalisent même plus qu’ils sont des voyous et des voleurs. Par exemple, les cumulards ; ou
encore tous les membres de ces « machins », du genre
Conseil économique et social, et autres fromages de la
république, pour recaser les copains et les maîtresses. Hollande a toujours pratiqué
un double langage. Il a protégé les innombrables
corrompus du parti socialiste (voir sur ce même site : « J’aimerais bien
être de gauche, mais… »). Cela est en contradiction avec
la prétendue morale qu’il affiche. La honte qu’il éprouve au
fond de lui-même, sera masquée par toutes sortes de magouilles
destinées à museler la liberté d’expression. De même, le capital qu’il
annonce posséder, largement sous-évalué, est en contradiction avec
son mépris affiché des riches. Il est entouré de riches, de fraudeurs et
d’exilés fiscaux, et même sa concubine est millionnaire. Cela provoque une
schizophrénie, fréquente en politique. Le déni de réalité (quand il
feint de voir qu’il n’y a pas de dérives racistes francophobes en France),
et le mensonge permanent, peuvent être refoulés longtemps, jusqu’à
l’explosion. Le risque de nouvelles
émeutes raciales, comme en 2005, est réel. Par exemple, se prétendre
proche du peuple, en mangeant dans des restaurants à 170 euros,
peut certes satisfaire la nouvelle classe des élus, cupide
et cynique. Mais le peuple déteste
les hypocrites, les tartufes et les profiteurs. Le parti socialiste, distribuant
des leçons de morale à tout le monde, sera confronté à ses
contradictions. Il n’y a que 2 sortes de citoyens.
Ceux qui se contentent des médias officiels. Et les internautes. Ces
derniers, massivement informés, informeront toute la population,
en quelques mois. En septembre 2012, malgré
la censure des médias officiels, tous les Français connaîtront
l’histoire des jets privés, des drapeaux étrangers, etc. Hollande est encore plus fragilisé : Il est fragilisé par
la modification de son identité, en peu de temps. Il était un bon gros, il
veut être un mince sérieux : la différence est trop grande et trop
rapide. Cela l’a obligé à surjouer son
rôle de présidentiable, comme il surjouera son rôle de président. Il est, de très loin,
le politicien le plus photographié avec des expressions ridicules. On
trouve, sur Internet, de nombreuses photos de lui, où justement, il manque
de sérieux. Il aurait pu faire carrière dans le
comique (ce que je respecte infiniment), comme plusieurs de ses copains de
lycée. Il faut bien savoir que
lorsqu’une personne modifie en apparence son identité, sans
démarche thérapeutique, cela ne dure pas. Quand il se regarde dans le
miroir, quand il s’entend parler, il ne se reconnaît pas. Il va devoir affronter une grave
crise d’identité, aux conséquences seront dramatiques. On ne se révèle pas à 57 ans. Bien sûr, en qualité
de psychothérapeute, je sais bien qu’on peut changer à tout âge. Encore faut-il le vouloir. Or ce qu’a fait Hollande, c’est
juste de changer d’emballage. L’affaire des jets privés,
payés par des milliardaires et des Saoudiens, l’obligera à cacher
sa culpabilité sous de fausses déclarations moralistes. Hollande est un
« peut-être ben que oui peut-être ben que non », déguisé en
bisounours. On peut feindre beaucoup de
choses. Mais on ne peut feindre de savoir décider. Étapes de son évolution psychologique : - L’euphorie (de mai 2012
à juillet 2012) : L’ivresse de la victoire. Plaisir sadique,
dissimulé, d’avoir triomphé de son ancienne concubine,
Ségolène Royal. Intense satisfaction d’avoir pris
le dessus sur toute la direction du parti socialiste, qui le méprise. - La dépression larvée, masquée
par une euphorie paradoxale (été 2012) : Les incohérences,
les manquements, les abandons, et les trahisons, qui ont commencé dès
le 6 mai 2012, deviendront de plus en plus visibles. Il mettra cela sur le compte d’une
très longue campagne, trouvant normal d’être « fatigué ». Sa dépression sera masquée par
les plaisirs réservés au président de la république : réception des corps
constitués, réception des ambassadeurs, repos dans les
résidences présidentielles, etc. Il satisfera à la
vanité humaine des courbettes, des réceptions officielles, d’un
train de vie luxueux, des honneurs, des fanfares républicaines,
et des tapis rouges. Mais cela le lassera vite, car ce
n’est pas dans sa nature. La rigueur des protocoles, et
la pesanteur des déclarations officielles dans les
réunions internationales, l’useront en moins d’un an. - La dépression larvée sera
ensuite masquée par la fuite en avant dans l’activisme (à partir de
septembre 2012) : Son principal problème ne
sera pas la dette. Il accusera le bilan de
son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, ainsi que les contraintes
européennes. Son principal problème sera
son élection : il a été élu à la faveur d’une inquiétante dérive
raciale. 93 % des musulmans ont voté
pour lui. Les départements d’outre-mer
ont largement voté pour lui. Le soir de son élection, il
a fait son discours devant des drapeaux étrangers. Il est, d’ores et déjà, sous la
menace des délinquants, qui le voient comme plus favorables à leurs actes
antisociaux. Il est prisonnier de la classe
sociale des élus, aux avantages indécents. Il est prisonnier de
l’immobilisme conservateur, notamment celui des permanents syndicaux,
héritage de 1945, une petite minorité qui a la capacité de bloquer
plusieurs secteurs publics, et d’organiser des manifestations de rue. Il en sortira par la fuite en
avant dans l’illusion : il intensifiera la langue de bois, les
discours contre la finance, la haine contre les patriotes, et le discours
des associations à l’antiracisme très sélectif. Là encore, ce déni de réalité
sera contredit par les faits en quelques mois. Hollande est clivant : Hollande a la réputation d’être un
modéré, qui s’efforce d’être un conciliateur. En réalité, il est extrêmement
clivant. Il diabolise ses adversaires, et
dresse les minorités ethniques contre la majorité de la population. Il est aussi clivant sur le
plan économique : hostile aux entrepreneurs, hostile aux
dirigeants d’entreprises (sauf les mondialistes qui le soutiennent). Il est clivant sur le plan politique
: droit de vote aux immigrés, légalisation des immigrés clandestins,
refus de voter les lois anti-burkas… Il est clivant sur le plan
sociétal : mariage homosexuel, avortement généralisé, discours flous
sur la drogue, reniement de la laïcité… Il est clivant sur le plan social
: syndicats contre usagers, magistrats contre victimes,
préférence étrangère… Non seulement il n’a aucune réserve d’opinions
favorables dans la population, mais le très faible pourcentage de gens qui
le soutiennent, sans illusions, s’effritera très rapidement. Hollande sera confronté à un
choix : Le plus probable, c’est de satisfaire l’extrême
gauche (15 % des voix), comme l’a fait avant lui Mitterrand, en creusant
massivement la dette. C’est parce qu’il n’a satisfait
aucune des attentes des électeurs du Front National, que
Nicolas Sarkozy a été battu. Pourtant, Sarkozy a fait plus de réformes,
en 5 ans, que Mitterrand et Chirac en 24 ans. Mais comme Hollande aura peu de
marge de manœuvre, il se contentera de mesures cosmétiques
et sociétales. Cela occupera le débat public, avec le
gros inconvénient de masquer les vrais problèmes, notamment l’immigration,
le racisme francophobe, la dette, la délinquance, la destruction du tissu
social, et l’angoisse identitaire vécue par de très nombreux compatriotes. Le plus surprenant serait de
réduire l’influence du Front National, en expulsant les clandestins,
en organisant une chasse impitoyable aux trafiquants d’êtres humains,
en luttant contre la délinquance. Mais c’est très improbable, car les
dirigeants du parti socialiste sont immigrationnistes, et plusieurs sont
membres du club Le Siècle, et du Grand Orient de France. Le Front National, 3ème en nombre
d’électeurs, deviendra soit le 1er, soit le 2ème. Surtout si la
politique immigrationniste, les avantages aux clandestins, le
laxisme judiciaire, et donc la délinquance, sont amplifiés. Avec pour corolaire le
découragement des artisans et petits investisseurs, et donc l’augmentation
du chômage. Pour échapper aux
contraintes psychologiques intérieures, Hollande choisira la fuite
en avant. Il pratiquera la chasse aux
sorcières, contre les journalistes, les patriotes, les dirigeants
d’entreprises publiques, les hauts fonctionnaires. Sa concubine a déjà donné le ton, en
faisant licencier un journaliste de RTL. Il devra affronter
une double opposition résolue : D’un côté, l’UMP, le FN, et DLR. De l’autre, le FDG et les
autres trotskistes (voir sur ce site : « L’échec programmé de la
fédération des génocidaires »). Le but du FDG est de canaliser
les mécontents, de servir d’exutoire, de faire croire aux gauchistes
qu’existe encore une gauche en France. Puis, en diabolisant leur
adversaire, de les faire voter pour les tenants du système, à savoir
les mondialistes et les milliardaires du parti socialiste. Tous ces opposants, à des
degrés divers, le maintiendront sous une surveillance constante. Cela générera de très nombreuses
frustrations, qui s’exprimeront dans les élections, ou dans la rue. La solitude de
François Hollande : On est passé d’un président pressé
(Sarkozy) à un président stressé. Une des choses les plus stressantes
du monde est de prendre des décisions. Surtout des décisions graves, dans des
réunions internationales. Beaucoup de décisions seront très
graves, concernant l’immigration, la délinquance, la dette, le chômage, le
terrorisme, les engagements militaires, les traités internationaux, et la force
de frappe. Il ne pourra toujours se défausser sur
son entourage. Il ne pourra utiliser un langage
vague, selon son habitude, pour ne déplaire à personne. Il sera seul, face à lui-même. Fera-t-il face ? Non. Aucun état de grâce bien sûr, mais un
baptême du feu intense, et des responsabilités auxquelles il n’est pas
préparé. Est-il armé pour affronter
des lynchages publics permanents, comme en ont connu Chirac, Le Pen
(père et fille), et Nicolas Sarkozy ? Non. D’autant qu’il devra s’appuyer
sur d’autres membres du parti socialiste, pour le conseiller lors de
ses prises de décision. Il y aura, aussi bien au
gouvernement qu’à l’intérieur du parti socialiste, de
violentes guerres intestines, pour manipuler le leader incompétent. Certains d’ailleurs ont déjà fait
allégeance à sa concubine, qui prend des décisions en toute illégitimité… Aujourd’hui entouré de courtisans, de
rapaces, d’hypocrites, soutenu par une minorité des électeurs, naïfs ou
roublards, il n’y a qu’une réalité : François Hollande est seul. Et ce
n’est pas Valérie Trierweiler qui pourra y changer quoi que ce soit. La seule qui puisse véritablement le
conseiller en toute objectivité, si elle arrive à grandir intérieurement,
ce qui est probable : c’est Ségolène Royal. Pas un instant, je ne crois
qu’Hollande sera apte à trouver en lui une force supérieure,
comme l’ont fait tant de grands leaders sur terre. Il a tellement fermé les yeux sur la
corruption, les viols, les détournements de fonds, et les mensonges de ses
amis politiques, que la réalité se chargera de les lui ouvrir. Et ce qu’il verra devant
lui l’effraiera chaque jour davantage. Il court même le risque d’exploser en
vol, et d’adopter de plus en plus un comportement incohérent. Il est le président le plus mal élu,
ayant le moins d’expérience, ayant le moins de capacités psychologiques,
le plus rejeté dès le soir même de son élection, de toute la Ve
République. Alors, je peux bien lui souhaiter
« bonne chance », par politesse. Mais ce dont nous avons vraiment
besoin aujourd’hui, c’est de trouver notre force intérieure,
de chercher de nouvelles issues, pour mettre un terme au
déclin entamé depuis tant d’années. Tenter, par tous les moyens, de
limiter les dégâts que ses trop grandes responsabilités l’obligeront
à improviser. Préparer l’après Hollande est, dès
maintenant, la seule manière de garder l’espoir, et de se tourner vers
l’avenir.
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